Le Paradis reouvre ses portes...

La ville de Welgaïa comprenait plusieurs famille de noble contrôlant une partie en particulier de la ville. Et Kuroï devait en trouver une... Sa recherche le conduisit jusqu'à la gérance du Paradise. Cependant une bande de petit noble lui mirent des bâtons dans les roues en saccagent plusieurs fois la résidence au grand désarrois du Kagami... Il dut travailler durement et sans pouvoir véritablement pour y faire sa place. Mais dans le plus grand des secrets il avait tout de même usé un peu de ses pouvoirs. Rendant le Paradise, partiellement hanté... Kuroï avait tout de même fini par avoir le Paradise et le ré ouvrit. Son chiffre d'affaire augmenta et la résidence reprit le prestige d'avant. Cependant, personne ne voulait encore croire que la famille Kagami était si prestigieuse dans le temps et aussi très grande... Même Kuroï ne le savait pas à ce point... Les jours avaient passé et il était bel et bien marié à Aï. Tout deux avait élut résidence au Manoir qu'ils purent pleinement restaurer et entretenir la forêt qui n'avait cessé de croitre jusqu'à leur absence.

- Mr Kagami ? Vous avez de la visite.

Kuroï leva la tête, intéressé par la personne qui ferait son apparition avant de blêmir rapidement. Une femme plutôt élégante et d'apparence très noble fit son entrer. Si ce n'était que ça. Mais elle ressemblait comme deux gouttes d'eau a sa mère et pourtant combien savent qu'elle est morte aujourd'hui. La femme sourit gracieusement avant de prendre la parole.

' Bonjour Kuroï, sa fait longtemps n'est ce pas ?'

Il soupira avant de répondre avec une pointe d'agacement.

" Qu'est ce qui me vaut ta venue ma tante..."
' J'espérais plus d'enthousiasme de ta part. Je suis déçu...'

....

Le soir arriva assez rapidement et Kuroï put rejoindre le manoir et espérer voir Aï. D'ailleurs quand il la vu, il ne put s'empêcher de la prendre délicatement dans ses bras pour s'apaiser un peu. La venue de sa tante ne lui plaisait pas trop. Comparé a sa famille qui avait le lien avec Koseï, elle était très cupide et ses enfants en avait particulièrement hérité. Donc savoir que le blason des Kagami avait reprit de la couleur. Elle avait fait le déplacement pour tenter de prendre l'autorité et ainsi prendre complétement la main sur ce pouvoir grandiose. Cela qu'importe les moyens...

" Dit moi... Tu connais une Kaede Miyagami ?"

Malgré tout les problèmes Kuroï s'en était très bien sortit malgré toutes les difficultés auxquelles il avait du face. Aï le soutenait de son mieux et n'était jamais contre lui donner des informations, la famille de Aï ayant toujours vécu dans la noblesse, elle e connaissait un rayon sur toute les familles, bien sûr, Hikari l'aidait grandement à tout se remémorer.

Cependant, Aï n'avait pas énormément de temps à consacrer à son cher et tendre mari, elle travaillait dur afin de changer la famille Otomiya et ses rivalités. Le travail était plus simple maintenant qu'elle était officiellement considérés comme l'héritière de l'empire Otomiya, un empire bien trop grand encore pour elle qui n'avait aucun expérience dans le domaine. Elle en connaissait les bases, les principes mais trop peu pour pouvoir faire un travail correct, alors elle étudiait en observant et en travaillant au sein de la branche principal de l'empire. Personne n'avait le choix, et avec le soutient très fort des Kagami, les gens semblaient essayer d'exaucer ses souhaits.

"Il est quelle heure ? "

Elle chercha une horloge du regard, et en voyant l'heure, elle rangea es affaires pour rentrer au manoir. Le trajet était assez long, mais Aï en profita pour cacher son air fatigué en faisant une petite sieste le long du trajet. Elle sortit alors de la voiture et entra dans le manoir. Elle rangea ses à faire et se mit à l'aise en short et tee shirt, à peine fut elle posée que Kuroï rentra. il n'était visiblement pas en forme.

"Monsieur à passé un mauvaise journée ?"

Elle lui sourit doucement et le prit dans ses bras à son tour pour le soulagé un peu. Il lui demanda alors si elle connaissait une certaine personne. Aï frappa avec douceur les joues de Kuroi comme pour dire qu'elle avait trouvé qui c'était et se détacha de lui pour lui répondre, les bras croisés.

"Je connais beaucoup trop de monde.... Je sais qu'elle a très mauvaises réputation pour ses méthodes peu orthodoxe pour gagner en puissance, et qu'elle a des vues depuis quelques temps sur les Kagamis, enfin ça reste des rumeurs, mais d'après ce qu'une personne m'a dit c'est tout à fait ça..."

Elle soupira bruyamment :

"Tu sais qu'à cause de toi je suis devenue une informatrice de talents ? En plus d'avoir prit le réflexe d'écouter aux portes... fufufu..."

Un sourire malsain se dessina sur le visage de Aï et il n'était pas compliqué de se douter qu'elle ne faisait pas qu'écouter aux portes.

"Et elle me fait penser à quelqu'un... Aussi... déjà à toi... M'enfin c'est peut être qu'une impression..."

Elle s'approcha alors de Kuroi pour l'embrasser.

"Enfin bonjour quand même !"

Sa tante était revenu a Welgaïa avec la mauvaise idée de prendre la tête de la famille puisque sa soeur jumelle avait perdu la vie. Suite a sa santé fragile. Kuroï était loin d'être ravi d'apprendre cette nouvelle, hors il ne connaissait pas grand chose d'elle. Peut être que sa femme en savait beaucoup plus a ce sujet. Pour cela il dut attendre le soir, lorsqu'il rentra chez lui. Et comme il le pensait Aï était au courant de beaucoup de chose.

" Ah bon ? Sur nous..."

Il avait dit ça ironiquement puisqu'il savait très bien qu'elle voulait lui prendre le statut qu'il possédait maintenant. Et la gérance qu'il possédait sur les plus grande résidence immobilière. En tout cas Aï lui reprocha sa condition actuelle. Elle était une parfaite informatrice en plus de savoir écouter au porte. Kuroï sourit amusé avant de lui caresser doucement la tête.

" Tu as toujours été curieuse Aï. C'est juste que tu as dut perfectionner ta technique pour savoir ce que je te cachais."

En tout cas Aï avait vu un semblant de ressemblance entre eux. Ce qui était normal. Juste après elle l'embrassa pour lui dire bonjour ce qui le fit doucement sourire avant qu'il lui dise qui était cette femme.

" Cette femme n'est rien d'autre que ma tante. Excuse moi d'être préoccuper, mais je ne suis pas très rassuré. Surtout qu'elle ne doit pas être seule..."

Il soupira avant de caresser le visage de Aï pour après changer de sujet.

" Et toi ta journée pas trop dur ?"

"C'est étonnant, n'est-ce pas ? " dit-elle avec un sourire amusé, ce n'était pas une situation inhabituelle, même cette fois-ci cela semblait assez sérieux pour préoccuper Kuroï.

Puis elle accusa Kuroï d'être le coupable pour l'avoir fait devenir une espionne, il lui caressa la tête en lui disant qu'elle avait toujours été curieuse de toute manière.

"Curieuse ? A ton propos peut-être, mais connaître la vie des gens de fond en comble n'était pas forcément dans mes objectif !"

Mais elle devait bien avouer que ce coté d'elle lui servait énormément, et surtout à Kuroï qui n'avait pas de recherche à faire grâce à cela.

"En même temps, normal que je veuille savoir ce que tu me caches..."

Elle tira la langue à son homme. Aî fit remarquer la ressemblance, et embrassa Kuroï qui lui expliqua que c'était sa tante.

"T'en fait pas, je comprend que tu sois pas en forme. ALors que les Kagami était plus ou moins tranquille tu te retrouves à devoir lutter contre quelqu'un... C'est assez inquiétant. Mais si tu as besoin d'aide ou d'informations, n'hésite pas à me demander !"

Kuroi lui caressa la visage et elle lui attrapa les main et laissa sa joue contre la mains chaud de Kuroi.

"Mhhh..."

Elle hésitait à tout dire à Kuroi, même s'il avait l'habitude ce n'était pas forcément des joyeuses nouvelles qu'elle avait à lui dire. Elle souleva son tee-shirt et laissa apparaitre un gros pansement rougeâtre sur son ventre.

"Je me suis faite agresser ! Cet homme m'a poignardé et s'est sauvé, j'ai voulu lui courir après mais, un très bel homme, châtain aux yeux vers m'a retenu et m'a emmener à l'hopital et m'a accompagné jusqu'à ce que je sorte. J'ai même récupéré son numero de portable"

Elle sourit niaisement, elle embetait Kuroi et continua :

"Après, je me suis rendue au travail et un homme m'a harcelé pour une raison que j'ignore, en me posant des questions bizarre... Et en sortant, ce soir on m'a suivit... Bref, je suis un peu épuisée mais bon, je m'en sors pas trop mal !"

Elle se mit à rire nerveusement.

" Surprenant même"

Il suivit un peu a contre coeur cette hilarité. Avant de parler de la curiosité de la jeune femme. Elle était toujours curieuse et savait se mêler de chose qui ne la regardait pas. Juste parce qu'une personne lui avait interdit l'accès. Ce n'est pas difficile a comprendre.

" Non c'est vrai. Mais j'ai l'impression que tu en prend un certains malin plaisir."

Sinon elle continuerait pas. En tout cas elle affirmait qu'elle se devait tout savoir de lui. Kuroï la regarda exaspéré avant de répondre.

" A partir du moment qu'on sortait ensemble oui. Avant non."

Puis Aî lui dit tout de même bonjour avant d'apprendre que c'était sa tante. Aï comprenait son inquiétude et le soutiendrait quoiqu'il arrive toujours en lui donnant des informations qui pourrait être utile.

" J'ai pas a m'en faire. Tu es une fouine parfaite."

Il sourit amusé avant de lui demander sa journée l'air de rien. Hors son état plutôt inquiet se transforma très progressivement en colère noire. Premièrement le fait qu'elle soit agresser et que cette enflure ce soit échapper. Ensuite qu'un type par chance l'amène a l’hôpital mais qui la drague était un peu de trop. Voir beaucoup de trop, s'il avait épousé Aï c'était bien pour pas qu'on lui pique. Et enfin pour finir en beauté, on lui pose trop de question bizarre tout en étant suivit le soir. Kuroï était hors de lui, cela se voyait notament a la couleurs de ses yeux qui passèrent au noir.

" Et tu n'as pas jugé utile de m'en faire part plus tôt ?"

Il la regarda agacé avant d’émettre des condition.

" D'abord ce numéro tu vas le déchirer puis le mettre au feu. Ensuite dès demain, c'est moi qui t'amène et te ramène, il n'est pas question qu'il t'arrive quoique ce soit. De plus si tu te fais de nouveau harcelé tu m'appelle et je m'occupe de son cas."

Kuroï soupira d'un air plus calme avant de regarder sa main et sourire joyeusement. Mais cela faisait froid dans le dos.

" Pour ce qui est de ton agresseur. Je me charge personnellement de son cas."

Bien sûr aucune possibilité de retour quand il était dans cet état. Il avait pour projet de le tuer, même si Aï l'en empêcher de le faire manuellement, il se débrouillerait très bien pour mettre fin a sa vie.

" Mais quelle méthode tu préfère ? Mort dans l'agonie ? ou je suis plus doux et j'abrège ses souffrances dans un cauchemar digne de ce nom ?"

Il était vrai que la jeune femme prenait un certain plaisir à aller chercher les informations un peu n'importe où, même s'il lui arrivait parfois d'en payer les conséquences, même si elle ne disait rien à Kuroï. Les conséquences était pourtant parfois douloureuse pour elle, mais elle restait forte comme à son habitude. Elle ne comptait plus le nombre de fois où elle était morte bêtement en se faisant repérer.

"J'avoue, c'est amusant..."

Il fallait qu'elle tienne sa langue par contre sur ce point. Puis elle affirma qu'elle devait tout savoir de lui, mais il disait qu'avant qu'ils sortent ensemble ce n'était pas le cas.

"Je regrette des fois d'avoir essayer d'apprendre trop de truc sur toi avant qu'on soit ensemble, combien de fois ça m'a brisé le coeur ? Pfiou, je ne compte même plus !"

Puis elle dit bonjours à Kuroi même si cela faisait un moment maintenant qu'elle était avec lui. Elle proposa son aide à Kuroi.

"Fouine, pas que, je fais aussi un bon garde du corps et machine de destruction, et de soin... Tu as trois en un !"

Elle sourit amusé, puis Ai raconta sa journée au jeune homme dont l'inquiétude se dégrada progressivement en colère noir.

"Bah.... C'est pas comme si c'était grave... Et puis si je t'en ai parler c'est parce qu'il y a eu une sacrée accumulation aujourd'hui, mais c'est assez habituel que je me fasse agresser ou suivre, donc je vois pas trop l'intérêt d'en parler..."

Ensuite, il lui demanda de déchirer le numéro de l'homme et le jeter au feu ce qui amusa beaucoup Ai. Par contre qu'il l'accompagne et la ramène lui faisait très plaisir.

"Je ne t'appellerais pas ! Tu as du boulot ! Et puis déchirer le papier me dérange pas, mais il m'a invité à déjeune avec lui demain midi, je lui ai pourtant dit que tu ne serais pas d'accord... Mais il a insistet et j'ai fini par accepté, tu as qu'à venir avec moi si tu as un peu de temps..."

Puis il voulait s'occuper personnellement de l'agresseur.

"Mais e t'en fait pas..."

Par contre qu'il se préoccupe plus des autres qu'elle l'agaçait alors elle finit par lui taper la tête.

"Et moi alors, je suis blesser et tu ne pense qu'à le massacrer ? Je tenu toute la journée pour ne pas te déranger et tout ce qui te préoccuper c'est lui ? "

Elle le regarda jalouse de cet homme et lui jeta son pansement ensanglanté apres l'avoir mit en boule et fit demi tour à pas lourd.

Aï était assez inconsciente. Kuroï s'inquiétait beaucoup pour elle et il se retenait de la surveiller de trop. Il se disait que c'était un manque de confiance envers elle. Pourtant il se faisait vraiment violence. Quoiqu'elle en dise elle n'était pas un trois en un dans ce sens mais dans un autre.

" Non je t'arrête tout de suite. Tu es un trois en un certes mais pas dans ce sens. Tu es curieuse, t'attire tout les ennuies qui peuvent arriver et tu as le chic de te faire renverser sans raison par des voitures. Donc oui les factures d'hôpital je commence a les sentir..."

Par contre, la suite des révélations étaient loin de lui plaire. Elle était souvent agresser et même qu'elle était très souvent suivit. Cette révélations attira toute la colère du Kagami qui jeta un regard noir a Aï.

" Et tu trouve intelligent de ne pas m'en parler !!"

Son ton était glacé ainsi qu'assez fort pour arrêter les employées de nettoyage. Kuroï soupira exaspéré avant de se mettre a l'idée qu'il devait désormais la surveiller. Il regarda ailleurs d'un air exaspéré avant de se préoccupé pour le moment de la suite. Aï ne voulait pas l'appeler sous prétexte qu'il avait du boulot. Chose idiote, il ne voulait pas non plus être mis a part de sa vie. Le pire c'est qu'elle était invité au restaurant par ce type. Kuroï n'avait envie de discuter sur se point et lui jeta un regard terriblement noir lorsqu'il répondit séchement.

" Pas la peine, tu n'iras pas."

Puis Aï se mit en colère. Elle disait qu'il ne se préoccupait pas d'elle et plus de tout ses agresseur. Elle était tellement agacé qu'elle lui jeta son bandage a la figure. Kuroï soupira avant de se lever brutalement pour attraper Aï. Une fois qu'il l'avait retenu, il la souleva pour la porter jusqu'à leur chambre. Là il fit exploser sa colère.

" Je me préoccupe pas de toi ?!! Comment voudrait tu que je réagisse quand j'apprends que ma femme se fait continuellement agressé ! Et tu voudrais que je réagisse normalement ?"

Il s'arrêta pour reprendre son souffle avant de se retourner vers elle durement.

" Qu'est ce que tu m'as caché d'autre ? Dit le moi !"

Kuroï ne rigolait plus du tout, il était terriblement inquiet pour elle. Et tout ce qu'elle trouvait a faire c'était de s'attirer le danger tout en lui cachant la vérité. Il se rapprocha d'elle avant de la prendre doucement dans ses bras.

" Si par malheur, on venait a te tuer. Qu'Hikari ne soit pas en mesure de te sauver. Tu crois vraiment que cela ne me traverse pas l'esprit ? A chaque fois que je rentre, je n'espère qu'une chose, c'est que tu sois entière ainsi que saine et sauve."

Il soupira avant de la lâcher pour tourner en rond comme a chaque fois quand il est préoccuper.

" Au final, la personne la mieux placé pour avoir ma mort c'est toi. Tu vas me faire mourir d'inquiétude."

"Je t'ai jamais demandé de payer mes factures d'hôpital, je peux le faire moi-même tu le sais ? Puis c'est méchant de dire ça ! Je ne sais pas pourquoi tu me fais passer, mais je ne suis pas si terrible que ça !"

Elle arbora une mise boudeuse, puis il lui parla des évènements de la journée, ce qui ne plut pas du tout à Kuroï qui la gronda pour ne pas lui en avoir parler.

"Mais c'est pas comme si j'étais morte !"

En tout cas pas des agressions, uniquement de ses séances d'espionnage. Heureusement que Hikari était prête en permanence à faire face au problème. Certes de temps en temps, quand cela lui arrivait elle avait besoin de a compagnie de Kuroï mais elle se débrouillait très bien toute seule et garder tout ces secrets pour elle.

Quand elle lui parla de l'homme, Kuroi refusa au déjeune avec lui, mais Aï avait un toute autre perspective de cette invitation.

"Je ne pense pas que n'importe qui m'aborderait de cette manière, surtout en faisant semblant d'ignorer mon identité, ça se trouve il a un lien avec ta tante tu crois pas qu'il faudrait mieux s'en assurer ?"

Puis Aï se mit en colère, mais elle n'eut pas le temps de partir de Kuroi la rattrapa et la porta. Elle se débattit, mais sans grand succes.

"Lâche moi la grappe !"

Une fois dans leur chambre, il se mit e colère et elle l'ignora du regard tout en écoutant ses paroles.

"Pour ça que je ne veux pas t'en parler, je m'en fiche de ces gars..."

De toute manière, il y en aurait toujours autant même en en éliminant un ou deux, et peut être qu'il n'était pas volontaire pour faire ceci, Kuroi n'avait même pas imaginé. Par contre il voulait qu'elle révèle tout ce qu'elle cachait.

"Que je me soit faite tuée plusieurs fois au cours de ses derniers mois en récoltant des information t'intéresse ?"

Puis il la prit dans ses bras, et elle soupira, il s'inquiétait beaucoup trop.

"Je compte pas me laisser mourir, ne t'inquiète pas... et tant que tu seras à mes cotés je n'aurais aucune raison de le faire... Je rentrerais toujours, je dirais toujours bonsoir..; Alors ne t'en fais pas de trop..."

Puis il la lâcha, elle était plus calme, mais lui était iquiet. Elle se leva.

"Laisse moi travailler pour toi ! Je serais toujours avec toi, et tu auras pas besoin de te préoccuper de quoique ce soit. Si je travail chez les Otomiya c'est simplement pour te laisser tranquille."

Elle se leva et l'embrassa au niveau du cou.

"Kuroi, je ne savais pas que tu étais aussi trouillard..."

" Tu attire tout un tas d’ennuis a toi toute seule, avoue tout de même !"

Il soupira exaspéré avant de la gronder. Elle ne lui disait rien ce qui la concernait, alors qu'elle ! Elle devait savoir tout sur tout. Ce qui était assez injuste...

" Tu m'obliges bien a tout te raconter sinon tu m'espionne. T'es bien placé pour râler !"

Kuroï soupira exaspéré avant de refuser tout contact avec cet homme inconnu. Aï voulait y aller mais il n'était pas sur que ce soit une bonne idée, même pour une certaine recherche.

" Justement ça peut être un piège. Donc n'y vas pas. Autant faire pour le moment des recherches sur lui a distance..."

Cependant Aï se mit terriblement en colère, ce qui acheva de contrôler celle de Kuroï qui explosa. Et il n'avait pas la patience de supporter ses colères.

" La ferme !!!"

Kuroï l'emmena dans leur chambre avant de lui dire justement ce qui n'allait pas et ce qui l'agaçait fortement. Hors Aï ne semblait pas bien saisir.

" Bien sûr que ça m’intéresse ! Je m'inquiète pour toi !"

En tout cas elle s'était bien faite tué plusieurs fois ce qui exaspéra et attrista Kuroï. Et dans tout ça elle ne lui avait rien dit... Il soupira avant de la prendre dans ses bras, chaque jours pour lui était une inquiétude, celle de ne pas le revoir.

" Justement si ça dépendait que de toi je n'aurais pas toute ses inquiétudes..."

Il soupira ennuyé avant qu'elle ne lui propose de travailler pour lui. C'était une bonne idée pour que les choses se tasse.

" Je préférerais t'avoir a l'oeil pour le moment..."

Aï l'embrassa avant de lui dire qu'il était plutôt trouillard. Kuroï la regarda agacé avant de lui répondre

" Tu restes mon point faible... Ils suffit qu'une personne mal attentionné te tienne pour que je rapplique. Tu dois le savoir..."

"J'ai pas demandé à naître maudite !"

Aï baissa les yeux, il y avait trop d'évènement triste dans sa vie, que cela ne pouvait être dû au hasard. La mort de sa sœur, sa mère qui avait tenté de la tuer, les ombreuse voiture qu'elle s'était prise, les attaques qu'elle avait essuyé, et ses morts, tout cela ne pouvait être du au hasard. Peut être était-ce Hikari ? Mais elle était aussi celle qui lui permettait d'être en vie.

"Tu peux faire la même chose... "

La jeune femme voulait tout de même voir cet homme, Kuroï ne voulait pas du tout. Alors, elle allait s'y rendre malgré tout.

"Si je n'y vais pas on perdra peut être une chance d'avoir des information !"

Puis Aï se mit en colère et Kuroï la rattrapa, elle voulait qu'il la lâche, mais il ne lui laissa pas le choix. Puis Kuroi l'emmena dans leur chambre il s'inquiétait bien trop pour elle.

"JE veux pas que tu t'inquiète...."

Puis il lui raconta qu'elle s'était faite tuée plusieurs fois, il la prit dans les bras.

"Je suis solide, tu devrais être habitué après tout..."

Ensuite, elle lui proposa de travailler pour lui et il accepta.

"Bah tant que tu m'apprend des choses, ça me pose aucun problème..."

Elle soupira et après un moment de silence :

"Je vais rester demain à travailler et après demain, je viendrais ça te convient ? J'ai pas trop le choix de toute manière..."

Et puis Elle espérait pouvoir se rendre à ce dejeuner. Par contre les paroles de Kuroi la firent sourire tendrement.

"Je t'aime Kuroi, mêmesi tu t'inquiète un peu trop pour moi !"

PUis elle se mit à bailler.

"Je suis fatiguée, je vais me coucher, ha et si tu veux aller t'occuper de mon agresseur, tu le vite et proprement...."

Puis elle s'enfila directement dans le lit.

"Bonne nuit..."

Elle avait hâte d'être au lendemain midi.

Kuroï soupira devant la jeune femme, elle était terriblement têtu quand elle voulait.

" C'est bon je viendrais, je n'assisterais pas au repas avec toi. Mais je surveillerais tes arrières. Toi tu t'occuperas de lui. Je préfère t'avoir a l'oeil que te savoir seule là bas..."

De toute façon elle serait allé. Donc autant l'accompagner. Il soupira avant de vraiment se disputer avec elle, mais ils firent ça dans leur chambre. La voix montait de plus en plus, chacun sans doute un peu fatigué également.

" Je ne pourrais jamais m'habituer a te voir agresser Aï..."

Le ton avait fini par tomber sous l'inquiétude trop prononcé de Kuroï. Même s'il était entre autre habitué a ses problèmes. Il ne pouvait pas le tolérer. En tout cas elle resterait avec lui ce qui le soulagea. Juste demain elle irait travailler pour lui ensuite.

" C'est d'accord, demain je viendrais seulement t'amener ainsi que venir te chercher."

Aï trouvait qu'il s'inquiétait trop pour elle, hors même sans sortir avec elle il avait manquer de faire plusieurs crises cardiaque.

" Un jour tu auras ma peau..."

Il soupira exaspéré avant qu'elle ne décide de se coucher. S'il voulait s'occuper de son agresseur il pouvait le faire rapidement et proprement.

" Trop tard, c'est déjà fait"

Kuroï n'avait pas du tout attendu la réponse de la jeune femme pour le faire. Du coup il partit se coucher avec elle tout en l'en serrant tendrement dans ses bras.

Le lendemain, Kuroï se leva tôt pour se préparer et amener Aï a son travail. Il la rejoindrait pour midi où il ferait le guet pendant qu'elle, elle irait soutiré des informations au type bizarre de la veille.

Kuroï comprit parfaitement que peu importe le nombre de refus que la jeune femme essuierait de sa part, elle se rendrait tout de même à ce déjeuner pour s'assurer que cette personne n'avait rien de dangereux pour les Kagami, et si c'était le cas, de pouvoir récolter des informations sur cet homme, son objectif en venant la voir, et peut être pouvoir déjouer une partie de ses plans. Kuroï avait tout de même céder sans trop de difficultés ce qui fit sourire joyeusement la jeune femme.

« Merci ! Mais tu me promets de venir en cas de véritable danger, autrement tu te contente de surveiller. »

Puis ils se disputèrent tout deux dans leur chambre, chacun sur les nerfs après les révélation de la jeune femme à Kuroi, et pour elle, des événements qu'elle avait subit dans la journée. Même si c'était habituel, il y en avait eu ce jour bien trop. Cependant, ils se calmèrent rapidement, puisque Kuroï était bien trop inquiet pour se mettre en colère un long moment. Elle essayait d'être positive, mais le jeune homme ne pouvait pas faire comme elle.

« Et pourtant, je les attire... Si je voulais ne rien te dire, c'est parce que je sais que tu es pire qu'une mère quand il s'agit de moi. »

Elle lui proposa alors de travailler avec lui, l'idée de devoir rester avec lui ne lui plaisait pas tellement, pas parce qu'elle n'aimait pas la présence de Kuroï, loin de là, elle était toujours heureuse de pouvoir le voir, mais plutôt parce qu'ils avaient régulièrement des avis divergents et surtout, elle ne pourrait plus cacher tout ce qui pouvait lui arriver.

« Merci, j'ai beau être la futur présidente, le fait est que pour l'instant j'ai besoin de faire toute la paperasse pour partir... »

Malheureusement, pour cela, elle avait de grande chance de rencontrer son père, et ils n'étaient pas en très bon terme, elle n'aurait pas eu à le faire si elle n'avait qu'un simple employé, mais elle n'avait personne au dessus d'elle autre que son père. Si elle avait de la chance elle pourrait compter sur le vice-président, ou le secrétaire de son père, mais elle n'y croyait pas vraiment. Puis Kuroï l'accusa d'être la futur cause de sa mort en l’inquiétant comme elle faisait.

« Je ferais attention, maman ! Même si la meilleure solution reste pour moi que je me taise, comme ça tu n'en sais rien et tu ne t'inquiète pas inutilement... Et puis ne t'inquiète pas généralement les trucs bizarre m'arrive uniquement deux à trois fois par semaine.»

Aï caressa la tête de son homme, elle avait un air de gamine sur le visage, preuve qu'elle appréciait qu'il s'inquiète, et puis cela rendait son Kuroï si adorable qu'elle ne pouvait s'empêcher de l'inquiéter. Elle voulut ensuite se coucher, mais précisa à Kuroï de tuer proprement l'homme qui l'avait agressé proprement, cependant, il n'avait pas attendu pour s'en occuper.

« Kuroï, tu es effrayant... Je sais même pas comment les copines que tu as eu on fait pour ne pas s'en apercevoir... »

Puisqu'il allait se coucher aussi, Aï se blottit doucement contre lui, puis elle ajouta en murmurant.

« Mais je me fiche que tu sois effrayant, tant que tu es à moi. »

Elle sourit avec douceur et s'endormit. Aï fut réveillée en même temps que Kuroi, elle se prépara relativement rapidement, comme d'habitude, elle trouvait ses vêtements ben trop sérieux et songea à en changer, pour garder le sérieux, mais opter pour des vêtements qui lui paraissait moins vieillots, or ceci datait uniquement de la saison précédente. Elle attendit Kuroï puisqu'elle était prête largement trop tôt et une fois en voiture elle s'adressa au jeune homme :

« Hikari est prête à la pire des éventualité ce midi, mais y a pas de raison qu'il y ait quoique ce soit qui arrive, y aura forcément du monde autour de nous... »

Puis une fois qu'ils furent arrivés à destination Aï sortit de la voiture et salua Kuroï. Elle put se rendre à son bureau où elle clôtura les derniers dossiers dont elle se chargeait et rédigea rapidement une lettre de démission, et alors qu'elle espérait être tranquille, l'homme qui lui posait des questions étranges revint à la charge, elle pouvait s'énerver le comportement de cet homme restait le même et elle finit par fuir dans les toilettes puisqu'elles étaient réservées aux femmes. Elle fut désespérée d'en être réduite à se cacher.

« J'aurais du le frapper... »

Après un petit moment Aï sortit en espérant que cet homme n'était plus ici, et apparemment, elle pouvait être tranquille. Alors, elle prit l'ascenseur pour monter à l'étage où elle allait déposer sa lettre de démission. Comme elle s'en doutait elle dut rencontrer en personne son père, elle avait pourtant espéré si fort qu'il soit en voyage d'affaire... Cela n'avait servit à rien. Les échanges de mots fut très cours, et comme il était l'heure de manger elle quitta le bâtiment pour se rendre au lieu de rendez vous convenu la veille avec cet homme aux yeux verts. Il était arrivé avant elle.

« Excusez-moi de mon retard... » dit-elle avec un air faussement désolé.

Ils s'assirent tout les deux, l'un en face de l'autre, et on leur distribua les menus, la jeune femme réfléchissait à la façon avec laquelle Elle allait pouvoir lui soutirer des informations.

« Je suis désolée de vous avoir retarder hier, vous aviez sans doute du travail... »
-Non, enfin, si, mais je ne pouvais pas vous laisser alors que vous veniez de vous faire agresser. Votre blessure ne vous fait pas trop souffrir ?
« Non, pas du tout... Je vous remercie. »

Le serveur vint prendre leur commande, et le silence s'installa de nouveau, Aï n'arrivait pas à savoir s'il voulait qu'elle parle, ou s'il réfléchissait à la façon de lui soutirer des informations. Il fut le premier à reprendre la parole.

-Votre mari a accepté que vous veniez au final ?
« C'est un grand jaloux, mais je l'ai convaincu. »

Aï sourit et, cet homme fit de même, il fallait absolument qu'elle trouve le bon sujet de conversation.

-Votre mari est un grand travailleur, je me trompe ?
« Oui, il travaille beaucoup pour le bien de sa société... »
-Vous ne vous vous sentez pas un peu seule des fois ?
« Je travaille autant que lui. »

Il fit un signe de la tête, la jeune femme ne savait quoi en déduire.

-Il doit parfois se laisser aller, boire, fumer, ou … Aller voir d'autre femme ?
« S'il le fait c'est sans ma connaissance, mais si je le grille, je le tue ... »

L'homme eut un rire nerveux, elle ne voyait pas du tout ce qu'il cherchait à faire, détruire la crédibilité de Kuroï ? Il n'y arriverait pas.

« Mon mari peut paraître froid, mais les gens lui font confiance et il gère tout sans aucun problème, il accomplit parfaitement son rôle parce qu'il n'a aucune faiblesse ! »

Sauf elle, mais elle n'allait pas le dire tout haut. Alors le repas fut servit et il discutèrent un peu plus, puis la fin du repas arriva doucement. Elle le salua quand il lui attrapa le visage et l'attira à quelque centimètres de lui. Elle voulut le repousser.

« Qu'est ce que vous faites !? »

Mais une douleur intense l'empêcha d'agir. Cette douleur lui donnait envie de se frapper le crâne contre un mur et quand celle-ci s'arrêta, l'homme dit :

-Tu diras à Kagami Kuroï qu'il y a des choses sur lesquels nous aimerions discuter, et que s'il ne veut pas que tu meurs, il ne faut pas qu'il me tue, et il faut qu'il vienne me voir...

Elle ne comprit pas de quoi il parlait, il quitta le lieu juste après et Aï ne bougea pas pendant un instant, et sentit quelque chose couler sur ses lèvres. Elle y passa un doigt et s'aperçut qu'il s'agissait de sang, elle prit un mouchoir pour éviter que cela saigne plus et alla voir Kuroï qui surveillait.

« Je n'aurais pas du y aller... »

Il ferma les yeux et regarda Kuroï tristement :

« Il m'a dit que tu devrais aller le voir, que si tu le tue, je suis morte à coup sûr, donc que tu devais te contenter de lui parler... »

Aï craignait que cette fois sa fin était proche.

Kuroï était exaspéré, pendant tout le temps où il avait commençait a la protéger en sentant l'arriver de sa famille. Aï se faisait attaquer de toute part. Une culpabilité énorme le prit de plus Aï ne prenait pas en compte ses avertissements.

" J'essaierais de faire ce que je peux..."

Il n'était pas sûr de lui être utile. S'ils s'attaquaient a elle, c'est bien parce qu'ils savaient qu'elle était son point faible c'était évident... Il soupira avant de bien accepter malgré tout les paroles de la jeune femme. Le mal était fait et on ne pouvait rien faire pour le moment. Les jours suivant il l'aurait un peu plus a l'oeil et entre autre en sécurité dans son entreprise lors de ses absences.

" Je serais patient..."

En tout cas Aï n'avait pas encore tout appris sur lui. C'était une bonne chose en sois. Enfin elle verra bien le moment venu. Pour le moment il avait tué l'agresseur et il fallait se préparer au lendemain. Cependant, Aï le fit culpabiliser très rapidement en lui disant qu'il n'appartenait qu'à elle. A ces mots il la serra plus fort contre lui. Il n'était plus vraiment qu'à elle.

Le lendemain était sans doute la pire des journées. L'homme qui l'avait sauvé était bel et bien son neveu. Kuroï soupira d'exaspération a cette vue et connaissant son pouvoir il n'avait aucune chance de sauver Aï. Il devra devenir de plus en plus infect avec elle s'il voulait la protéger. Bien sûr il avait prévenu Eiichi. Donc si quelque chose venait a se passer mal, il prendrait le relais, tout comme ça soeur... Kuroï était très mal et il attendit le retour de la jeune femme assez tristement. Rien qu'a voir sa tête, il se sentit pris directement au coeur. Mais il ne s'énerva pas du tout, préférant garder son calme.

" Je t'avais prévenue, tu n'as qu'à tant prendre a toi même."

Kuroï se redressa de contre le mur avant de répondre a la jeune femme.

" Je parlerais avec lui le moment venue. J'ai beaucoup de chose a faire, je n'ai pas de temps a perdre avec son entretiens."

Il regarda Aï avant de dire froidement.

" Je vais appeler quelqu'un pour qu'on t'emmène directement à l'hôpital."

Kuroï quitta le restaurant en tournant bel et bien le dos a la jeune femme tout en appelant un chauffeur pour elle. Cela lui fit terriblement mal de réagir ainsi, mais s'il montrait une once d'inquiétude. Tout le cirque qu'il avait monté se serait écroulé. Il fallait absolument qu'ils croient qu'il était seulement intéressé par la puissance et la fortune des Otomiya. Du coup il retourna a son bureau tout en demandant a son rendez vous de bien vouloir venir dans son bureau. Bien sûr, c'était une femme qui ne se gêna pas pour le rejoindre de manière langoureuse.

"Je t'ai pas demander de faire plus que ce que tu peux..."

Aï se fichait de ce qui lui arrivait du moment qu'elle avait Kuroï à ses cotés, elle pouvait même tout supporter avec lui. Mais elle en se doutait pas que le présence de Kuroi allait changer en elle, mais que même son comportement envers elle allait changer. Cette idée ne lui traversa pas une seconde l'esprit. Kuroï serait patient, alors elle sourit doucement, mais elle trouva rapidement qu'il agissait étrangement, mais n'y fit particulièrement attention, accusant la fatigue.

Puis vint le moment de la rencontre avec cet homme, elle ne savait pas qui il était, mais il en avait après Kuroi, cela se sentait à ses questions, seulement la rencontre dériva rapidement, et il fit quelque chose d'étrange à la jeune femme, elle n'était pas sûr de ce qui se passait, mais elle était sûre de son avenir en attendant ses paroles.

Après la rencontre Aï rejoignit Kuroï, mais il agisssait froidement avec elle ce qui n'était pas dans ses habitudes, et alors qu'elle avait peur il lui disait de s'en prendre qu'à elle-même. Elle se crispa, et tremblota même cherchant désespérément à cacher sa peur.

"Tu as raison, je dois assumer mes propres erreurs..."

Elle le regarda tristement, il agissait vraiment étrangement. Il était si froid avec elle, que l'angoisse l'obligea à s'appuyer contre un mur pour ne pas tomber. Ai fut emmener peu après à l'hôpital, elle passa divers exament quand on repéra une tumeur dans son cerveau qui se trouvait à l'endroit où sa mémoire était. Cela voulait dire qu'elle risquait d'avoir des trou de mémoire. Ne pouvant être opérée pour le moment, elle n'avait plus qu'à rentrer, et c'est ce qu'elle fit. Et bien qu'elle resta calme le long du trajet, une fois seule, dans leur chambre elle attrape un des vêtement de Kuroi et le serra contre elle et sentant son odeur. Elle se mit alors à pleurer elle ne voulait pas perdre la mémoire, et elle ne voulait pas que Kuroi agisse de la sorte. Pendant plusieurs heurs elle sanglota puis finit par se lever, quand elle essaya de se souvenir de quelque chose, elle était sûr que c'était arrivé mais pourtant, elle ne s'en souvenait pas. A cause de cet homme ce qu'elle avait dans le cerveau évoluait bien trop rapidement.

Ai s'appuya contre un mur, terroriser maintenant qu'elle réaliser ce qu'allait devenir son proche futur. Elle s'imaginait completement seule.

Kuroï profita de sa dernière soirée tranquille avec Aï. Le repas était inévitable, il voulait l'en empêcher mais elle était tellement têtu qu'il fut obliger de céder et l'ignorer une fois que le mal sera fait. Faire comme s'il ne l'avait jamais aimé. Il serra la jeune femme contre lui toute la nuit, la regardant dormir paisiblement pendant que lui se tuait de l'intérieur.

Le lendemain, il se leva dans le silence et se mit d'ores et déjà a la tâche. S'occuper de tout et perfectionner son image. Le repas fut tout aussi terrible... Aï était venu le voir et semblait terrorisé. Et au lieu de la prendre dans ses bras, Kuroï la rejeta tout bonnement...

" Parfaits!"

Sur ce il la quitta et rejoignis sa voiture. Il était complétement détruits, le poing serré il se retenu d'aller la chercher. S'excuser et de nouveau la prendre dans ses bras. Kuroï soupira avant de regarder le paysage défilé avec une froideur incroyable.

Une fois arrivé au bureau, il commanda froidement a sa secrétaire de faire entrer son rendez vous de l'après midi. Une très belle femme fit son entrée et elle prit plaisir a passé l'après midi avec lui pour passer le temps à leur manière. Kuroï oublia ses sentiments pour le moment même si le souvenir de Aî le faisait souffrir... La soirée finit tout de même par arrivé et il alla se divertir dans un bar avant que la tragédie ne continue son court. Avec des relations il trinqua a la sois disant bonne nouvelle. La puissance des Otomiya allait lui appartenir, tous rigolèrent a grande joie et Kuroï imita parfaitement l'hilarité du groupe. Ils s'amusèrent a compter les jours restants avant le fameux jour j et tout ce qui s'en suit. Lassé par tout ça, Kuroï finit par partir même si la nuit était bien avancé...

Le chemin du retour fut particulièrement éprouvant et il n'avait pas le courage de voir Aï. Il soupira exaspéré avant de se diriger dans sa bibliothèque pour se poser un peu. Il n'avait vraiment pas le courage de l'affronter. Voir son état le tuerait encore plus, surtout que c'était sa faute...

Les paroles de Kuroï la détruisait à un point qu'il n'imaginait sans doute pas, c'est comme si il enlevait un mur de brique pierre par pierre alors qu'elles sont collées ensemble depuis des dizaine d'années. Elle n'était pas avec Kuroï depuis tant de temps, mais son attachement était très grand, plus grand que de briques reliées par du ciment.

Elle était rentrer chez elle après un séjour à l'hopital, chez eux, mais elle se sentait comme une étrangère sans comprendre la raison. Elle gardait une chemise qui appartenait à Kuroi et passait son temps avec. Elle ne chercha plus à voir Kuroï se sentant à part et plusieurs jours, peut être plusieurs semaine passèrent, elle avait de plus en plus de mal à se souvenir de ce qu'elle oubliait et surtout à se rendre compte qu'elle perdait la mémoire.

"Hah... Ma tête..."

Aï se recroquevilla sur elle même, elle avait bien trop mal et se dit qu'il ne lui restait plus beaucoup de temps. Elle n'avait plus personne sur qui compter car elle ne se souvenait que de tres peu d'élèment de son passé. Parfois ils remontaient mais trop souvent ils disparaissaient pour ne plus revenir. Aï était terrorisée par Kuroi et le voyait comme quelqu'un qui s'était toujours servit d'elle. Elle en arrivait à le fuir comme la peste, et il était regulier de la voir assise à regarder un mur vide pendant des heures signe qu'elle était complètement desorienté.

"Je sens moi même que je deviens folle..."

Elle se dit que rester proche de Kuroi n'était plus la bonne solution et prépara un sac, et alla se perdre dans les rue de la ville sans véritable but. Elle marcha longuement, en pleurant sans connaître la raison puis sa tête fut si douloureuse qu'elle du perdre connaissance, elle était au milieu de la route quand son malaise lui arriva. Elle se demandait si c'était la fin pour elle ou non. Et dans cette inconscience certains souvenirs d'elle et Kuroi heureux semblait remonter.

"Kuroi...."

Bien malgré elle, ses sentiments pour lui ne pouvait s'effacer. Elle espérait voir Kuroï lui sourire, la prendre dans ses bras, mais elle ne savait plus ce qu'était la réalité, du souvenir ou du rêve. Même si elle devait mourir à cause de cet homme tout ce qu'elle voulait c'était quelqu'un pour la soutenir, mais elle était seule, complètement seule.

Kuroï avait énormément de chose a faire pour avoir ses gens qui se disaient de sa famille. Hors ils faisaient tout pour le détruire et surtout Aï. Elle en subissait lourdement les conséquences puisqu'il avait appris sa tumeur. Kuroï avait été profondément touché par cette nouvelle et résista le plus possible a la tentation de la revoir. Cependant il appela rapidement Eïichi et sa soeur pour qu'ils puissent s'occuper d'elle.

Les jours passèrent et le plan marcha a la perfection. Le jour de l'entretien, sa tante et son neveu furent complétement déstabilisés. Kuroï se fichait du sort de Aï et leur moyen de pression passa complétement dans l'oublie. Ils avaient beau menacé rien n'y faisait. Leur peur grandissaient de plus en plus, jusqu'à ce que les yeux démoniaque de Kuroï n'apparaisse avec un sourire particulièrement malfaisant. Ils ne purent pas s'en sortir. Kuroï aspira les pouvoirs de son neveux avant de les tuer tout les deux et fit disparaître leur corps sans aucun problème. Kuroï soupira de soulagement avant de défaire rapidement la maladie d'Aï. Mais il ne pouvait pas la rejoindre pas encore... Seul Eïichi et sa soeur pourront lui donner le feu vert. Et surtout lui dire où elle en était. Car pour le moment, rien ne dit qu'elle ne le haïssait pas après tout le mal qu'il lui avait fait...

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Eïichi reçu rapidement l'appel de Kuroï. C'était le signal pour prendre Aï chez lui durant un laps de temps. Le jeune homme se mit donc a arpenter la ville afin de la chercher partout puis qu'elle n'était plus chez elle. Sans doute partit quelque part... Inquiet, il marcha rapidement avant de finir par la trouver gisant au milieu de la route. Eïichi se précipita vers elle tout en la secouant doucement.

- Aï !

Il soupira exaspéré avant de la porter pour la mettre dans sa voiture et ainsi rentrer chez lui. Là il put l'allonger sur le canapé quand Kôseï arriva juste pour avoir des nouvelles.

' Elle va bien ?'
- Si être inconsciente c'est le cas, on peut dire ça...

Eïichi s'installa a côté d'elle avant de s'occuper et voir si tout allait parfaitement bien. Son médecin personnelle ne tardera pas a arriver.

' Kuroï a réussi a éliminer ses nuisibles. Par contre, je doute qu'elle puisse le voir maintenant...'
- Je pense pas non plus. Je vais la garder le temps qu'elle se remette et on fera ça de nouveau en douceur. Je te tiens au courant.

Kôseï ne s'attarda pas et disparut très rapidement. Le médecin arriva de suite après et put examiner la jeune femme

Aî se souvenait de moins en moins des évènement récent et même plus ancien, elle se souvenait encore moins des gens qui l'entourait et agissait parfois de manière irrationnelle comparé à son caractère original. Elle craignait les gens pour deux raison : la première parce que cela signifiait qu'elle allait oublier les gens peu après les avoir vu, et la seconde était qu'elle ne savait pas faire la différence entre les gens de confiance et ceux qui ne l'était pas.

Ainsi, dans sa peur de rester auprès de Kuroï, la jeune femme avait décidé de s'éloigner, malheureusement, elle avait finit par faire un malaise au milieu de la route.

Inconsciente, elle était cependant capable de penser à des tas de souvenirs et de réflexion qui lui revenait parfois en tête sans prévenir. Elle ne se réveilla que bien plus tard, et dans un environnement qui lui était inconnue, d'abord effrayée, elle ne bougea pas, puis elle remarqua la présence du médecin et de Eiichi. Elle avait l'impression de pouvoir faire confiance au jeune homme sas en comprendre la raison, alors malgré tout, elle se leva et s'accrocha à lui.

"Je ne veux pas que cet homme m'approche..."

Elle s'accrocha aux vêtement de Eiichi tu en posant sa tête sur lui, elle se sentait terriblement faible, mais la présence du médecin l'effrayait.

Eïichi était assez attristé par la situation. Aï souffrait parce que Kuroï l'avait abandonné et Kuroï lui souffrait car il faisait tout cela a contre coeur. Il voulait le bonheur de la jeune femme et pourtant il était en train de l'abandonner alors qu'elle était en train de perdre la mémoire. Voir au pire mourir de cette tumeur... Eiichi l'avait pris chez elle sous le signal de son ami, ainsi il put appelé un médecin pour l'examiner. Kôseï arriva lui aussi et lui donna une bonne nouvelle. Comme quoi, Aï avait plus sa tumeur, Kuroï avait réussit a lui enlever. Par contre la mémoire sera plutôt longue a revenir... Voir pas du tout. Tout ce qu'il espérait c'est qu'eux deux pourront de nouveau revenir ensemble...

Eiichi attendait sur le canapé quand le médecin l'examina. Quand Aï se réveilla dans un sursaut, puis elle fut complétement affolé. Elle s'était collé a lui tout en fuyant le médecin un peu embêté. Eiichi la regarda avant de lui caresser doucement la tête pour l'apaiser.

- N'ai pas peur c'est un ami a moi, Aï.

Il l'entoura tout de même de ses bras avant de regarder le médecin pour le remercier. Par contre, il avait Naomi a appelé. Du coup il la lâcha pour se lever juste après.

- Ne bouge pas trop, tu sors tout juste d'un malaise. Je reviens.

Eiichi la regarda d'un air insistant avant de lui caresser doucement la tête.

- Tu bouge pas et tu repose ok ?

Il lui sourit doucement avant de partir dans la pièce d'a côté pour appeler Naomi. Elle arriverait rapidement d'après ce qu'elle disait.

La jeune femme était peut être soignée, mais elle n'en avait pas vraiment conscience, et ce n'était pas pour cette raison que sa mémoire reviendrait, et qu'elle perdrait cette habitude de fuir les gens, elle ne pouvait pas redevenir celle qu'elle était sans avoir le moindre souvenir. Qui était Kuroï ? Elle l'avait complètement oublié, il était simplement un inconnu, s'il n'était pas un monstre à ses yeux.

Après avoir perdue connaissance, Aï se réveilla auprès de Eiichi et d'une homme inconnu qui lui faisait peur. Elle se réfugia contre lui pour se rassurer, et pour l'aider Eiichi lui caressa la tête, et lui expliqua qu'elle n'avait aucune raison de fuir le médecin., Rassurer par Eiichi, elle fut contente d'être à ses cotés, et même si elle ne se souvenait pas clairement de lui, elle avait confiance en cet homme il ne pouvait pas être méchant. Il ne tarda pas à la lâcher, et elle le regarda tristement, il lui dit de ne pas bouger.

"Mhh...'

Il regarda cependant la jeune femme avec un air si insistant qu'elle se recroquevilla sur elle même. Il insista en lui caressa la tête.

"Je ne bougerais pas..."

Alors, en le voyant partir, elle s'allongea doucement, le regard dans le vide, ne pas savoir qui elle était se trouvait bien trop perturbant. Elle savait son nom, son prénom, mais chaque fragment de son passé avec disparu.

"J'aimerais retrouver ma mémoire..."

Puis, elle attendit et aomi arriva, elle se souvenait plus ou moins d'elle, mais plus en temps que soeur de Kuroi, et en arrivant, elle alla la prendre dans ses bras.

"Naomi..."

Elle était tellement contente de se souvenir d'elle, qu'elle finit par lâcher des sanglots de joie.

Eiichi était soulagé qu'Aï lui fasse un minimum confiance et qu'elle se détende après qu'il l'est rassuré. Par contre elle était beaucoup trop craintive. C'était évident, Kuroï ne pourrait pas encore la voir... Il faudra qu'il trouve un moment d'aller le voir, lui non plus ne doit pas en mener large. Il inspira profondément avant de dire a la jeune femme de ne pas bouger. Lui, il appela Naomi qui ne devait pas tarder. D'ailleurs elle arriva dans le quart d'heure qui suit comment une furie dans l'entrée.

" Ou est Aï !"

Elle regarda Eiichi qui lui montra le salon. La jeune femme rentra rapidement dans la pièce avant de voir Aï. Naomi était quelque peu stressé avant de voir son amie la prendre dans ses bras tout en disant son nom. Elle ne put s'empêcher de sourire joyeusement tout en la serrant tendrement dans ses bras.

" Heureusement tu vas bien..."

Naomi s'écarta pour bien regarder Aï et voir si elle n'était pas blessé.

" Aï ! Je me suis faites un sang d'encre pour toi ! Encore plus quand Eiichi m'a dit qu'il t'avait trouvé sur la route..."

Elle regarda Aï inquiète avant de caresser la joue de la jeune femme.

" Pourquoi n'es tu pas venu me voir... Tu sais très bien que je suis avec toi, même si je dois être contre mon frère parce qu'il t'a fait pleurer."
- Naomi...
" Non mais c'est vrai ! Il ne doit pas la faire pleurer comme ça ! "

Naomi était vraiment plus protectrice depuis qu'elle avait sa fille. Et voir Aï comme ça la blessait énormément. Déjà elle en voulait un peu à son frère d'avoir agit comme sa avec sa propre femme. Mais elle devait bien avoué qu'il n'y avait pas beaucoup de solution contre eux... Elle soupira exaspéré, mais tout de même soulager de voir qu'elle était un peu mieux.

" Eiichi, tu vas l'héberger donc?"
- si elle ne voit pas d'inconvénient...

Aï se souvenait de Kuroï, du moins, elle le pensait même si en réalité, elle ne connaissait même plus le son de sa voix, ni même son visage. Juste un nom sans corps, ni personnalité, puisque aucun des souvenirs de la jeune femme n'était lié à ce nom si ce n'est de la crainte, et de la tristesse. Eiichi était heureusement là pour elle, et la rassurait quand elle en avait besoin. Ses yeux était toujours aussi irrésistible pour la jeune femme. Naomi ne tarda aps à arriver, elle était vraiment inquiète pour Aï, mais la jeune femme elle-même était soulagée de la voir.

"Bien, je ne sais pas, mieux c'est sûr..."

La jeune femme n'avait pas oublié comment parler, puisque la seule partie du cerveau affecté était ses souvenirs, et non pas ses connaissance. Naomi s'écarte et regarda la jeune femme qui semblait confuse, elle avait inquiétée son amie.

"Je suis vivante apparemment, mais je ne me souviens pas vraiment de ce qui s'est passé, je ne me souviens même pas pourquoi je suis partie..."

Savoir qu'il lui manquait quelques souvenirs ne l'inquiétait plus, elle avait l'habitude, mais toujours inconsciemment, elle cherchait pour se souvenir. Naomi caressa sa joue, elle lui sourit.

"Je... J'ai perdu tellement de souvenirs, qu'au final, je ne savais ni si je les inventais, ni s'il étaient réel... Donc ni si tu étais de ma propre invention ou pas.."

Elle caressa la tête de Naomi.

"Merci de t'être inquiétée pour moi..."

Puis Naomi demanda à Eiichi si il hébergeait Ai, et elle fit non de la tête à Eiichi pour dire que ça ne la dérangeait pas. Alors elle logea chez Eiichi pendant plusieurs jours, et Naomi finit par l'inviter à une soirée, pensant que c'était une bonne occasion pour se changer les idées. Elle choisit soigneusement une robe, ce n'était pas parce qu'elle avait eu un problème à un moment qu'elle devait se négliger. Elle aimait le pourpre et cela n'avait guere changer alors sa robe était entierement pourpre.

Cependant une fois à la soirée, elle était assez mal à l'aise et resta dans son coin un long moment, elle ne savait plus l'identité des personne, même de celle qu'elle était sûre de connaitre, son verre à la main, elle semblait triste.

Naomi s'était faite un sang d'encre, et sa manie de tout protégé n'avait fait que croître avec l'arrivé de sa fille. Du coup Aï n'y échappa pas une seule seconde.

" C'est déjà mieux que rien !"

En tout cas une bonne partie de sa mémoire était partie. Voir pratiquement tout en ce qui concernait les derniers moments. Naomi était quelque peu soulagé et souffla un faible.

" C'est pas plus mal..."

En tout cas toute cette histoire avait causé énormément de chamboulement. Aï ne savait plus du tout ou donné de la tête. Et Eiichi veille sur Aï a la place de Kuroï.

" Je m'inquièterais toujours pour toi Aï... T'es comme ma fille, il faut toujours garder un oeil sur toi."

Elle soupira avant de passer toute la journée avec son amie. Autant profité de sa présence. Puis, Aï passa plusieurs jours chez Eiichi. Celui-ci fit en sorte de la sortir et s'occuper d'elle le plus possible. Lui changer également les idées pour que sa aille mieux moralement. Puis Naomi eut l'idée de l'invité a sa soirée, Eiichi n'y vit aucun problème cependant il ne pourrait pas venir dans les débuts. Hors il essaierait de se libéré plus tard dans la soirée.

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Kuroï avait décidé d'effacer sa présence de la ville pour le moment. Cela ne lui ferait absolument pas de mal. Du coup il hébergea chez la famille de son beau frère. Ils comprenaient rapidement l'histoire et acceptèrent que pour le moment ils soient sa couverture. Il s'appelle donc Zetsu pour le moment et sa présence fut rapidement mêlé. A tel point qu'il était souvent invité dans les soirées. Les relations marchaient a merveille avec lui et attirait beaucoup d'aide. A ne pas se séparé.

Un soir n'allait être pourtant pas comme les autres. Kuroï était arrivé a la réception donné encore une fois par la famille. Et il jouait les intermédiaires entre chaque partit afin de favorisé les affaires. Alors qu'il parlait avec un groupe de pdg. On entendit des murmures comme quoi, Mme Kagami était ici. C'était aussi une Otomiya, mais ce qui étonna le plus c'est que le couple le plus fort avait rapidement disparut de la cathédrale. Suite a une rupture pas clair. Donc voir Aï était assez perturbant. Kuroï regarda donc dans la direction indiqué avant de saluer les convives et partit chercher un verre.

" Permettez moi de vous offrir ce verre."

Kuroï échangea le verre qu'avait Aï pour lui donner le rempli. Qui inconsciemment était ce qu'elle préférait le plus. Kuroï l'avait remarqué que trop tard, mais il ne fit rien paraître tout en donnant le verre vide a un serveur.

" Pourquoi rester en retrait, alors que vous êtes ravissante. "

Il sourit doucement, appréciant Aï dans cette tenue. Elle était vraiment très jolie comme ça et la revoir lui faisait énormément plaisir. Hors il ne voulait pas encore se présenter a elle comme son mari. De peur qu'elle le fuit. Déjà passer un peu de temps avec elle était énorme et agréable. Cela lui avait énormément manqué.

Aï sourit aux paroles de Naomi, mais les paroles suivantes, l'étonnèrent puisqu'elle ne s'y attendait pas du tout. Elle ne comprenait pas en quoi les souvenirs qu'elle avait perdu était si mauvais, et ne le saurait sans doute jamais. Elle ne dit rien dessus pour ne pas partir dans des discussions auxquelles elle n'aurait pas de réponse.

Elle ne comprenait pas pourquoi Naomi se préoccupait tant qu'elle alors qu'elle l'avait oublié. mais le fait de dire qu'elle était comme sa fille fit sourire amusée Aï.

"Tu exagère un peu... me comparé à ta fille..."

Puis elle passèrent la journée ensemble. Aî passa plusieurs jours chez Eiichi qui l'aida à retrouver une partie de son sourire en s'occupant d'elle, et même si elle ne se sentait pas entière, elle se sentait un peu mieux. Aï fut alors invité à une réception à laquelle elle se rendit, mais elle se sentait terriblement seul, et pas à l'aise.

Alors qu'elle s'éffaçait de plus en plus dans sa petit bulle, un homme vint la voir. Surprise, elle redressa brutalement la tête et recula.

"Ah..."

Elle regardait étonnée le jeune homme, il était le seul qui lui avait adressé la paroles jusqu'à présent, et n'avait pas parler d'elle dans son dos de manière peu discrète.

"Merci..."

Elle lâcha son verre vide et dévisagea l'homme, victime d'un étrange sentiment de nostalgie et un autre sentiment de nervosité.

"Je ne suis pas ravissante... Je... Ne me flattez pas..."

Elle fit quelques pas en arrière gênée, et percuta quelque chose, sans savoir pourquoi, elle fut prise de panique et pétrifia.

Naomi avait tout calculé pour que Kuroï et Aï se revoit. Une soirée lui paraissait être un moment idéal. De plus aucun des deux ne pouvaient s'en douter. Mais quand Kuroï remarqua la présence de Aï, il hésita longuement entre lui reparler ou lui laisser le temps. Hors une envie irrésistible de la voir et d'être auprès d'elle lui prit. Il fallait absolument qu'il passe au moins quelque minute auprès d'elle. De ce fait il attrapa un verre qui s'avérait être la boisson qu'elle préférait lors des réceptions. Il s'en rendu compte que trop tard, mais Aï ne sembla pas remarqué ce qui le soulagea doucement. En tout cas elle était encore fragile alors qu'il l'avait complimenté. Elle paniqua en reculant se heurtant a des gens. Kuroï réagit avec beaucoup de rapidité et attrapa la jeune femme par la taille pour la rattrapé avant qu'elle ne perde plus l'équilibre et ainsi la protéger de se gens qui commençait a se mettre en colère.

- Mais faites attention...

Sa voix s'évanouit en voyant Kuroï qui en imposait particulièrement. L'homme en face sourit d'un air embarrasser avant de balbutié quelque parole.

- Oh... je ne vous avez pas reconnue Zetsu...
" Excusez nous."
- Oh mais non ce n'est rien vraiment.

L'homme sourit avant de reprendre rapidement son chemin. Kuroï avait été particulièrement calme par contre il avait été trop protecteur envers Aï qu'il s'empressa de lâcher.

" Je suis désolé... Je n'aurais pas dut vous attrapez ainsi."

Il s'inclina embêté avant qu'on ne vienne le chercher.

' Zetsu ! J'ai besoin de toi, viens s'il te plait.'

Kuroï regarda Aï avant de lui souhaiter une bonne soirée.

" Excusez moi encore pour tout à l'heure, j'espère vous revoir plus tard dans la soirée."

Sur ce il suivit la femme qui l'avait demander de l'aide. Elle avait un problème avec les affaires et il devait jouer les négociateurs avec leur futur fournisseurs. Kuroï s'appliqua a la tâche, mais son habitude de protéger Aï était plus fort que lui. Du coup il était à l'écoute de ce qui l'entourait. D'ailleurs, le fait que Aï soit là attira le venin de certaines femme qui connaissent justement Kuroï et lui ont toujours voulut de s'être marié avec lui et ainsi l'accaparé. Du coup avec un certains groupe elles n'arrêtèrent pas de la descendre.

' Mlle Otomiya ! La fameuse prétencieuse qui croyais garder Kuroï rien que pour sois, comme quoi les garces comme toi n'ont que ce qu'elle mérite. Ce faire jeter comme une ordure'
- Ne crois pas non plus que ton nom fera quelque chose ici. Tu n'es plus qu'un déchets. Ta mort n'aurait fait pleurer personne. Au contraire !
' Tu n'es pas la bienvenue ici a ce que tu vois'

Elles souriaient de manière malfaisante avant d'être complétement refroidit en voyant Kuroï qui leur jetait un regard terriblement noir. D'ailleurs il se rapprocha rapidement d'elles qui reculèrent d'un pas.

" Je ne crois pas que vous soyez invité ainsi contrairement à elle. Donc vous me ferez le plaisir de partir."

Kuroï appela la sécurité qui ne tarda pas a rappliqué.

" Veuillez les raccompagner a l'extérieur, les nuisibles dehors."

Il les regarda passé tout en leur jetant des regards noir alors qu'elles essayaient de protester. En plus, elles ne pouvaient rien dire sur lui car ce serait encore pire. Son nom resta au bout de leur lèvre tout en étant affreusement déçu que Kuroï les jettent ainsi a la porte. En temps normal il aurait fait plus, mais là il ne pouvait en aucun ce le permettre. Par contre il se permit de la rassurer.

" Ne prenez pas en compte ce qu'elles vous on dit. Beaucoup de personne tient a vous et vous êtes plus que la bienvenue ici. N'écoutez pas les personnes jalouses, elles ne répande que le mensonge."

Il voulut lui caresser la tête, mais il se ravisa avant de parler précipitamment.

" Enfin... Je vais cherchez Naomi. Autant que vous ne restiez pas seule."

Kuroï tourna le dos, plus ça allait plus allait craquer et finir par la prendre dans ses bras. Cependant il avait une peur bleu. Celle qu'elle le rejette et le regarde d'une manière effrayé voir terrorisé.