Maître d'arme

Amaru ne travaillait plus chez les Kikuta, ce qui ennuyait Sumire. Elle n'aimait pas le voir ici et servir de vulgaire professeur.

" Je n'ai pas tellement le choix."

Il soupira avant de se dire qu'il pouvait aller en compétition à la limite.

" Je vais m'inscrire aux prochains tournois du coup..."

Sauf qu'elle voulait vraiment qu'il retourne travaillé là bas. C'était Arès qui l'avait viré par Suzuka, alors selon elle, ça ne comptait pas.

" Non... Je n'ai aucune envie d'y retourner. Ils se débrouilleront sans moi."

Sumire sortie alors son arme comptant faire un duel avec lui. Si elle gagnait, il allait voir Suzuka.

"..."

Amaru poussa un long soupire tout de même ennuyé.

" Sumire... Je n'ai aucune envie d'y retourner. Je n'irais pas dans un endroit où on t'accepte pas. Sache le."

Sumire voulait qu'il retourne chez les Kikutas, alors elle était assez agacé de le voir refuser, et ne savait plus tellement quoi lui dire pour qu'il y retourne.

"Si."

Par Du coup il voulait participer aux prochains tournoi de Kendo, elle espérait que non pour lui.

"Oui, si tu veux."

Elle soupira désespéré, elle lui demanda alors d'y retourner.

"... Pourquoi ? "

Elle le regarda agacé et la suite l'acheva.

"Je m'en fiche qu'on m'accepte ou non... ça m'empêchera pas de te voir, alors arrête de te prendre la tête..."

Elle soupira et frappa.

"Aller... s'il te plaît..."

Elle souffla.

"C'est pas une vie pour toi..."

Elle le regarda.

"S'il faut je partirais..."

Amaru ne voulait pas retourner chez les Kikuta. Il s'était fait virer et il ne voyait pas pourquoi il devait maintenant aller pleurer pour se faire reprendre.

" Tu ne m'as pas l'air bien convaincue..."

Il soupira a la suite, ne voulant toujours pas s'y rendre.

" S'ils avaient réellement besoin de moi, ils seraient venu depuis longtemps."

Hors ce n'était pas le cas et il ne voulait pas aller dans un endroit où Sumire serait forcément rejeté.

" Je me prend pas la tête, c'est tout a fait normal de vouloir ça."

Mais visiblement non, elle était totalement contre le fait qu'il reste ici.

" C'est pas une vie pour moi ou ça ne te conviens pas ?"

Amaru la regarda pas tellement convaincue avant qu'elle ne se mette à le menacer. Ce qui lui fit pousser un très long soupire.

" Sumire... Arrête un peu. Je n'ai aucune envie de retourner là bas, vraiment. Ils m'ont viré et ils sont parfaitement au courant de pourquoi je suis partie. S'ils avaient été ennuyé par mon départ, ils seraient peut être venu m'en toucher deux mots tu ne crois pas ?"

Il avait une fierté tout de même.

" Et je n'ai aucune envie de ramper auprès d'eux afin qu'il me reprenne dans leur rang. Comprend le."

Sumire voulait que le jeune homme retourne chez les Kikutas, mais il refusait obstinément d'y retourner.

"Non..."

Elle soupira avant qu'il ne dise que s'ils avaient besoin de lui, il serait déjà venu, mais ce n'était pas tellement le problème.

"Mais vas y."

Elle le regarda désespéré.

"Je vois pas en quoi..."

La suite la désespéra encore plus, elle avait envie de se taper la tête contre un peu.

"... les deux."

Mais il ne voulait pas vraiment pas y retourner.

"... Peut être, où ils se sentent mal, peut être, enfin, je vais aller les chercher, comme ça tout ira bien non."

Elle fit disparaître son épée.

"J'irais ramper !"

Sumire voulait qu'il retourne chez les Kikuta, hors il refusait obstinément de le faire. La situation ne lui plaisait pas et comme on n'était pas venu le chercher. Il n'allait pas se soumettre.

" ça l'est pour moi."

Mais elle semblait y avoir son intérêt à ce qu'il soit chez les Kikuta. Elle insistait bien trop pour que ce soit uniquement pour lui. Et c'était effectivement le cas.

"..."

Reste que ça restait non, même si elle venait à le menacer. Il ne la craignait pas tout en lui tenant clairement tête.

" Non... Les faire venir me fera pas changer d'avis. Je m'abaisserais pas à ça."

La suite le fit encore plus soupirer.

" C'est inutile Sumire... Arrête... Tu es sûr que c'est pour moi que tu veux le faire et pas parce que toi tu en as besoin?"

Sumire voulait qu'il retourne chez les Kikuta, mais il ne voulait pas céder ce qui l'agaçait un peu. Elle le menaça même pas un petit peu, pour avoir ce qu'elle voulait, mais il était encore plus têtu qu'elle ne pouvait l'être, alors elle souffla désespéré.

"... T'es bien trop fier."

Elle soupira un peu contrarié.

"... j'aime l'argent, je l'avoue..."

Elle secoua la tête.

"Un peu trop sans doute."

Elle soupira.

"Alors évidemment, ç ame contrarie quand meme..."

Elle baissa la tête.

"... j'ai jamais eu besoin de gagner de l'argent..."

Amaru était un homme très fier et il ne comptait pas se faire passer pour un larbin auprès de sa famille. S'ils avaient besoin de lui, ils savent parfaitement où le trouver.

" ... Peut être... Mais je ne suis pas non plus dans le besoin."

Sauf que Sumire aimait l'argent. Voir bien trop, ce qui la contrariait beaucoup du coup. Elle n'aimait pas se retrouver dans une situation de pauvreté.

"..."

Il fallait qu'elle gagne de l'argent si elle voulait obtenir ce qu'elle voulait.

" ... Ce que je gagne n'est peut être pas digne d'un milliardaire. Mais c'est déjà pas mal... Qu'est ce que t'apporte l'argent sincèrement ? C'est si important que ça ?"

"Non, encore heureux."

Parce qu'elle n'avait rien à lui donner de toute manière, mais elle était assez contrarié, alors elle avoua rapidement son attrait pour l'argent. Du coup, il e plaignait un peu de son comportement.

"Oui, j'ai toujours été habitué à avoir ce que je voulais quand je voulais, et l'idée de devoir me retenir, ne me plait vraiment pas..;"

Elle baissa la tête un peu mal à l'aise.

"Pour moi c'est important... J'ai toujours vécu dans la richesse, et... je me vois pas très bien accepter de devoir vivre dans une certaine pauvreté..."

Elle le regarda.

"C'est dur pour moi..."

Elle était un peu mal à l'aise.

"Enfin, je vais y aller, pour le moment."

Amaru était plutôt dérangé par la situation. Il n'était pas le plus riche des hommes et cela ne convenait pas du tout pour Sumire. Elle avait l'habitude de vivre dans l'opulence. Alors se restreindre n'était pas du tout une partie de plaisir pour elle.

" Je vois..."

Pour elle c'était de la pauvreté alors qu'ils étaient tout simplement modeste. Il soupira assez mal, il n'aimait vraiment pas se disputer avec elle.

" ..."

Du coup, elle souhaitait rentrer ce qu'il comprenait.

"D'accord... Rentre bien..."

Amaru la laissa partir préférant rester de son côté également. Cette histoire lui prenait vraiment la tête. Il se posait pas mal de question pour le coup, savoir ce qui était une bonne idée ou pas. Il aimait énormément Sumire, mais ils étaient tellement différent qu'il se posait parfois des questions au sujet de leur relation.

Sumire était tellement habituée à l'argent que de savoir qu'elle pourrait en manquer la stressait profondément. Elle aimait beaucoup Amaru, mais c'était trop demandé pour elle de résister à la tentation de l'argent. Elle soupira.

"Hum..."

Elle baissa la tête, elle était vraiment embêté par la situation, elle ne savait pas quoi lui dire.

"... a bientôt."

Elle essaya malgré tout de trouver un travail, mais ce n'était pas facile, elle n'avait jamais rien fait et n'avait aucune expérience. Du coup, ce n'était pas évident. elle n'avait pas tellement envie de faire n'importe quoi non plus.

"... "

Elle avait finit dans un bar assez classe sans pour autant en parler à Amaru, puisqu'elle ne tenait pas à lui dire. Alors elle allait moins le voir, et Eros, lui était un peu surpris de la voir travailler.

-Sumire travaille ?

Il avait été voir curieux Amaru.

Amaru était assez mal, il ne savait pas quoi faire. Sumire avait certains désirs et il était pas capable d'y répondre pour le moment...

"..."

Il soupira, saluant la jeune femme et cumula de son côté deux travail. Il voulait absolument lui faire un peu plaisir. Et même s'il ne retournait pas chez les Kikuta. Il pouvait essayer de lui faire plaisir d'une façon ou d'une autre. Il verra bien par la suite.

Alors qu'il était en train de gérer ses élèves, quelqu'un vint lui rendre une petite visite. Et ce n'était autre qu'Eros. Ce qui était vraiment surprenant en sois.

" Comment ça elle travaille ?"

Il en avait tout simplement aucune idée. Et comme il cumulait deux boulots, il ne la voyait pas beaucoup. Se disant aussi qu'elle devait peut être lui faire un peu la tête.

" D'où tu tiens ça ?"

Sumire n'était pas tendre, elle avouait aimer l'argent et avoir du mal à gérer le fait de savoir qu'elle n'avait pas tellement d'argent. Du coup, elle avait finit par patir, cherchant un travail pour essayer d'aider et subvenir à ses propre envie, même si ce n'était pas simple.

Du coup, c'est Eros qui annonça la nouvelle à Amaru, apparemment, il n'était pas au courant.

-Oui, elle travaille... Dur en plus.

Il sourit amusé avant finalement qu'il ne demande d'où il pouvait tenir cela.

-Eh bien... je l'ai vu travailler dans un café, avec un bel uniforme occidental, ça change de ses kimonos, et on voit bien la jolie femme dans sa tenue, ça cache moins les formes.

Il sourit amusé.

-... Mais bon, je suis pas sur qu'elle veuille que tu le sache, si elle ne te l'a pas dit.

Il souffla.

-tu ne veux pas revenir au fait ? J'ai jamais reçu de réponse de ta part

Amaru était en train de former des élèves au Kendo quand Eros vint lui rendre visite. Il avait vu Sumire travailler, alors ça le surprenait assez. Il ne s'attendait pas du tout à ça.

" Ah oui ?"

Il en savait rien. Mais visiblement elle travaillait en guise de serveuse dans un café. Ce qui changeait totalement de ses habitudes et autant dire que ses formes étaient ainsi bien plus visible. Ce qui agaçait Amaru, il était un peu jaloux pour le coup.

" Je vois le genre."

Il soupira agacé, mais ne pouvait rien dire vu que visiblement elle souhaitait le cacher.

" Ce que je ne comprend pas d'ailleurs..."

Eros ne tarda pas de lui parler de son retour, se demandant s'il voulait les rejoindre de nouveau; Vu qu'il n'avait pas eu sa réponse.

" Faut il encore me poser la question... Je n'ai vu personne jusqu'à toi aujourd'hui."

Eros était tout de même amusé de voir Sumire travailler, du coup, il avait été le voir. Du coup, c'était assez amusant de voir que Sumire travaillait pour lui.
-Oui, je m'y attendait pas non plus

Du coup, il lui raconta un peu ce qu'il avait vu, la belle Sumire dans un uniforme qui lui allait très bien, et qui épousait bien ses forme.

-C'est plutôt sympa.

Il sourit amusé, mais en tout cas, il ne comprenait pas pourquoi elle le cachait.

-Eh bien, c'est une princesse, elle est du genre à ne pas se salir les mains à travailler, et à se faire entretenir, alors elle ne veut pas montrer qu'elle n'est pas une princesse sans quelqu'un pour l'entretenir, le travail pour elle, c'est mal... et un truc des femmes de basses catégorie sociale, ça doit l'insupporter.

Par contre la suite l'étonnait.

-Pourtant j'ai envoyer plusieur fois des hommes... Ah... Arès à du les intercepter... au moins tu le sais...

Il lui donna un papier.

-L'adresse ou elle travaille.

Sumire travaillait en cachette et avait bien fait en sorte qu'il ne soit pas au courant. Ce qui était agaçant, surtout qu'elle était bien mise en valeurs à cause de son uniforme.

" Hum... Tu pouvais pas regarder ailleurs ?"

Par contre, il ne comprenait pas pourquoi elle le cachait. Du moins, jusqu'à ce qu'Eros lui explique sa façon de penser. Et là c'était bien plus logique en sois.

" Je vois..."

Il soupira ennuyé, avant qu'Eros ne lui parle de les retrouver. Sauf qu'il n'avait jamais rien reçu. Et c'était sans aucun doute la faute d'Arès.

" Tu crois ? Il ne serait pas venu a cet extrême quand même... si ?"

Amaru le regarda avant de lui répondre lui même du coup.

" Eh bien... Je peux revenir oui... Je pensais que vous aviez pas besoin de moi, alors je m'étais abstenu de revenir. Mais vu que c'est différent."

Il fallait juste qu'il retrouve Sumire et Eros lui donna l'adresse de son lieu de travail.

" Merci."

Amaru la regarda en ajoutant.

" Je vais aller la voir, on se voit lundi à 9h. Salut"

Sur ce, il se dépêcha pour rejoindre le lieux en question. Bien sûr une fois qu'il s'était changé et qu'il avait une tenu plus passe partout.

Eros était tout de même amusé par la situation dans laquelle il se trouvait.

"Pourquoi, c'est fait pour ? "

Il le regarda en riant, avant finalement de lui expliquer pourquoi la jeune femme refusait de le dire à Amaru. Du coup, il comprenait un petit peu mieux.

"... Oui."

Il le regarda un instant et demanda curieux.

"D'ailleurs... vous êtes ensemble ? Ou pas ? Parce que ça me paraît étrange entre vous.

Puis il parla finalement de sa proposition.

"D'accord, heureux de te revoir, alors."

Il sourit doucement et lui donna l'adresse du lieu de travail de Sumire.

"Ce n'est rien, à Lundi."

Sumire travaillait tranquillement, elle était encore un peu maladroite cependant. Elle accueillait les gens notamment.

"Bonjour..."

Elle regarda le jeune homme surprise et détourna le regard vraiment très mal.

"Qu'est ce que tu fais la."

" Ce n'est pas une raison."

Amaru était tout de même assez jaloux. Le problème était seulement que leur relation n'était pas bien claire. Il ne savait même pas lui même ce qui se passait entre eux.

" Je ne sais pas non plus... Nous en avons jamais parlé."

Puis il parla de sa proposition qui n'était jamais parvenue jusqu'à lui. Pour cause, Arès avait toujours fait en sorte de les intercepter.

" De même, à lundi."

Il fit un léger sourire et parti au travail de Sumire, une fois qu'il s'était changer bien entendu. Et comme avait dit Eros, elle était vraiment superbe dans cette tenue... Déjà qu'il la trouvait ravissante, là c'était encore pire.

" Bonjour"

Amaru la regarda se plaisant toujours à la regarder, de même pour ses manières qu'il trouvait juste adorable.

" Eh bien... Il y a une femme qui me plait énormément qui travaille ici.. Et savoir que d'autre peuvent la voir, me rend un peu jaloux et possessif. Alors j'ai préférer me rendre sur place, voir ce qui l'en es."

Il fit un léger sourire en ajoutant.

" Savoir si je dois crever des yeux pour ça ou non."

"... Si."

Il sourit amusé avant finalement de lui dire, avant de lui demander ce qui se passait entre eux. Il ne savait pas tellement.

"Je vois, en tout cas, vous êtes mignon tout les deux."

Il parla alors de sa proposition qu'il accepta ce qui le fit sourire soulagé tout de même.

Sumire ne s'attendait pas le voir, alors elle était mal à l'aise, elle ne savait pas tellement ou se mettre.

".."

Elle le regarda surpris d'entendre ses paroles, c'était plaisant, mais terriblement embarrassant pour elle.

"Oh..."

Elle baissa les yeux , plutôt timidement. Après tout, c'est la première fois qu'il était aussi clair avec elle.

"Je vois..."

Elle avait presque les joues colorées avant finalement de s'approcher du jeune homme.

"je pense qu'il n'est pas nécessaire de crever des yeux ."

Elle s'avança vers lui doucement et le prit dans ses bras avant de l'embrasser avec tendresse.

"Je n'appartiens qu'a une seule personne."

Elle recula et le guida rapidement vers une table.

"Installe toi. Je te laisse regarder ce que tu veux."

Elle sourit légèrement et alla parler à son patron.

"Je peux te servir quoi ? "

Une fois qu'elle eut emmené la boisson elle s'assit en face de lui.

"... Comment tu as su ? "

Amaru ne savait pas trop où en était leur relation avec Sumire, mais il tenait beaucoup a elle. Ce qui avait l'air d'être réciproque et ne dérangeait pas Eros visiblement. Au moins, c'était sûr qu'il était bien plus détendu avec lui qu'avec Arès. C'était certains.

" ..."

Il soupira avant d'accepter de revenir. Ce n'était pas parce qu'ils ne voulaient pas de lui, mais surtout parce qu'Arès ne voulait plus du tout le revoir.

Du coup, il s'en alla jusqu'au travail de Sumire, vu qu'il connaissait l'adresse maintenant. Ce qui avait l'air de bien la surprendre, elle ne s'attendait pas à le retrouve là. D'ailleurs, Amaru ne tarda pas à l'embarrassé vu qu'il lui fit bien comprendre sa jalousie.

" Tu crois ?"

Pour elle c'était pas nécessaire qu'il rende les clients aveugle. Sumire s'approcha de lui pour le prendre dans ses bras et l'embrassa juste après. La suite le fit sourire tendrement content qu'elle réponde ainsi a ses avances.

" ça me rassure."

Elle ne tarda pas à reculer pour le guider à une table où il s'installa.

" Merci. J'aimerais bien un thé noir s'il te plait."

Ce n'était pas bien varié en guise de thé ici, alors autant se contenter de ce qu'ils propose. Sumire ne tarda pas à le rejoindre, s'installant juste en face de lui.

" J'ai eu la visite d'Eros et c'est lui qui m'a appris que tu travaillais ici."

Il but tranquillement en ajoutant.

" Et il m'a également demandé si je voulais revenir. J'ai accepté."

Il soupira en pensant que tout ça était uniquement de la faute d'Arès.

" Il avait envoyé des hommes pour me demander mon avis plus tôt; Sauf qu'Arès n'a pas cesser de les intercepter. Mais Eros, il pouvait rien faire contre lui, donc le message a fini par passer."

Amaru leva les yeux vers Sumire avant d'ajouter.

" Donc tu pourras arrêter de travailler si tu le souhaite. Même si je reconnais que tu es tout simplement magnifique dans cette tenue. Ca te change et tu es très belle."

Il sourit toujours aussi charmé par elle.

" Comme toujours."

Sumire aimait beaucoup Amaru, mais ne pensais pas qu'il allait venir la voir au café, alors elle avait un peu honte et était embarrassée, jusqu'à ce qu'il la rassure avec ses paroles.

"J'en suis sur."

Elle sourit tendrement et l'embrassa doucement, avant de s'éloigner.

"Je vois."

Elle sourit doucement avant finalement qu'il ne demande un thé noir, alors elle accepta et lui en amena un.

"Ah oui ? Il est venu ?"

Elle le regarda un peu surprise. En plus, il acceptait de revenir auprès des Kikuta ce qui la fit sourire légèrement, elle était contente malgré tout.

"Je vois, et bien, c'est une bonne chose qu'il soit venu alors..."

Elle le regarda, mais il fit encore son charmeur, ce qui la fit sourire embarrassé et elle détourna le regard.

"Tu ne t'arrêtes jamais, dis moi."

Elle eut un sourire gênée et lui caressa la main.

"Je pourrais m'habiller plus souvent comme ça, si tu le souhaites."

Elle le regarda. et repris un peu sa contenance.

"Je finis ma journée et je te rejoins, d'accord ? "

Elle se leva et l'embrassa.

"A tout à l'heure."

Amaru aimait beaucoup Sumire, pour tout avouer, il ne voyait vraiment qu'elle. Alors quand d'autre hommes pouvaient poser les yeux sur elle, il n'appréciait pas du tout.

" Alors je devrais me tenir tranquille."

Il sourit amusé avant qu'elle ne l'embrasse, ce qu'il apprécia grandement. Avant de lui parler d'Eros qui était venu le voir.

" Oui, ça m'a surpris aussi."

Mais au moins, il était reprit chez les Kikuta, reprenant bien son poste de maître d'armes.

" Je trouve aussi."

Amaru la regarda et ne tarda pas à la complimenter encore. Ce qui la gêna assez rapidement.

" En même temps, c'est la vérité."

En tout cas, elle acceptait de s'habiller de nouveau de cette façon. Si ça pouvait lui faire plaisir.

" Comme tu veux, ne te sens pas obliger. Mais en tout cas, ça me fera plaisir."

Par contre, elle devait retourner a son travail, alors elle le rejoindrait plus tard.

" Très bien."

Il lui sourit avant de répondre a son baiser.

" A tout à l'heure."

Sur ce il s'en alla avant que le patron ne retrouver Sumire.

- Donc c'est lui ton copain ?

Sumire était tout de même troublée par tout les compliment que l'ont pouvait lui faire, elle appréciait, mais ce n'était pas bien habituel malgré tout.

"Oui"

Elle sourit avant de l'embrasser et lui parla de Eros un petit peu . C'était amusant que ce soit lui qui soit venu tout de même.

"J'imagine, il ne se déplace pas souvent."

En tout cas elle était contente qu'il accepte de revenir auprès des Kikuta, et finalement, elle fut de nouveau embarrassée par ses compliment.

"... Mais quand même."

Elle le regarda avant finalement de lui proposer de mettre de nouveau ce genre de tenue.

"Si c'est pour toi, ça ne me dérange pas."

Elle sourit tendrement, avant finalement de vouloir le rejoindre dès qu'elle aurait finit son travail, elle ne pouvait de l'éviter non plus.

"Oui c'est lui."

Sumire essuyait des verre et le regarda.

"Il est vraiment gentil avec moi... même si je le mérite pas forcément..."

Elle soupira et continua à essuyer ses verres.

Amaru aimait beaucoup complimenter la jeune femme. En même temps, il pensait réellement ce qu'il disait.

" Non pas beaucoup. Mais je pense que tu as du beaucoup le surprendre aussi."

Il fit un léger sourire, continuant de dire ce qui lui plaisait chez elle. Et elle accepta même de porter de nouveau ce genre de tenue. Ce qu'il appréciait beaucoup.

" Tu es adorable."

Il sourit et la laissa a son travail. Il n'allait pas la déranger plus longtemps. Du coup, c'est le patron de Sumire qui vint lui parler un peu.

- Plutôt atypique.

Il ne croisait pas tellement d'homme au cheveux long pour tout avouer.

- Pourquoi cela ?

"Je n'ai pas envie de commettre les même erreurs que j'ai fait dans le passé, alors évidemment, j'agis en conséquence, et je suis loin de le regretter."

Elle avait un magnifique jeune homme pour elle, alors elle était heureuse. Et du coup, elle accepta pour lui de porter un peu plus de tenue occidentale, elle pouvait au moins le faire pour lui.

"Toi aussi."

Ele sourit avant finalement de continuer à travailler, mais son patron vint lui parler un petit peu.

"Vous trouvez ?"

Elle le regarda surpris, pour elle, il avait tout d'un homme normal. Avant finalement qu'il ne demande pourquoi elle ne le méritait pas.

"J'ai fait des choses ignoble dans ma vie, et meme s'il le sait, il ne m'en veut pas... "

Elle soupira.

"Mais je resterais avec lui... Autant en profiter pour moi..."

Elle soufla.

"Enfin, je vais servir les clients."

" C'est le principal."

Amaru était vraiment très content d'elle et il lui faisait parfaitement confiance au sujet de ses choix. Pour le moment, il la laissa travailler et se faire rejoindre par son patron.

- Un peu oui... Je n'ai pas rencontré beaucoup d'homme avec ce style là. Et pourtant j'en croise du monde.

Sumire ne pensait pas le mériter pourtant, elle avait fait des choses horrible. Et il avait l'air de ne pas lui en tenir rigueur.

- Il est plutôt indulgent. D'après ce que tu me dis.

En tout cas, elle souhaitait rester avec lui. Vu qu'il était d'accord autant en profiter.

- Après, il est peut être pas le seul homme qui t'acceptera. Si c'est la raison qui te fait rester avec lui.

Son patron la regarda et finit par aller travailler à son tour. La laissant servir les clients.