Un papillon dans la ville...

La jeune femme ne voulait rien faire, pas même se lever ce qui ne comprenait pas vraiment Kazuto, bien qu'il savait qu'elle n'avait pas dormit beaucoup à ses poches sous les yeux. Il devina sans mal qu'il était la faute du mauvais état de Tsubaki puisqu'elle était arrivée hier en forme et qu'à présent elle ne l'était plus.

"Pourtant, il faut bouger..."

La jeune femme mit Kazuto dans le tord juste après ce qui le fit sentir tout particulièrement mal. Elle n'avait pas tord, mais il ne pouvait pas pour autant se permettre d'avouer qui il était pour le moment, elle ne voulait pas le savoir, mais en plus il fallait qu'il réfléchisse sur les erreurs qu'il avait commises sans pour autant le vouloir.

"Tout ceci est vrai, je suis désolé."

Kazuto ne voulut pas se reposer jusqu'à ce que la jeune femme décide de ne pas lui laisser le choix autre que dormir, cependant, il voulut dormir avec elle.

"Je me reposerais...."

Il finit par lui même s'endormir.

___

Orias cherchait un moyen d'enlever Tsubaki, la nouvelle femme du géant invisible, elle était le seule point faible de cet homme secret puisqu'elle était sa femme, il espérait pouvoir le manipuler grâce à elle car il était vraiment étrange pour lui de prendre une femme. Alors il surveilla les environs où elle se rouvait et profita qu'elle soit seule dans le salon pour l'assommer et l'enlever. Il l'emmena alors dans un petit entrepôt où il l'attacha et attendit son réveil.

"Eh bien c'est pas trop tôt..."

Tsubaki n'avait aucune envie de se lever ce n'était pas le moment d'insister. Elle s'accrocha même a son oreiller pour montrer son désaccord.

" Je n'ai pas envie..."

En tout cas, Kazuto essaya de la faire changer d'avis a propos de son maître. Mais elle ne changea pas de point de vue au contraire. Elle argumenta parfaitement et il fut obliger de capituler. Elle n'avait pas si tord que ça. Enfin, c'était un sujet a part maintenant elle était préoccupé par la santé de Kazuto. Le forçant ainsi a dormir. Hors il la força également la mettant dans une fâcheuse situation. Prise de remord, Tsubaki ne put rester dormir bien longtemps et rejoingnie le salon avant de succomber a un coup sur la tête

Un trou noir avait envahit la jeune femme, la forçant a dormir bien contre son grès. Au moins elle se reposa, mais son réveil fut énergique. Dès que l'homme lui adressa la parole, il se prit la chaussure de la jeune femme en plein dans le front et sans douceur.

" Vous aviez qu'a pas m’assommer si vous êtes pressé. Réfléchissez avant d'agir espèce d'idiot."

Tsubaki était de très sale humeur tout en regardant cet homme d'un regard noir. Bizarrement elle n'avait pas peur, elle était tout simplement agacé par tout ses types qui voulaient quelque chose d'elle alors qu'elle avait rien demander. La rendant infecte avec toute personne qui oserait la contrarier. Elle soupira exaspéré avant de murmurer pour elle.

" Cette enflure, si je le croise je le tabasse..."

Tsubaki en avait encore plus après son mari qu'elle avait vraiment envie de tabasser. A cause de lui elle se retrouvait attacher dans un hangar. Et comme elle était pas patiente, elle envoya sa deuxième chaussure sur le type en face d'elle.

" Bon vous vous dépêchez de faire votre rançon, oui ou non !"

Tsubaki préférait rester ainsi plutôt que se lever, mais ils discutèrent un peu à propos du mari, même si cela se passa très mal. Il se sentait coupable, et ne pouvait rien reprocher à la jeune femme puisqu'elle avait raison en ce qui le concernait, il ne pouvait pas prétendre être son mari et la respecter alors qu'il n'avait absolument rien fait pour la rendre heureuse et tout fait pour qu'elle soit malheureuse, même si ce n'était pas voulu. Il finit par dormir avec elle, mais lorsqu'il se réveilla la pièce était vide, et l'appartement entier était vide. Il paniqua, ce n'était pas normal puisque la jeune femme était sensée dormir.

Il commença alors à chercher dans les rues, mais se doutant que ce n'était pas dans celles ci qu'elle était, il se dirigea sur son bureau pour essayer de déterminer l'endroit ou Tsubaki se trouvait, il avait réussi à localiser ce qu'il avait laisser sur ses vêtements plus tôt. Une puce quasiment invisible à l'oeil nu.

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La jeune femme tarda à se réveiller et la première chose qu'elle fit, fut de lui jeter dans la tête sa chaussure. Il fronça les sourcils agacé.

"Mais tu es stupide pour me jeter ta chaussure dans la tête..."

Il la regarda agacé, elle semblait tétue et la fatigue ne devait pas l'aider à être en forme. Elle parlait même toute seule. Il finit par lui répondre.

"Je veux juste des informations sur votre mari, si vous le fait vous serez libéré saine et sauve."

Tsubaki avait été enlevé pour une affaire de pouvoir. C'était sans doute a cause de la notoriété de son mari. Qu'elle ne connaissait même pas d'ailleurs et qu'elle détestait de plus en plus. Le temps ne faisait qu’aggraver les choses et les évènements firent de même puisqu'elle était prisonnière dans une sorte d’entrepôt. Du coup elle était de très mauvaise humeur. Cette colère l'anima tellement qu'elle osa défié l'homme qui se trouvait en face d'elle en lui balançant sa chaussure dans la tête.

" Peut être mais il fallait bien que je me défoule sur quelqu'un. Pas de chance vous êtes a porter de tir."

Tsubaki lui jeta un regard des plus noirs, indirectement elle ne lui en voulait pas. Elle en voulait surtout a son mari. C'est lui qui l'avait mise dans se pétrin si elle avait été chez elle, elle n'aurait rien eu de cela. En tout cas l'homme voulait des informations sur son mari... Tsubaki le regarda exaspéré avant de soupirer ennuyé.

" Et vous croyez sérieusement que je le connais ?"

Elle le regarda sérieusement, elle ne rigolait pas du tout. C'était son deuxième jour de séjour, alors comment pourrait elle le connaître. Et comme a chaque fois qu'on parlait de son mari elle s'emportait furieuse.

" Qu'est ce que je connaîtrais d'un sale type comme lui ? Je ne le connais pas et je ne le connaîtrais jamais ! Il m'a épousé juste pour les affaires avec mon père, je n'apporte rien d'autre. Que ce soit a vous où a lui. Je ne vois pas en quoi il prendrait la peine de me parler ou même de me voir."

Tsubaki le regarda froidement avant de continuer.

" Je suis désolé, mais je ne suis qu'un pion inutile. Je n'ai aucune valeurs et vous devrez vous en contenter."

Tsubaki se redressa pour mieux s'installer et ferma les yeux pour se détendre. Parler avec un tel homme. Elle était sincère, mais un homme tel que lui devait être borné et voudrait sans doute une réponse qu'il désirait entendre. Hors elle ne connaissait pas les réponses. Et elle ne voulait pas les connaître. Tsubaki les détestait tous, elle est juste un pion ici et cela la faisait souffrir. Ne pas avoir de valeur véritable lui faisait mal. Donc d'un côté elle se fichait bien de ce qui pourrait lui arriver. Il pouvait la taper, elle ne dirait rien.

"J'ignore si vous êtes d'une inconscience stupide, ou si vous êtes juste naïve pour croire que je vous laisserais vous en tirer sans effort..."

Orias était patient car les affaires lui imposait de l'être, seulement, comme tout être humain il possédait des limites à ne pas dépasser, et la jeune femme pousserait sans doute les limites de sa patience très bientôt. Il était difficile de savoir comment se comporter avec cette jeune femme, car elle semblait assez bornée et ne semblait pas du tout effrayé par lui. Apparemment Tsubaki ne savait rien sur cet homme ce qu'il ne comprenait pas.

"Vous êtes sa femme, non ? C'est tout de même la moindre des choses..."

Pour lui, il était inconcevable que la jeune femme ne connaisse pas son existence alors qu'elle était actuellement la personne la plus proche de lui. Cependant elle affirma qu'elle ne le connaissait pas ce qui était en soit gênant, elle était inutile, mais maintenant qu'elle l'avait vu il devait l'éliminer. Il prit alors une arme, mais le grincement de la porte le coupa das son élan.

-Ne la touche pas !

Kazuto était venu pour la sauver, il semblait avoir beaucoup couru pour atteindre la jeune femme, et Orias se mit à rire.

"Qui aurait pensé que c'était toi, son mari..."

Kazuto le regarda surprit, il n'avait jamais rien révéler à personne, pourtant il avait l'air d'avoir réalisé son identité. Il s'était trahit à force de n'être pas assez discret.

-Maintenant que tu sais qui je suis, tu peux la laisser partir n'est ce pas ?

Orias hésita un moment, et pointa son arme en direction de la jeune femme. Kazuto prit alors son arme et tira très vite, Orias evita le coup, mais au moins le jeune homme avait eu le temps de rejoindre la jeune femme. Il la détacha.

-Sauve toi...

" Je suis loin d'être naïve, je sais pertinemment que j'en ressortirais pas vivante. Les hommes comme vous mentes comme il respire pour faire parler leur victime. Mais c'est pas pour autant qu'elle sera vivante a la fin. Au contraire."

Tsubaki n'était pas bête loin de là. Qu'elle parle ou non, le sort était le même. Elle mourrait, donc bon. Même si elle avait sut quelque chose elle l'aurait affronté, la c'est pareil. Elle n'allait pas capituler en face de lui.

" Il faut croire que non. Et je me serais bien passer d'être sa femme. Cependant je n'ai pas le choix."

Tsubaki expliqua bien énergiquement qu'elle ne savait rien et qu'elle ne saurait rien du tout. L'homme n'était pas satisfait c'était évident. Et comme elle le pensait, il allait la tuer. Tsubaki ne tressaillit pas du tout et le fixa d'un regard noir quand un grincement de porte lui détourna son attention. Kazuto était venu la chercher. L'homme par contre dit quelque chose de surprenant puisqu'il disait que c'était lui son mari. Hors elle ne pouvait y croire, pourquoi le majordome. Ensuite tout s'enchaîna très vite, l'homme voulait la tuer mais Kazuto intervint lui donnant le temps de la détacher et normalement de fuir.

" Vous me tapez sur les nerfs."

Elle arracha l'arme des mains de Kazuto avant de tirer rapidement, dans le genou de l'homme ainsi que dans la main droite pour l'empêcher d'utiliser une arme quelconque.

" Je suis peut être une femme inutile. Mais il y a bien une chose en quoi j'excelle c'est le tir et la précision."

Tsubaki le regarda toujours l'arme pointé vers lui. Elle connaissait les endroit les plus douloureux et qui pouvait immobiliser un homme. Tsubaki regarda Kazuto furieuse avant de le gronder.

" Toi par contre ! Ne pense pas non plus t'en tirer comme ça."

La jeune femme regarda l'arme de leur ennemie avant de tirer dessus pour l'envoyer balader plus loin. Sur ce elle prit la main de Kazuto pour partir rapidement.

"Pas forcément, puisque je pourrais me servir de votre vie afin de faire peur à cotre mari, il est connu pour ses affaires dans la ville, mais il ne nous paye pas de taxe, cela veut dire que s'il compte rester ici, il doit les payer tu feras donc une parfaite monnaie d'échange."

Seulement la jeune femme ne connaissait rien de son mari, et si c'était le cas alors cela voulait dire qu'il se fichait aussi d'elle sinon elle connaitrait au moins son visage, à partir de ce moment là elle ne lui fut plus d'aucune utilité.

"Pourtant, je suis sûre qu'il y a une raison pour laquelle il vous a choisit vous, alors que d'après les rumeurs il perd plus qu'il ne gagne."

Orias ne pouvait connaître la réalité, mais il était plutôt bien informé e particulier grâce à Attia mais aussi grâce à des membres plus bas de la mafia. Comme elle était inutile la jeune homme prit son arme pour tirer sur la jeune femme, seulement il dû éviter une balle de la part de Kazuto qui venait d'arriver. Il rejoignit la jeune femme et la libéra en lui demandant de se sauver, mais elle refusa, et tira sur Orias qui évita une balle sur les deux.

"Vous êtes stupide ! Il n'est pas humain..."

Il soupira avant de courir avec la jeune femme, cependant il se mit derrière le façon à ce qu'elle ne soit pas toucher par les balles qui arrivait. Une fois à l'extérieur il prit les devants et emmena la jeune femme jusqu'à sa voiture quand une balle le frôla. Il était chanceux, alors il poussa la jeune femme dans la voiture et s'enfila rapidement dedans pour partir en sécurité malgré les balles qui fusaient dans leur direction et qui percutait la carrosserie de la voiture. Kazuto se détendit une fois hors de portée de cet homme et il traversa la ville en allant à l'opposé de l'appartement et s'arrêta quand il n'y avait plus de maison en vue.

"Vous avez des questions ?"

Il sortit à l'extérieur après avoir attendu. Il observa le paysage songeant à la façon de mettre la jeune femme en sécurité.

" Ce n'est pas vraiment mon mari qui s'inquiètera le plus pour moi..."

Et comme il s'en rendit compte, elle ne le connaissait pas du tout. Ce qui montrait bien une distance entre les deux.

" Merci pour l'info. Vous me rendez encore plus inutile que je le suis ..."

Tsubaki le regarda exaspéré avant que tout ne s'agite. Elle allait mourir, c'était évident. Pourtant, Kazuto ne tarda pas a arriver, se présentant comme son mari. Surprise et incrédule, la jeune femme regarda la scène surprise. En tout cas Tsubaki avait tiré sur l'homme et malgré tout cela faisait un bien fou.

" Peut être mais sa soulage."

Puis ils prirent la fuite rapidement, malgré toute les balles qu'on tirait sur eux. La voiture n'était pas très loin donc ils purent fuir rapidement. Kazuto la conduit a l'extérieur de la ville avant de lui demander si elle avait des questions. Tsubaki le regarda agacé avant de lui mettre une belle châtaigne. Son calme revint d'un coup ce qui lui permit de soupirer soulagé.

" Maintenant ça va mieux."

Puis elle sortit également de la voiture tout en sortant son téléphone.

" Allo, Karen ? Oui c'est moi, j'ai d'affreux ennuie sur ce coup..."

Tsubaki traita avec elle quelque minute avant de finir soulager.

" Merci tu m'aides beaucoup. Par contre tu aurais put me prévenir pour Kazuto t'es vache !!!"

La jeune femme soupira agacé avant de terminé et raccrocha. Elle regarda Kazuto avant de le regarder agacé.

" Bon, je me suis débrouiller pour l'autre type. Cependant, j'ai une question a te poser. Pourquoi tu m'as choisis moi ? "

Orias était vraiment déçu de ne pouvoir récolter aucune information sur la personne qu'il recherchait, mais il fut heureux de comprendre que Kirigaya kazuto était le mari de la jeune femme et donc le riche propriétaire d'une entreprise. Seulement, il paraissait bien jeune pour être le véritable patron, mais au final cela semblait logique pour lui puisque Kazuto avait caché son image à tout le monde, c'était peut être parce qu'il était très jeune lorsqu'il avait commencé à travaillé. Plus jeune peut être que Arès.

Kazuto voulait que la jeune femme ne soit pas blessé alors il lui demanda de s'en aller, mais elle tira sur Orias.

"Ce n'est pas vraiment le moment..."

Puis ils avaient réussit à s'enfuir de manière plutôt miraculeuse, et il emmena la jeune femme à l'exterieur de la ville en lui demanda si elle avait des question. Elle lui mit un coup qui le fit bondir surprit.

"Huuuuh..."

Tsubaki passa alors un moment au téléphone et il essaya de comprendre la conversation curieux sans pour autant en comprendre les détails. Seulement que la personne savait en ce qui le concernait, il se posa d'un seul coup une question sur l'identité de sa femme. En plein réflexion il mit un court moment avant de répondre à la jeune femme.

"C'est un raison que tu trouveras stupide..."

Il soupira mais ce sentant forcé il finit par l'expliquer.

Juste que j'ai vu une exposition de tes Ikebana et j'ai craqué pour eux, je me suis alors renseigné sur leur créatrice, qui tait toi et même si tu t'en souviens probablement pas, j'ai même fait en sorte de te rencontré plujsieurs fois... J'ai choisis de cette manière, tu me paraissait parfaite.

C'est vrai que malgré tout les évènements, c'était pas trop le moment de tergiverser. Au contraire, il fallait plutôt fuir que passer ses nerfs. Tsubaki n'était pas tout a fait d'accord, au contraire. Si c'était un immortel autant passé ses nerfs dessus. Mais il est vrai que le plus raisonnable était de suivre son mari. Chose qu'elle se faisait pas vraiment. De plus elle lui en voulait un peu de ne lui avoir rien dit. Les secrets ça la connaît. Surtout qu'elle est plutôt discrète on ne peut pas connaître sa condition véritable en un claquement de doigt.

En tout cas, chose dit chose faite. Dès qu'elle devait voir son mari elle devait lui mettre une châtaigne en pleine tête. Cela la soulagea grandement et elle put ainsi parler à Karen en toute sérénité. Par contre, il fallait absolument qu'elle parle a Kazuto. Pourquoi il l'avait choisit elle ? Pour la manipuler, juste parce qu'il n'avait pas le choix ? Elle ne comprenait pas vraiment son intention. En tout cas il disait que la raison était stupide.

" Dis moi."

Elle le regarda avant d'entendre son explication. Cela était surprenant et elle ne s'y attendait absolument pas. Mais rien que la raison, la toucha énormément.

" Je trouve ça adorable."

Tsubaki sourit chaleureusement avant de demander plutôt sérieusement. Cela ne pardonnait pas ses silences.

" Mais pourquoi tu t'es caché de moi... C'était un test..."

Elle le regarda tristement avant de continuer.

" De plus tu aurais put m'écrire, ou même venir en temps que majordome pour me montrer les papiers. Avoir un contact... "

Tsubaki était une femme étrange e réalité, et l'identité qu'elle semblait avoir n'était pas complètement vraie. Il ne savait plus trop quoi pensé de cette jeune dame qui était énervé contre lui. Il fut cependant surprit qu'elle lui demande la raison pour laquelle il avait voulut qu'elle soit sa femme. Cependant, il trouvait cette raison stupide, même si elle insistait.

"Très bien..."

Il lui céda sans trop de problème et lui expliqua, sa réaction fut moins vive qu'il ne l'aurait songé, puisqu'elle ne se moquait même pas de lui. Il afficha un regard gênée quand elle précisa qu'elle trouvait sa raison adorable.

"Ce n'est pas adorable du tout..."

Elle préféra lui demanda pourquoi il avait préféré se taire sur son identité. Il ferma les yeux doucement et réfléchit.

"Je ne pouvais pas révéler mon identité à une inconnue...Pas en tout cas sans savoir si je pouvais te faire confiance."

Aux paroles suivante de la jeune femme il rit nerveusement, puis avoua sans détour :

"Je n'y ai pas pensé, ça ne m'est absolument pas venu à l'esprit, j'étais tellement préoccuper à l'idée d'avoir fait un bon ou mauvais choix, tellement préoccupé que j'ai oublié que le plus importait était peut être ton ressentit, tu es celle qui est imposée de te marier avec moi après tout."

Alors, en tant que Kirigaya Kazuto il se mit en face d'elle et s'inclina à 90 degré preuve d'un pardon avec du respect.

"Pardonnez moi de vous avoir fait souffrir..."

Puis il se redressa et la regarda droit dans les yeux.

"Voulez vous restez avec moi même en connaissant la difficulté ou préférez vous partir, ce que je comprendrais..."

Tsubaki avait également un secret, mais ses informations qu'elle contenait ne concernait pas Kazuto. Donc normalement il n'avait aucune inquiétude a avoir a son sujet. Hors elle se devrait d'être franche avec lui tôt ou tard.

Pour le moment, elle voulait savoir pourquoi Kazuto l'avait demander elle en mariage. Cela pouvait en être une autre. En tout cas elle fut surprise, voir toucher par une telle raison qu'elle trouva particulièrement adorable.

" Si, ça me touche beaucoup tu sais."

En tout cas il pouvait pas vraiment faire confiance a la jeune femme. Alors il préféra garder ses distances...

" Tu aurais dut t'informer sur moi avant de m'épouser. N'importe qui, qui t'aurait voulut du mal aurait vite fait de te percer a jour."

En ce qui la concerne, ce n'était pas son domaine; Donc elle s'y était même pas intéressé. Elle avait beaucoup trop de chose a voir a côté. En tout cas, Kazuto n'avait pas penser a mal en ce qui la concernait. En tout cas il lui refit une demande pour savoir si elle resterait toujours a ses côtés ce qui fit sourire la jeune femme.

" Eh bien... Je vais surtout avoir besoin d'un majordome pour m'assister."

Tsubaki le regarda et sourit doucement.

" Je vais devoir faire une dérogation a mes devoirs. Et mettre mes compétences a la disposition de mon mari afin de le protéger."

Elle le regarda un instant avant de finir.

" Pouvez vous me suivre dans ce périple ? Kirigaya"

Kazuto craignait que la jeune femme n'accepte pas ses raisons et lui en veuille, pourtant il était content de l'avoir choisit malgré qu'il ne la connaisse que très peu. Elle ne se laissait pars marcher sur les pieds, mais il valait mieux pour sa sécurité, même si elle risquait parfois sa vie plus qu'elle n'essayait de la conserver. Tsubaki pouvait cacher des secrets, Kazuto ne s'en préoccupait guère car il ne souhaitait pas la considérer comme une menace. Bien sûr, il était méfiant, mais pas autant qu'il ne le devrait.

Kazuto dut s'expliquer sur la raison pour laquelle il avait choisit la jeune femme. Un peu gêné il lui avoua et elle sembla apprécier la raison. Il ajouta quelques mots.

"Si j'avais pu ne pas me marier, je l'aurais fait, mais je n'avait pas le choix les demandes se faisait de plus e plus pressante, je me suis dis que quitte à être marier je préférais que ce soit quelqu'un avec qui je puisse bien m'entendre."

Il esquissa un sourire discret, puis elle parla sur le fait qu'il aurait pu facilement être percé à jour, il dit alors :

"Si cela avait été le cas, j'aurais reçu une demande de la part de ta famille, ce n'était pas le cas, j'ai moi même demandé si ça les intéressait, donc il y avait peu de chance que tu sois après moi."

Il demanda à la jeune femme si elle voulait rester à ses cotés, elle dit qu'elle avait besoin un majordome pour aider son mari, et si lui en tant que majordome accepté de l'accompagner.

"Vos désirs sont des ordres, madame..."

Il lui attrapa la main et lui embrasse avec douceur.

"Devrions-nous rentrer à présent ?"

Il ouvrit la portière de la voiture pour y faire rentrer la jeune femme, puis rentrer à son tour.

"Nous allons changer d'endroit pour le moment, ce n'est pas prudent de rester das l'appartement."

Kazuto était en faites son mari et aussi étonnant que cela puisse être. La jeune femme dut bien accepter cette réalité. Après tout en majordome il n'était pas si méchant, certes un peu sur protecteur. Mais il reste adorable. En tout cas lui, il se serait bien dispenser de se marier. Et quitte a le faire, il préférait quelqu'un avec qui il s'entendrait bien.

" C'est pas courant, d'habitude on préfère une personne qu'on aime vraiment."

En tout cas elle s'inquiéta pour sa décision cela aurait put être pire. Elle, elle n'avait rien a trouver chez lui. Mais une personne intéressé aurait put le fouiller. Mais comme sa famille n'était pas intéressé. Tsubaki sourit embêté avant de répondre.

" Non, ils étaient plutôt intéressé par une autre famille qui est également dans les Ikebana. Hors, ils ont accepté ta demande. Tu pouvais êtres une assurance en sois."

Puis Tsubaki accepta de rester avec lui pour l'épauler. Kazuto n'avait plus beaucoup de possibilité et peut être que maintenant elle le connaissait. Elle pourrait l'apprécier et voir plus. En tout cas, elle précisa en majordome. Donc d'un côté, elle gardait la couverture de Kazuto avec elle et ferait tout pour que les gens y croient. Déjà qu'elle on croyait qu'elle n'était qu'une simple noble. Alors qu'elle était informatrice et gérer un quart des affaires des Kikutas.

Kazuto repris ensuite son rôle et Tsubaki sourit doucement amusé.

" Oui, il vaudrait mieux."

En tout cas, Kazuto précisa qu'il valait mieux quitter l'appartement pour le moment et se diriger a un autre endroit.

" On peut prendre un de ses hôtels appartement pour le moment."

Elle attendit sa réponse avant de se laisser guider là où il souhaitait.

"Difficile de trouver une personne que l'on aime quand la plupart des gens ne sont intéressé que pour les affaires, le pire est de trouver une famille qui veuille bien lâcher leur fille à un majordome qui n'a pas de temps pour soit, en apparence."

C'était pour cela qu'il avait choisit quelqu'un avec qui il pourrait s'entendre plutôt que quelqu'un qu'il aimait. En plus malgré tout la jeune femme n'était pas intéressé par sa famille et donc sa richesse, puisqu'il n'avait même pas fait une demande, elle expliqua ce fait, par ses parents qui souhaitaient une famille dans le même domaine qu'eux.

"Je suis ravi qu'ils aient accepté..."

Puis la jeune femme accepta de rester avec lui et de le soutenir ce qui lui fit très plaisir. Il devrait se comporter en tant que majordome avec la jeune femme, mais s'ils étaient seuls il pouvait agir de manière plus détendu et moins respecter les codes, déjà qu'il se laissait un peu aller.

"Mhh, ça me parait bien, il faudra juste que je fasse en sorte que ton mon courrier soit envoyé la bas..."

Il partit donc en direction d'un hôtel tranquille hors de Tenebrae et precisa en chemin.

"Vous êtes la personne qui a besoin d'être le plus protéger ... Je frais en tout cas en sorte qu'il ne vous arive rien de mal."

Puis quand il arrivèrent Kazuto demanda un appartement avec deux chambres.

"Je vous laisse vous installer je vais vérifier qu'il n'y a rien qui puisse nous mettre en danger."

" Personnellement, je ne comprendrais jamais la réaction de mes parents. Je ne vois pas pourquoi il m'ont confié a toi, alors que justement on ne savait rien..."

Tsubaki eut soudainement un déclic et comprit rapidement pourquoi ils ont accepter.

" ... je crois que j'ai compris en fait..."

Cela ne pouvait être que Karen qui avait répondu au question de ses parents. Cela semblait plus qu'évident. Vu que quand elle l'avait appelé, elle demandait si Kazuto était bien a ses goût et si elle ne s'était pas tromper. Tsubaki soupira exaspéré avant de suivre Kazuto dans la voiture. Là elle proposa une idée qui était un hôtel faisant aussi office d'appartement. Et il trouva l'idée plutôt bonne.

" Je te conseillerais de l'envoyer a une autre adresse. Sinon il sera très facile de nous retrouver."

En général quand Tsubaki ne voulait pas qu'on la retrouve elle s'occupait du courrier pour qu'il arrive ailleurs. Hors lui, il donnait limite leur position a n'importe qui, ce qui déconcerta un peu la jeune femme. En chemin, Kazuto avoua son désirs de la protéger. Elle était la plus en danger. En général elle a une grande protection avec elle, mais connaissant Karen, elle pourrait s'amuser a faire des paris. Du coup elle soupira avant de répondre.

" Sans doute, mais je négligerais pas non plus ma personne. N'oublie pas que ton identité est partiellement révélé Kazuto. Je vais même devoir réfléchir a rectifier tout ça..."

Elle commençait déjà a penser a une façon de tout remettre dans l'ordre afin que Kazuto reprenne sa place de majordome. Une première idée lui était déjà même parvenue. Restait a l'appliquer.

Arrivé a l'hôtel, Kazuto demanda un appartement avec deux chambres. Ce qu'on fit rapidement et Tsubaki put installer rapidement ces quelques affaires. Après tout elle n'avait absolument rien préparé. Ils étaient partit sur le tas. De ce fait elle commanda quelque vêtement de rechange a la réception.

C'est vrai qu'il était étrange pour les parent de la jeune femme d'avoir accepté en ne connaissant rien sur le futur mari, mais elle semblait en avoir comprit la raison, il la regarda interrogatif sans forcément attendre de réponse à sa question. Quand il furent dans la voiture la jeune femme lui dit de ne pas l'envoyer à l'adresse de l'hotel.

"Je ne suis pas idiot, de toute façon c'est déjà un employé qui m'apporte les courrier, j'ai juste à lui dire que j'ai changé d'endroit puisque tout arrive chez lui..."

Kazuto avait caché son identité durant des années il n'était pas assez idiot pour se faire repérer si facilement. Et cet employé il pouvait avoir confiance en lui puisque la personne en charge était celle qui s'était toujours occupé de son père adoptif puis de lui, il était la seule personne à avoir su son identité avant Tsubaki.

Dans tout les cas Kazuto protègerait avec sa vie Tsubaki, même si elle ne saurait jamais à part un fois qu'il serait trop tard qu'il était prêt à se sacrifier pour la laisser en vie. Elle prenait part à une histoire qui n'était pas complètement la sienne.

"De toute manière elle éclatera bientôt au grand jour, j'en suis quasiment sûre... Mais en attendant je dois vous protéger de mon mieux."

Kazuto réserva les chambre et vérifia si personne d'étrange ne les avait suivit avant de se rendre dans la chambre. Il réfléchit un petit moment.

"Au fait, ça n'a aucun rappor avec les dangers qui nous guettent, mais j'ai une salle d'expo de libre, et j'aimerais faire quelque chose sur l'Ikebana, tu pourrais m'aider ?"