Orient Vs Occident

Djellal était un homme d'origine oriental et plus précisément du pays de Jheld, qui était sans doute le plus grand pays sur un territoire désertique. Il était ni le prince, ni un noble de ce pays. Mais juste un des hommes qui servait l'un de ses nobles. Un peu comme un majordome, il se chargeait de le suivre et être a ses côtés quand il avait besoin de lui.

En réalité, il avait une origine totalement inconnu, son maître l'avait trouvé alors qu'il était encore bébé. Ainsi, il le donna a une de ses domestiques qui se chargea de l'élevé et c'est comme ça qu'il devint le majordome de son maître. Il avait été élevé pour ça après tout et se pliait à la tâche étant reconnaissant pour sa générosité.

Ainsi, ils se rendirent tout deux auprès d'une famille fortuné à Virtual, c'était un tout autre environnement, mais il s'y faisait. Restant toujours auprès de son maître, avant de le laisser une fois le soir venu. Il pouvait flâner et avoir un peu de temps sur lui. Même s'il évitait de parler avec les membres de la demeure, il avait un tel accent qu'il était particulièrement difficile a comprendre.

Enola était une jeune noble qui avait prit le rôle de son père sur les épaules, après sa mort dans un accident assez tristement. Depuis, elle assumait toute les responsabilité, même si ce n'était pas vraiment évident, elle était toujours occupé, et s'épuisait souvent à la tâche.

Par ailleurs, à la demande d'un ami, elle avait du accueillir plusieurs étranger, ce qui n'était pas évident, mais elle touchait une belle somme d'argent en échange, alors elle avait acceptée par besoin. Il n'y avait que le soir, ses frère et soeur déjà enfin couchée, qu'elle pouvait se faire plaisir, et se reposer un petit peu, se promenant généralement pour se vider la tête.

Elle croisa l'un des étranger, alors elle le regarda et se redressa un peu.

"Bonsoir, vous êtes bien installés ? "

Elle le regarda avec un léger sourire.

"Si vous avez besoin de quoi que ce soit, n'hésitez pas à m'en faire part."

Elle était un peu froide, même dans son sourire, malgré tout.

"Je ne connais pas votre nom."

Djellal était en train de profiter de l'extérieur quand la maîtresse des lieux vint le rejoindre. Il la regarda avant de la saluer par politesse.

" Parfaitement."

Il avait toujours un bel accent, alors il espérait qu'elle le comprendrait un minimum. En général, il a pas besoin de parler cette langue la journée conversant dans la sienne avec son maître quand il posait des questions.

" Merci, Madame."

Il la regarda avant qu'elle ne demande son nom.

" Appelez moi Djellal."

Il ne savait pas trop quoi dire avec elle, après tout ils n'avaient pas du tout le même rang social.

Enola ne comprenait pas beaucoup quand elle disait quoi que ce soit. Du coup, elle faisait de son mieux pour le comprendre en traduisant chaque mots trois fois dans sa tête.

"Je suis soulagée."

Elle sourit, avant finalement qu'il ne la remercie.

"Appelez moi Enola. Ou Mademoiselle à la limite, mais seule les femmes mariée sont appelé "madame."

Elle le regarda tranquillement.

"... Enchanté, Djellal."

Elle avait eu un mal fou à le pronnoncé.

"Ne m'en veuillez pas si j'écorce un peu votre nom, j'ai pas l'habitude."

Elle le regarda.

"Vous voulez aller quelque part ? Je peux vous guider si vous le souhaitez."

C'était encore davantage de boulot, mais tant pis. Elle devait se montrer polie aec TOUT les inviter qu'elle le veule ou non.

Djellal avait un bel accent et il doutait un peu que la jeune femme le comprenne. Mais bon, il n'y pouvait pas grand chose malheureusement.

" Oh... Je ne savais pas, excusez moi."

Elle avait par contre beaucoup de mal avec son nom, alors elle risquait de souvent l'écorcher.

" Je ne vous en voudrais pas."

Elle lui proposa juste de faire le tour de la demeure, mais il n'avait aucune envie de faire le tour. Ni de la forcer à le faire et vu le sourire figée qu'elle arborait, il n'y avait pas de quoi donner envie.

" Non, merci. Ne vous sentez pas obligé."

Il la regarda faisant le même sourire qu'il avait bien l'habitude de faire aussi.

" Je ne vais pas abuser de votre générosité."

Enola était une femme assez cordiale, surtout lorsqu'elle ne connaissait pas les personnes en face d'elle puisqu'elle ne voulait par paraître indigne à son statut de comtesse. Un statut pas tout les jours facile à assumer pour le moment, elle était jeune et peu expérimentée.

"... Ce n'est rien."

Elle sourit, avant finalement d'écorcher un petit peu son nom.

"J'espère."

Elle le regarda, avant finalement qu'elle ne lui propose de faire la tour, avec un sourire figée, qui lui rendit 'ailleurs particulièrement bien. Elle le regarda embêtée tout de même.

"... Comme vous le souhaitez."

Elle n'aimait pas tellement cette froideur.

"A dire vrai... je préférais juste que vous oubliez mon statut, vous êtes garde, non ? Ce serait plus simple pour moi. Je ne suis pas là par choix."

Elle s'inclina.

"A bientot."

Elle sourit.

Djellal savait se montrer courtois et sans aucun sentiment. Alors il lui rendit à la perfection, ce qui ne semblait pas vraiment lui plaire.

" ... Ce n'est pas conseillé."

Il la regarda en ajoutant.

" Vous êtes la comtesse et vous ne devez pas être dérangé par moi. Ou baisser votre statut à cause de moi."

Il n'avait pas intérêt à se montrer privilégié, sinon il risquait d'avoir des gros problèmes.

" Passez une bonne soirée, Mademoiselle."

Il s'inclina et la laissa partir, ne pouvant se montrer autrement avec elle. Même si elle le souhaitait, son maître était peut être bon. Mais il était très à cheval sur les principes.

"..."

Elle soupira en l'entendant, elle ne pouvait donc pas se montrer davantage détendu, ce qui l'embêtait quelque peu, mais elle allait juste rester cordial.

"Je ne devrais même pas être à cette place."

Les femmes était mal acceptée en maître de maison après tout. Elle soupira à cette pensée, avant finalement de le regarder.

"Je resterais donc cordiale."

Elle haussa les épaules.

"Bonne soirée"

Elle s'en alla, t finalement elle les rencontra à nouveau le lendemain.

"Bonjour."

Elle les salua poliment.

"Vous allez bien ?"

Djellal ne voulait pas de problème, mais elle n'avait pas l'air de le comprendre. Il n'était pas noble, donc c'était très difficile de se voir autrement et d'avoir les égards de la comtesse.

" Peut être, mais vous l'êtes. Et il m'est difficile de vous considérer autrement."

Il soupira sentant l'agacement de la jeune femme et lui souhaita une bonne soirée à son tour.

" Bonne soirée..."

Il resta un petit moment dehors avant d'aller se coucher. Le lendemain, il retrouva son maître qui se présenta de nouveau à la comtesse, Djellal toujours a ses côtés et silencieux pour rester polie et a sa place. Vu qu'il n'avait pas le droit de dire quoique ce soit ou participer à la conversation. Il devait juste rester disponible au cas où.

- Je vais bien, merci. Et vous, Mademoiselle ?

Le maître la regarda souriant légèrement.

- Votre nuit a t'elle été agréable ?

"....Je comprend."

Elle le regarda et soupira, cela lui manquait d'être un peu princesse tout de même, beaucoup trop, alors elle était vraiment mal.

"Merc."

elle s'en alla et rencontra Jellal le lendemain avec son supérieur.

"Je vais bien, merci."

Elle sourit et s'inclina légèrement.

"Très, et la votre ? Les lieux vous conviennent ? "

Elle le regarda un peu embêtée par la situation tout de même.

"Je peux vous guider quelques part ??"

Djellal les écoutait sans pouvoir rien dire, attendant simplement que le temps passe. Il n'avait pas d'autre choix de toute façon.

- Oui, il fait bien plus chaud la nuit ici, que chez moi. Mais ce n'est pas désagréable.

Elle proposa alors de le guider quelque part.

- On pourrait visiter les lieux ? Après tout, je ne connais pas bien les environs.

Il regarda dehors en ajoutant.

- Et il fait très beau, donc autant en profiter.

Enola aurait aimé que Djellal puisse s'exprimer davantage, mais il n'en avait sans doute pas tellement le droit ce qui l'attristait.

"... j'espère, nous ferons en sorte que vous soyez bien dans tout les cas."

Elle sourit, avant finalement de lui proposer de faire une activité.

"Bien entendu. Un voyage en ville vous conviendrait ? "

Elle sourit. Elle se promena ainsi avec lui. Elle alla en ville et montra les lieux important de la cité, les monuments, restaurant et auberges, le palais aussi, et les institution principales. Mais surtout, elle disait bonjour aux gens du peuples qui lui répondait assez régulièrement.

"... Vous voulez manger ? Il se fait tard, il y a un bon restaurant pas très loin, Djellal, vous mangerez avec nous, je le demande personnellement, vous nous accompagnez depuis ce matin, c'est la moindre des chose que de vous nourrir.

- Je n'en doute pas.

Elle proposa donc un petit tour en ville, ce qu'apprécia le maître de Djellal

- Oui parfaitement.

Du coup, ils firent le tour de la ville et le maître semblait bien apprécier. Regardant les architectures des lieux et les boutiques. Ils marchèrent longtemps alors quand elle proposa le restaurant, c'était un certains soulagement.

- Oui, allons y.

Mais elle voulait inviter Djellal ce qui créa un gros malaise, il n'était pas autorisé à manger en leur compagnie. Et il s'apprêtait à décliner poliment, mais son maître se voyait dans l'obligation d'accepter pour pas offenser leur hôte.

- Si vous insistez ... Il se joindra à nous. N'est ce pas Djellal.
" Oui, monsieur... Merci pour votre invitations comtesse."

Il avait tout intérêt à se montrer reconnaissant et surtout ne pas abuser sur le choix du repas. Sinon il risquait de se faire reprendre plus tard et il en avait vraiment aucune envie.

Enola fit faire à son invité un tour en ville assez rapidement. Il semblait apprécier et proposa de manger dans un petit restaurant. Ce n'était pas vraiment désagréable, bien au contraire, en plus elle avait faim et proposa à Djellal de manger avec eux.

"Je n'aime pas tellement voir les gens qui me servent souffrir de la faim. Et en plus ils sont forcément moins concentrée, c'est pour cette raison, ne lui reprochez rien."

Elle sourit, avant finalement de s'installer commandant sans doute le moins cher des menus, ils n'étaient pas riches malgré les apparence, alors forcément, elle faisait attention à son argent.

"Prenez ce que vous souhaitez, je vous l'offre."

Elle sourit. Elle s'adressait au deux, mais surtout à Djellal, même sans pour autant le regarder, elle ne voulait pas qui lui arrive quoi que ce soit par sa faute. Le repas se passa assez bien.

"Devrais-je vous raccompagner à présent ? "

Elle sourit et se leva pour sortir.

"D'ailleurs, vous avez prévu de rester combien de temps ? Persone ne m'a dit quoi que ce soit.

Le maître n'était pas vraiment pour que Djellal se joignent à eux, mais il était dans l'obligation d'accepter pour lui faire plaisir.

- Donc vous insinuez que je laisse Djellal mourir de faim et que je le néglige par la même occasion.

Elle leur proposa alors de choisir ce qu'ils voulaient manger. Mais Djellal prit seulement un plat et laissa prendre son maître ce qu'il souhaitait. Il y avait quand même un certains malaise et il reprit rapidement sa place une fois dehors.

- Nous devrions rentrer oui...

Ils se levèrent avant qu'il ne continue a répondre.

- Disons que nous restons encore quelques jours. Deux ou trois, mais rien de plus.

Il fit un léger sourire en ajoutant.

- Nous allons pas abuser plus longtemps de votre hospitalité.

Enola n'était pas forcément très douée pour s'exprimer, faisant une petite erreur au passage, alors elle n'était pas à l'aise.

"Non, non, je ne prétends pas cela, mais vous comptiez ne pas le laissez manger avec nous, et je trouvait cela dommage."

Elle le regarda le sourire au lèvres pour ne pas montrer à quel point elle avait été mise à mal l'espace d'un instant, six mois ne lui avait pas suffit pour pouvoir agir comme une vraie comtesse. A la fin du repas, elle proposa à l'homme de rentrer.

"....Bien entendu."

Elle sourit, avant finalement qu'il n'avoue qu'il allait rester que quelques jours pour le moment.

"Je vois."

Elle le regarda.

"Cela ne me dérange en rien."

Elle le regarda.

"C'est un plaisir pour moi de vous accueillir."

Non, en vrais, elle s'en serait parfaitement passé. Elle passa un moment un leur compagnie et les laissa. Le soir venu, elle croisa alors Djellal.

"Dites, votre travail vous plait ? Vous faites quoi vous ? "

- Il aurait mangé juste après.

Il soupira et mangea avec les deux. Cela se passa plutôt bien et ils rentrèrent tout trois chez eux. Djellal se promenait comme a son habitude le soir et la jeune comtesse vint le retrouver assez rapidement.

" Oui, assez."

Il n'avait surtout pas le choix et valait mieux ça que de se retrouver à la rue dans un piteux état.

" Ici, je tiens compagnie et je veille a ce qu'il ait absolument tout ce qu'il lui faut. Chez nous, je m'occupe du bon fonctionnement de la maison et des domestiques."

Mais bon, il était aussi ce qu'on pouvait appeler d'esclave, mais primé vu qu'il avait un beau statut tout de même.

"Je me doute, mais nous risquons de rentrer assez tard, je pense."

Elle sourit, avant finalement de rentrer et resta de son coté, et elle vint parler à Djellal le soir, par curiosité.

"Je vois."

Elle le regarda et croisa les bras.

"Vous êtes une sorte de domestique aussi, alors."

elle le regarda avant finalement de regarder le paysage.

"Mais je suppose que vous n'êtes pas libre de faire ce que vous voulez, vu son comportement, on se permettrait pas d'agir ainsi avec nos domestique. Déjà qu'ils me coutent bien trop cher à tout le monde."

Elle le regarda embêtée.

"Si vous voulez rester ici, par la suite, vous pouvez, on vous paiera. Mais j'ai besoin de quelqu'un pour m'aider à m'imposer et vous seriez parfait Djellal, vraiment, je pense."

Elle sourit.

Djellal rencontra la jeune femme dans la soirée et autant dire qu'il ne faisait pas bien l'éloge de son travail. Et elle l'avait bien senti.

" Oui, on peut dire ça."

Il avait juste un statut d'esclave ne pouvant se plaindre et était obligé de subir les envies de ses maîtres. Protester serait une belle erreur, tout comme prendre la fuite.

" Je ne peux pas faire ça... Ce genre de décision ne m'appartiens pas."

Encore, il aurait été employé, il aurait put faire ce qu'il voulait, mais ce n'était pas du tout le cas.

" Je ne peux accepter votre proposition..."

Enola se permis de discuter avec le jeune homme comme elle le souhaitait, bien qu'elle n'était pas très à l'aise, elle ne savait pas comment s'exprimer auprès de Djellal.


"Je vois."

Elle le regarda et continua à discuter avec lui.

"Comment vous faites pour changer d'employeur."

Elle le regarda, avec beaucoup de surprise, la situation était assez étrange pour elle, alors elle soupira.

"...Mais si vous pouviez, vous le feriez ? "

Elle était sincèrement surprise.

"... Je peux essayer de m'arranger avec lui, si vous le souhaitez, mais c'est pas dans mes habitudes de forcer les gens, donc je ne ferais rien contre votre gré."

Elle inspira et ajouta.

"Sachez simplement que je fournirais le gite et le couvert pendant que vous travaillerez pour moi.

Djella ne pouvait pas changer de maître, c'était pas lui qui pouvait prendre ce genre de décision...

" On ne peut pas, du moins des personnes comme moi ne peuvent le faire..."

Mais s'il avait l'occasion de changer, il le ferait. Même s'il craignait la réponse de son bienfaiteur.

" Cela me dérangerais pas, mais..."

Il avait vraiment peur de sa réaction, il pouvait très mal le prendre et si elle était aussi doué pour convaincre que ce midi; Il allait sans aucun doute se prendre les retour.

" Ne faite rien par rapport à moi, c'est le meilleur moyen pour me mettre dans une situation désagréable. Et je n'ai aucune envie de payer les frais de votre maladresse."

Sur ce point il était franc et sincère, mais il voulait pas que son maître sache son envie de partir et changer de travail.

" Je l'ai déjà dans mon travail et cela me convient."

Il était réellement très inquiet, alors il préférait jouer la sécurité plutôt que de tenter le coup et se rater dans avec des conséquences atroce.

"Je vois ,c'est tout de même compliqué."

Elle passa sa main dans ses cheveux, mais il ne semblait pas convaincu pa rla situation.

"Mais ? "

Elle le regarda curieuse, il ne voulait rien qu'elle fasse, et elle prit un peu mal ses paroles.

"... hum... Je suis si mauvaise que ça ? "

Elle le regarda un peu embêtée.

".. je vois, comme vous le souhaitez."

Elle soupira mais elle allait tout de même en parler à l'homme en question. Elle e tarda pas à laisser Djellal et retrouver l'homme le lendemain.

"...Bonjour, je peux vous parler ?

Elle sourit.

"En fait, je suis très intéressé par les compétence de Djellal. C'est le type d'homme qui me manque. Et j'aimerais savoir s'il y avait des moyens de le negocier d'une maniere ou d'une autre."

Djellal avait une réelle inquiétude au sujet de la jeune femme, après tout rien que pour le repas c'était un véritable désastre.

" Le repas est une belle illustration des risques que je prend."

Du coup, il préféra décliner l'offre et la laissa tranquille. C'est son maître qui eu du coup sa visite.

- Bonjour, oui bien sûr.

En fait, elle voulait avoir Djellal, ce qui le surprenait grandement. Il ne pensait pas qu'elle le voudrait autant.

- Djellal ? Pourquoi donc ?

Il la regarda curieux en ajoutant.

- Et qu'est ce que j'y gagne à vous céder mon esclave, après tout il m'est d'une grande utilité.

"Je vois, je ne pensais pas à ce point."

Elle mangeait régulièrement avec les domestiques, parce que c'était plus simple pour elle et moins couteux, de manger de la nourriture de même qualité, et puis en temps normal, il n'y avait que deux personnes à son service.

Elle avait finit par parler à son maître pour lui faire part de son idée.

"Merci."

Elle lui parla de Djellal.

"Il est compétent, ce qui n'est pas forcément courant chez nous. Et j'ai besoin d'un homme comme lui, la situation n'est pas facile, et je pense qu'il serait plus aisé pour moi de le prendre à mon service."

Elle sourit.

"Je ne sais pas, je suis venu vous demander ce qui vous plairait."

Elle n'avait que trop peu d'argent à lui offrir, mais elle avait encore de beau tableau.

"Il y a des oeuvres d'art, ou... Vous pouvez me proposez ce que vous verriez de valable pour remplacer votre homme."

Le maître de Djellal était surpris par sa demande, mais il ne comptait pas le laisser prendre aussi facilement. Bien au contraire, s'il devait le laisser ce n'était pas sans contre partie.

- Je ne vois pas tellement les compétences dont vous parlez... Mais bon.

Il soupira avant de réfléchir à ce qu'il pourrait avoir.

-Hum... Soit une personne qui pourrait le remplacer à mon service. Soit quelqu'un qui puisse m'en payer un nouveau.

Il la regarda avant d'ajouter.

- Qu'est ce qui vous serez le plus simple ?

Sachant qu'il était un homme d'affaire, cela risquait pas d'être une petite somme.