Ameahlia aussi nommé Lia était une jeune chaman, dont les origines étaient complètement inconnus, pour certains, elle avait toujours été là, et pour d'autres, son existence, n'était même pas prouvée. Il fallait dire que cette jeune chaman était bien mystérieuse, secrète.
Elle vivait seule auprès des animaux et des arbres, veillant sur eux chaque jours en faisant attention à leur bien être et à les soigner lorsqu'ils étaient mal ou bien à les lorsqu'ils en ressentait le besoin. Les animaux venait à elle et bénéficiaient de toute son attention, parfois il venait juste pour lui tenir compagnie, ce qu'elle appréciait puisqu'elle était seule dans cette forêt depuis des dizaines d'années. Elle possédait de grand pouvoir dont celui d'avoir la longueur de l'existence des plus vieux arbres, elle était immortelle, et si elle aimait s'occuper de la forêt et des animaux, ne voir personne lui pesait parfois, chantant et parlant toute seule pour ne pas oublier le langage.
C'était une vie étrange, faites de plaisir simple et parfois de mélancolie. C'était un univers particulier à son regard, pour autant, elle ne voulait pas le quitter, elle n'était pas sur de pouvoir le quitter tant elle était lié à la forêt de son enfance. Peut être qu'elle avait pris racine en ces lieux.
Pourtant, quelqu'un était en train de mettre fin à cette paisible vie et cela l'attristait, on détruisait sa forêt, et elle se sentait terriblement impuissante face au massacre des arbres, et parfois même des animaux, les sauvant comme elle pouvait, soignant leur blessures. Mais fasse à leur puissance et à leur moyen, elle ne faisait pas le poids malgré ses grand pouvoir, ils n'étaient pas faiit pour attaquer, et elle se voyait mal leur poser des questions.
Elle fut blessé plusieurs fois à cause de leurs actions et quand elle approchait ils tirait à vu, alors elle avait finit par quitter son abris se retranchant dans des contrées plus lointaine et plus dur à vivre également. Elle espérait qu'aucun village ne la trouverait, ou que ses hommes également lui tomberait dessus, puisqu'elle n'avait plus qu'une petite tente de tisssus qui l'aidait à resister au froid comme elle le pouvais continuant à veiller sur les animaux.