Quand la musique traverse le temps et les mondes...

"Dis plutôt que tu ne veux pas m'ignorer..."

Puis il se mit à embêter un peu la jeune femme. Ce n'était pas pour la traumatisé, mais juste pour lui faire comprendre qu'il ne lui faisait rien jusqu'à présent. Si la jeune femme le frappa, cela n'avait pas été l'effet escompté de la voir complètement traumatisé. Il avait finit par la lâcher en lui disant que de toute façon cela n'avait pas été son premier baisser mais apparemment il s'était trompé. D'un seul coup il se sentit coupable de l'avoir embrassé.

"Je suis désolé, je ne pensais pas..."

Puis lorsque la jeune femme prit la fuite il la rattrapa en lui prenant le bras. Elle lui dit de réfléchir avant.

"Je ne pensais pas qu'à ton âge... 'fin,, que tu serais... Si peu avancée ?"

Il ne savait pas vraiment comment l'exprimé, puisqu'il était étonnée par la révélation de la jeune femme. Le lendemain matin, il alla dans le salon, la jeune femme semblait l'avoir oublié vu la tenue dans laquelle Konoé était. Alors, il la regarda de derrière le canapé et entoura doucement ses épaules et lâcha un petit baiser sur sa joue.

"N'oublie pas que je suis là, la prochaine fois..."

Il frotta sa tête contre la sienne toujours sous sa forme démoniaque, il ressemblait plus à un chat qui se frottait partout qu'à un vrai Lyam.

"Tu m'en veux toujours ?"

" Je ne peux pas..."

Et Lyam fit tout pour pas qu'elle l'oublie puisqu'il lui montra qu'avant il ne lui avait rien fait. Hors il avait brisé toute crédibilité en effectuant ses gestes. En plus de ça, il lui vola son premier baiser chose qu'elle n'était pas prête de lui pardonner.

" Qu'importe, même si ça n'avait pas été le cas. Je t'aurais tout de même hais."

Puis il lui dit particulièrement vexante comme quoi a son age, elle aurait put aller plus loin. Konoé s'enflamma immédiatement avant de crier sur lui.

" Qu'est ce que ça peut te faire ! Je ne sors pas avec n'importe quoi !"

Elle le regarda furieuse avant de partir tout en se retenant de le frapper une autre fois. Quand on le frappait il avait l'affreuse manie de revenir comme un boomerang...

La nuit passa plus calmement et Konoé put ainsi se reposer ainsi que se détendre. Le matin, elle fut de nouveau dans le milieu de sa forme. Mauvaise humeur en plus d'être encore plus dominatrice qu'elle ne l'est déjà. Du coup quand Lyam arriva en lui entourant doucement les épaules tout en lui embrassant la joue. Konoé soupira et répondit a ses paroles en le repoussant d'une main.

" C'est jour de relâches ? Les meubles c'est contre un mur et surtout. ça se tait !"

Elle le regarda agacé avant de se faire frotter la joue par Lyam. Konoé soupira ennuyé, il y avait vraiment rien a faire. Il n'allait pas la lâcher.

" Mais tu n'as pas fini oui ?!!"

Konoé avait finit par craquer et se redressa rapidement en attrapant le col de Lyam qu'elle traîna derrière elle. Elle le donna même à un majordome.

" Nourrissez le, lavez le. Et une fois que le chaton est tout beau tout propre. On y va."

Elle le regarda énervé avant de lui tourner les talons. Ainsi elle rejoignit Ideru qui lui passa ses affaires. Konoé se prépara tranquillement et revint dans le hall d'entrée qu'une fois prête.

"Désolé..."

Même si la jeune femme ne lui pardonnait pas, il se sentait coupable et cette culpabilité le poussait à s'excuser. Il savait que pour certaine personne leur premier baiser avait de l'importance et s'il ne savait pas si cela avait de l'importance pour la jeune femme, l'embrasser n'était pas en soit très agréable pour elle. Puis il dit quelque chose de vexant sans vraiment le vouloir et la jeune femme s'énerva.

"C'était pas un reproche !"

Il n'avait en aucun cas voulut le vexé et en hésitant sur ses paroles il avait voulut y aller le plus délicatement possible.

"Personne ne t'as dit de sortir avec n'importe quoi !"

Même s'il se sentait particulièrement visé par les paroles Lyam préféra ne rien en dire pour ne pas empirer son cas. Il dormit plutôt bien dans le lit de la jeune femme bien plus confortable que le lit qu'on lui avait installé. Le lendemain matin il alla voir la jeune femme qui le repoussa peu de temps après.

"Je ne suis pas un meuble..."

Puis il se frotta contre elle, et elle râla comme prévu.

"Nan !"

Puis elle attrapa le col de Lyam en se redressant et le traînait il suivit sans vraiment comprendre, puis à ses paroles il comprit qu'elle le traitait comme un animal. Il se mit à rire en se laissant faire, mais une fois hors de portée de Konoée, il râla et se prepara par lui même. Il rejoignit ensuite Konoé.

"On y va ?"

Il avait son sourire charmeur, mais c'était vraiment naturel pour le moment, il ne s'en rendait même pas compte.

Konoé se disputa de nouveau avec Lyam sur un sujet bien sensible pour elle. Konoé est une très belle femme et les avances ne manquer pas. Cependant elle possédait un tel caractère qu'il était très difficile de la supporter. Voir même d'envisager une relation avec elle. Beaucoup trop indépendante et dominatrice pour qu'on la supporte. Ainsi, elle refusa régulièrement les demandes pour les autres et surtout pour elle. Elle n'avait aucune envie de tomber amoureuse. Et ce qui l'agaçait à Lyam, c'est qu'il ressemblait plus à un moulin qu'autre chose.

" Ah oui ? Pourtant le fait que je ne sortes pas avec quelqu'un ressemble a de la bizarrerie. A mon âge !"

Elle le regarda agacé avant de partir, peu désireuse de continuer cette conversation ennuyeuse. Le lendemain, la jeune femme ne s'habilla pas complétement; Elle était simplement vêtu d'une chemise d'homme. Du coup, quand Lyam marqua sa présence, elle l'éloigna a une distance raisonnable tout en le critiquant.

" Je croyais que je devais t'ignorer. Donc fais toi oublié, comme un meuble."

Konoé soupira agacé et fut bien obligé de le supporter. Hors elle ne put l'accepter plus longtemps et le traîna a un majordome pour qu'il se change. Pendant ce temps, elle se prépara avant de retourner au hall d'entrée prête a partir. Hideru toujours vêtu en une belle femme élégante vint les rejoindre. Mais cela n'empêcha pas Konoé a faire un reproche à Lyam.

" Oui on y va. Reste que tu devrais apprendre à sourire normalement, on dirait un dragueur de pacotille comme ça."

Sur ce elle alla vers la voiture suivit de Hideru qui fit aussi un sourire charmeur à Lyam en guise de bonjour. Hideru les conduisit donc au studio avant de se faire harponner par Atsuro qui le prit autour du coup.

- Hideru ! ça fait longtemps, comment tu vas ?

Hideru était loin d'être ravi puisqu'il resta impassible face a Atsuro qui était parfaitement conscient de sa nature.

' J'évite les nuisibles.'
- Ce n'est pas gentil de me dire ça.

Atsuro regarda Lyam avant de demander plutôt curieux.

- Et depuis quand vous êtes ensemble vous deux ?

Lyam n'avait pas envie de servir de meubles bien que c'était lui-même qui avait dit à la jeune femme de l'ignorer, mais en réalité il n'aimait pas vraiment cela alors il préféra le préciser.

"Pas parce que tu dois m'ignorer que moi je vais t'ignorer..."

Ainsi il ne comptait pas passer pour un meuble, mais la jeune femme décida alors de le prendre en tant qu'animal, et il la rejoignit après s'être préparé en demandant à la jeune femme s'ils y allaient cependant, un reproche sortit de la bouche. de Konoé.

"C'est mon sourire normal... mais au moins tu l'as remarqué, c'est la preuve que tu me regardes..."

Puis ensuite, il s'en allèrent accompagné de Hideru femme qu'il trouvait étrange, et il ne savait pas dire ce qu'il en pensait puisqu'il aimait les femmes comme Konoé. Une fois au studio Atsurou sauta sur Hideru qui n'était pas frocément très agreable.

"Depuis que je dois tavailler avec Konoé..."

Puis il se sauva pour aller noter les idées qu'il venait d'avoir et travailla dessus.

" Tu m'aides pas tu sais !"

Konoé soupira agacé avant de le donner a un majordome. Tant qu'à elle, elle alla se préparer tranquillement avant de le rejoindre. Bien sûr elle ne put s'empêcher de critiquer son sourire juste pour l'embêter. Mais il arriva parfaitement a retourner la situation qui fit légèrement rosir Konoé tout en étant exaspéré.

" aahh..."

Puis Hideru les accompagna au studio où il fut agacé de voir ce collant d'Atsuro. Il essaya tant bien que mal de s'en dépêtré mais la conversation tourna vers Lyam. Ce qui n'était pas pour lui déplaire.

- Ah oui, c'est vrai. Mais autant coller je ne pensais pas.

Lyam partit rapidement et Konoé soupira de soulagement.

" C'est lui qui s'est monté la tête de me connaître pour écrire une chanson qui me ressemble."
- Ouai mais en croyant qu'Ideru est une femme, il n'y arrivera pas vraiment. Après tout, vous êtes super proche.

Konoé lui jeta un regard noir ne s'attendant pas à ce qu'il dise ça. Surtout pas devant Ideru. Elle le tirer a sa suite avant de parler a son majordome quelque peu embarrassé.

" Tu viendras nous chercher Ideru, a toute à l'heure."

Konoé rentra dans le studio avant de taper un peu Atsuro sur la tête.

" Tu peux pas te taire un peu..."
- Bah quoi c'est vrai. Et au fait tu viens toujours ce soir ?

Elle le regarda cette plus attristé qu'énervé. Elle n'avait pas envie d'aller a cette réception, donc bon... Mais elle n'avait pas vraiment le choix.

La jeune femme sembla désespéré aux paroles de Lyam qui prétendait que la jeune femme l'observait beaucoup puisqu'elle avait remarqué son sourire sur le visage mais il arbora un sourire amusé lorsqu'il vit les joues de la jeune femme rosirent.

"Il n'y a pas de honte à avoir tu sais ? Je sais que tu n'es pas si indifférente à moi que ça."

Puis il se rendirent au studio, et Lyam finit par partir de son coté. Il écrivait sur un carnet toute les idées qu'il avait en tête au niveau de l'air de la chanson mais aussi au niveau des paroles, ainsi, il raturait réécrivait, mettait des flèche dans tout les sens jusqu'à ressemblait ses idées plus proprement sur une nouvelle page. Il lui manquait encore trop d'élément pour faire quelque chose de bien. Lyam se leva et chercha Konoé qui était en pleine discussion sérieuse avec Atsuro.

Il entra dans la pièce sans prévenir et attrapa la jeune femme par la taille, derrière elle il pencha la tête dessus de Konoé et la regarda avec un sourire.

"Tu peux m'en dire plus sur la femme étrange, vous semblez proche, ça peut être une bonne base ! Mais j'avoue qu'elle a des coté masculin bizarre."

Il colla la jeune femme contre lui et l'embrassa au niveau du cou...

"Si tu me dis pas ce que je veux, je continue..."

Un sourire sadique apparut