Erys avait beaucoup de mal, alors ils y allaient doucement pour lui apprendre et qu'elle panique pas. Mais Ann s'agaça et c'est Akimitsu qui s'énerva, la faisant partir a toute vitesse.
" Akimitsu... Tu pouvais le dire autrement"
' Non ! Maintenant ça suffit !'
Il le regarde froidement clairement agacé*
' Elles passent leur temps a râler et quand on les renvoies dans leur but. Elle se cassent ! Elles ne savent faire que ça et toi en pauvre bonne poire tu vas les chercher et les consoles. Mais merde a la fin ! Elles sont chiante ! Elles pensent qu'a leur pomme et peuvent pas être un minimum a l'écoute des autres; T'en peux plus de leur comportement ça t'épuise de leur courrir après, mais elles te bouffent sans hésiter et viennent chouiner juste après pour dire désolé. Et toi tu leur pardonne.'
Il soupira il en pouvait vraiment plus.
' Hier c'était Erys parce que tu as juste eu un ton glacé et maintenant c'est Ann qui j'en suis sûr s'est cassé parce qu'elle a même pas la patience d'attendre Erys. La pauvre galère et elle, elle ne fait que râler. Mais merde quoi ! De toute façon, je l'ai jamais aimé cette fille, elle est chiante. C'est qu'une grande gueule égoïste qui quand ça va pas se barre, elle ne se remet jamais en question. Autant Erys est parfois pareil et elle je l'apprécie car au moins elle est drôle, elle a de l'humour et elle est adorable. Autant l'autre elle te dit surtout a quel point t'es qu'une larve. C'est bon. Si toi tu veux te faire piétiner par une garce comme ça, vas y. Mais viens plus te plaindre comme quoi tu es épuisé.'
Sur ce, il s'en alla. Il en avait ras le bol de ce week end. Et de toute façon c'était capoté depuis le début. Il passerait voir les autres de temps en temps. Mais il songeait réellement a changer de groupe d'ami pour les excursions ou les soirées. Ca devenait trop n'importe quoi pour lui et voir Katsuhiro se faire bouffer comme ça l'agaçait fortement.
" ..."
Katsuhiro soupira un peu mal, c'est vrai qu'il avait pas mal demandé de soutiens a Akimitsu. Il disait rien et essayait de le soutenir. Mais c'était forcé que ça allait pété un jour.