Le Paradis reouvre ses portes...

" Je préférais être prudent..."

Il avait fait le meilleur choix, il en était sûr. Sinon elle serait partit, encore maintenant il avait peur qu'elle s'en aille. En ce qui concerne Aï rien ne l'attachait encore vraiment à lui. Ses souvenirs étaient partit, elle pouvait s'en faire d'autre avec une autre personne. Seul son corps se souvenait de lui, mais qui dit qu'il aura toujours raison d'elle. En tout cas, elle se souvint de Hikari et il put faire une blague. Cependant Aï était tout de même inquiète pour la succession.

" A moins que tu m'apprennes que tu es enceinte, il devrait pas y avoir de problème."

Kuroï était tout de même encore inquiet et profita de la présence de Aï le plus possible, même si elle était un peu contre puisqu'elle utilisa l'excuse des médecins.

" T'inquiète pas..."

Il s'amusa encore un peu avant de la libéré complétement vexé par ce qu'il venait d'entendre. Elle ne lui avait pas dit oui, mais elle rentrerait le plus vite possible...

" D'accord."

Après tout il n'avait pas vraiment le choix. De ce fait il passa le reste de l'après midi a faire la tête chez lui. Le manoir était très grand, mais aussi très vide depuis qu'Aï était partit. En plus il ne savait même pas quand elle reviendrait et il devait se coller les servants trop pointilleux a son goût. Que des interdiction cela finissait par le fatiguer. Lasser de ces gens, Kuroï les fit fuir rapidement de la pièce et se posa dans le fauteuil l'air agacé en attendant. Aï finit par rentrer, cependant sa réaction l'étonna beaucoup. Elle se rapprocha de lui pour l'enlacer tout en lui demandant d'arrêter de faire la tête. Il l'effrayait ainsi. Encore des restes de l'événement dernier... Kuroï soupira avant d'attraper doucement la taille de la jeune femme et lui releva la tête vers lui.

" Je te ferais rien Aï, n'est pas peur..."

Il lui sourit tendrement avant de lui caresser le visage tout en la prenant dans ses bras. Une fois qu'il l'avait bien installé sur ses genoux. Kuroï sortit la bague qu'il montra a Aï.

" Je te la rendrais pas maintenant, je te la réserve a un moment particulier. "

Kuroï lui sourit tendrement avant de la ranger et en sortir une autre qu'il mit au doigt de la jeune femme.

" En attendant, prend celle de nos fiançailles."

Il lui embrassa la tempe bien décider a lui recrée des moments tendre. Pour qu'elle oublie tout mauvais souvenir qu'il lui avait donné.

"Tu as eu raison..."

La jeune femme ne comptait pas quitter Kuroï si aisément, elle ne se sentait bien qu'avec lui, et personne d'autre pour elle n'avait le pouvoir de la comprendre et de la mettre autant en confiance. En plus, elle était sûr de l’honnêteté de Kuroï de par les gestes qu'il avait avec elle et ses paroles. Puis elle lui parla de Hikari, et de son inquiétude, et même s'il dit un blague Aï avoua son inquiétude, mais face à la réponse de Kuroï, elle ne pu s'empêcher de blaguer, pour se détendre.

"Oh ! Je suis désolée ! Je t'ai trompé avec Eiichi, ce sera donc lui le père ! J'espère que ça ne te gêne pas ?"

Elle sourit amusé, c'était bien sûr totalement faux, et cela se voyait à sa tête, puis Kuroï s'occupa d'Aï un peu puis elle voulut partir pour aller chercher ses affaires et revenir. Elle n'était pas non plu complètement rassurée. Aï voulait retrouver Kuroï le plus vite possible.

Lorsque la jeune femme rentra, elle ne fut pas rassurée par l'expression de Kuroï et lui en fit par. Le jeune homme l'attrapa par la taille et la rassura.

"Je ne veux juste pas que tu m'ignore..."

Il lui caressa le visage et la prit dans ses bras ce qui la détendit quelque peu. Il sortit alors le bague mais ne voulait pas lui donner,s urprise elle le regarda avec de grands yeux.

"Quel moment ?"

Puis il lui mit une autre bague, elle la regarda attentivement et l'embrassa avec un grand sourire, elle s'en souvenait. Puis elle regarda Kuroï et attrapa son visage, et l'embrassa tendrement

"Tu ne m'abandonnera pas n'est ce pas ?"

Elle elle serra dans ses bras.

Kuroï avait quitter Aï par la force des choses. Mais ce n'est pas pour autant qu'il ne l'aimait plus. Au contraire. S'il l'avait quitter et l'avait fait ainsi souffrit c'était pour la préservé de sa famille qui voulait uniquement la tuer afin de prendre Kuroï sous leur coupe. Hors il s'avère plus malin qu'eux et surtout meilleur comédien. Mais tout cela a un prix. Un prix plutôt lourd car Aï risquait réellement de partir.

Aï malgré tout cela était encore là et semblait encore l'aimait malgré tout. Kuroï comptait pas rattraper le temps perdu mais il est vrai qu'il était assez inquiet des relations de la jeune femme; Surtout Eiichi qui était tout de même dans ses goûts.

" ... Rigole pas, j'y ai vraiment penser à un moment."

Puis il se mit un peu en colère. Il était clairement jaloux de Eiichi et qu'elle passe d'abord chez lui l'agaçait. Mais il fut beaucoup plus détendu en la voyant rentrer. Cependant il devait la rassuré sur ses intentions qui inquiétait encore la jeune femme. C'était évident... Kuroï resta très tendre avec elle et la rassura du mieux qu'il peut. Cependant il ne lui rendit pas leur bague de mariage décidant de la garder encore un peu.

Les jours suivants Kuroï les passa en sa compagnie afin de lui remémorer des souvenirs. Il la redemanda même en mariage le jour de cet anniversaire. Ne sachant pas si elle se souvenait clairement, il préféra lui rejouer la scène lui redonnant la bague a ce moment là. Les mois étaient donc bien passé et il resta le plus souvent auprès d'elle. Même si le boulot était plutôt éreintant. Par chance, rien que de voir Aï en rentrant lui faisait du bien. Même encore ce soir, il la prit directement dans ses bras dès qu'il la vit.

Ai avait perdu tout un pan de sa mémoire, ce qui était douloureux pour elle car elle peinait à se rappeler des gens important alors qu'elle n'en avait que très peu. Kuroï étant la personne la plus important qu'elle avait et elle avait réussi à le prendre pour un monstre, ce qui était loin de la vérité. Le retrouver lui fit beaucoup de bien, s'en souvenir, se souvenir surtout de se visage qu'elle aimait. Elle avait voulut oublier ses sentiments pour lui, mais jamais elle n'avait put le faire, elle n'expliquait pas cette impression, mais était soulagée de ne pas l'avoir complètement oublié. Par contre, Kuroï avait craint lavoir avec Eiichi.

"Ca aurait duré un peu plus longtemps... ça aurait été possible..."

Elle détourna la tête, elle même ne pouvait nier cette éventualité qui lui paraissait à l'heure actuelle plus que probable. Par contre Kuroï fut mécontent qu'elle préfère aller chercher ses affaires et aller voir Eiichi avant de rentrer. Cependant, c'était important pour elle de s'y rendre, Kuroï dut la rassurer, car elle était encore très faible et ressentait le besoin constant d'être accompagnée et rassurée. Elle se demanda pourquoi il ne voulait pas lui rendre sa bague pour le moment, et n'eut pas de réponse quand à avoir la date où elle pourrait la récupérer.

Aï se remémora doucement des souvenirs sans pour autant être capable de tout se rappeler. Elle put récupérer sans bague quand il la demanda de nouveau en mariage, et sans cacher sa joie, elle accepta de retrouver cette bague qui lui était chère. Elle se remémorait la scène dans la tête ayant conscience que ce qu'elle avait en tête n'était pas la première, mais la seconde fois. Aï retrouva ses habitudes, et Kuroï travaillait dur.

"Dure journée ?"

Elle lui caressa le visage et l'embrassa.

"Tu es fatiguée... Huh..."

Elle fit un large sourire.

"Je vais te laisser te reposer, dommage, je comptait bien mo'ccuper de toi ce soir !"

Elle s'étaitde nouveau habitué à lui et acceptait sans mal tout ses gestes et elle hésitait moins à agir comme elle le souhaitait avec lui.

Kuroï était ravi d'avoir put récupéré Aï malgré tout ce qui s'était passé. Il avait tout fait pour lui rendre le sourire et les souvenirs qui lui appartenait. N'hésitant pas a rejouer des scènes qui s'étaient passé entre eux. Il prenait également le temps de la réhabituer a ses gestes affectifs. Aï s'y fit plutôt bien et elle revint progressivement la femme qu'il avait aimé et faillit perdre.

Un soir, Kuroï rentra assez tard. Le premier geste qu'il fit, fut de prendre Aï dans ses bras afin de se reposer. Tout en se rassurant encore qu'elle était bien là.

" ça va j'ai eu pire. Elle était surtout longue."

Il sourit doucement à la jeune femme avant de lui embrasser tendrement la tempe avant de se faire embrasser. Ce qu'il apprécia. Cependant, Aï croyait qu'il était trop fatigué hors ce n'était pas du tout le cas. Il la retint au niveau de la taille avant de lui répondre.

" J'ai jamais insinué ça."

Kuroï sourit de manière plus amusé avant d'embrasser doucement le cou de la jeune femme tout en lui répondant sur la petite idée qu'elle comptait faire.

" Je dis pas non pour que tu t'occupe de moi."

Il lui caressa la taille avant de finir.

" TU me propose quoi ?"

Aï avait retrouvé le sourire rapidement malgré des craintes qui subsistait en elle, l'exemple le plus flagrant était quand Kuroï était en retard à cause de son travail, elle l'attendait jusqu'à ce qu'il revienne même si pour cette raison, elle devait faire une nuit blanche. Elle avait besoin de s'assurer qu'il était toujours là, et surtout qu'il était toujours le même, non pas cette personne qui l'effrayait tant. Elle avait finit par s'habituer, mais avait du mal à perdre ses habitude de l'attendre absolument tout le temps, c'était devenu pour elle un réflexe., mais autrement, elle était presque la même qu'auparavant. Un soir alors qu'elle attendait Kuroï, il arrivant en la prenant dans ses bras, l'air épuisé pourtant, il dit qu'il avait eut pire comme journée.

"Mhh pourtant tu as des poche sous les yeux, à moi que... ce soit la vieillesse qui fait ressortir ta fatigue ?"

Elle sourit amusée, et il lui embrassa la tempe, il était toujours très tendre avec elle, et l'embrassa en guise de bonjour. Il lui disait qu'il n'était pas si fatigué que ça.

"En général quand tu me prends dans tes bras sans même prendre le temps de te déshabiller c'est que tu es fatigué..."

Puis, il lui embrassa la coup, elle frissonna de plaisir, tout en ayant l'air embarrassé; Elle y était pourtant habitué mais c'était une réaction automatique chez elle. Par contre, il était d'accord pour qu'elle s'occupe de lui.

"Ah oui ?"

Il lui caressa la taille et elle se colla à lui pour l'embrasser longuement

"Absolument tout ce que tu veux."

Ses intentions étaient cependant, puisqu'elle était déjà à moitié en train de le deshabiller.

Kuroï avait travaillé particulièrement tard et était quelque peu fatigué mais pas au point de ressembler a un vieux... Il soupira aux constatations de sa femme avant de répondre ennuyé.

" Je ne suis pas vieux avant l'âge. Tu exagère, de plus que je suis rentré moins tard que les autres fois."

Aï l'attendait toujours le soir étant incapable de se coucher sans lui. Kuroï avait finit par rentrer plutôt afin de la rassuré et qu'elle se repose également. Du coup il travaillait souvent au manoir le soir juste pour Aï. Et ce soir là, il s'était plus libéré qu'il n'aurait dut juste pour rester auprès d'elle. Mais c'est vrai qu'au fond il était un peu crevé de se rythme infernal.

" Tu préfère que je te saute dessus ?"

Kuroï lui embrassa le cou avant de dire qu'il était plutôt pour qu'elle s'occupe de lui. En général il n'était jamais contre pour un moment comme celui là. Ainsi il demanda ce qu'elle proposait et la réponse fut plutôt ouverte. Même si c'était bel et bien déjà entamé.

" Je pense que tu as déjà eut l'idée de ce que tu souhaite faire."

Il sourit amusé avant de suivre Aï dans son idée qui lui plaisait énormément. Cela lui faisait particulièrement plaisir.

"Non, mais la vieillesse est plus proche de toi que moi... Tu rentres trop tard pour moi.."

Il était normal que Kuroï travaille, mais sa présence était si importante à la jeune femme qu'elle préférait quand il pouvait avoir des jours de repos plus long, mais cela n'arrivait pour ainsi dire absolument jamais. Mais elle savait qu'elle en demandait trop, puisqu'il faisait en sorte de se libérer pour elle, mais vouloir passer toujours plus de temps avec lui, paraissait normal pour Ai.

"Pourquoi pas ?"

Puis Kuroï lui embrassa le cou, et avoua juste après qu'il voulait bien qu'elle s'occupe de lui. Il demanda ce qu'elle voulait et elle lui laissa le choix, tout ayant quelque peu décidé.

'Ah bon ? Tu crois ?"

Cependant, il était tout à fait d'accord avec elle et le montra facilement. C'était rare qu'elle fasse ce genre de proposition par elle même. Mais elle respecta ses promesse et s'occupa bien de Kuroï tout une partie de la nuit. Elle était contente de pouvoir être avec lui, normalement et pensa à tout ce qu'elle avait endurée, et espérant qu'elle aurait plus de moment agréable avec Kuroï, sans avoir à se préoccuper des mauvaises choses.

"Je t'aime Kuroï..."

Puis elle s'était assoupie. Dire qu'il travaillait le lendemain, il n'avait pas de temps pour lui.

" Merci pour la constatation... Et j'ai essayé de me libéré plus tôt justement."

En tout cas, il est vrai qu'il était particulièrement fatigué en ce moment. Le travail afflué dans le bureau et tout le boulot administratif lui tombait sur le dos. Rénovation, changement de locataire, les commerces... Et vu la remarque de Aï, s'il devait montrer qu'il était en forme. En général, il faut qu'il lui saute dessus.

" C'est parce que cela te plait ou parce que tu me prend pour un chaud lapin ?"

Il sourit amusé avant de lui embrasser le cou. Aï était particulièrement entreprenante ce soir et il la laissa faire le sourire au lèvre. C'était pas souvent qu'elle prenait l'initiative, mais il est vrai que c'était toujours très agréable. Surtout quand on aime la personne en face de sois. Kuroï laissa Aï s'occuper de lui mais parfois pris les devant pour s'amuser un peu avec elle. Ce qui lui fit passé un début de nuit particulièrement agréable.

Kuroï souriait tendrement à la jeune femme tout en la gardant doucement contre lui et embrassa son front.

" Je t'aime également"

Il sourit avant de se laisser dormir contre elle. La nuit fut malheureusement trop courte et Kuroï n'avait pas tellement envie de se lever. Hors devoir oblige. Il soupira peu motivé avant d'embrasser le front de sa femme pour aller ensuite se préparer; De toute façon dans quelque jours il était en congé.

"Beh... Tu es bien comme tu es... Je sais, mais pour le moment je suis enfermée toute la journée, même si je sors et surtout je reste tout le temps toute seule... Donc je préférerait si tu rentrait plus tôt encore, même si je ne peux pas être exigeante sur ce point, tu travailles dur."

Aï était tout de même contente de la voir le soir, car elle savait que certaines femmes ne voyait pas leur mari pendant des semaines, tandis que lui, il rentrait tout les soirs pour elle. Cette pensée la fit sourire tendrement. Puis il demanda à Ai la raison pour laquelle il devait prouver qu'il était en forme en lui sauta dessus. Elle sourit amusée.

"Un peu des deux.... ?"

Puis ils passèrent un bon moment ensemble. Ai prenait rarement l'initiative, mais elle même trouvait que de temps en temps ce n'était pas désagréable. Elle était vraiment heureuse d'être au coté de Kuroï. Aï finit par s'endormir, et se réveilla à peu près en même temps que Kuroï et attendit un moment qu'il bouge. Elle mit alors ses main gelée dans son cou.

"Aller du nerf !"

Par contre, elle fut ravie d'apprendre quelque jours plus tard de la venue de jour de conger pour Kuroï et qu'il pourrait passe tout son temps avec elle. Elle comptait bien en profiter et sortir un peu avec lui.

" Tu peux demander a Naomi de sortir avec toi... Si tu veux, tu peux venir me voir également au boulot. Cela me fera plaisir tu sais."

Il lui sourit avant de se mettre dans le jeu de la jeune femme qui était fort agréable. Qu'elle prenne les devant lui fit plaisir et lui fit passé une fin de soirée très agréable. Le lendemain par contre le levé fut beaucoup plus dur et Aï ne l'aida pas du tout puisqu'elle lui mit ses mains froide dans le cou. Chose que Kuroï détestait et il s'empressa de les enlever.

" Sadique !"

Il la regarda agacé avant de la quitter pour travailler. Mais il lui garda la surprise de ses jours de congé. Jusqu'au moment venu. Là, il était décidé d'amener Aï en vacances pour quitter la routine et ses lieux beaucoup trop connu.

" Ou désire tu qu'on aille en vacances ?"

Kuroï la regarda en attendant sa réponse avant de préparer tout ce qu'il fallait pour partir et ainsi se diriger vers leur lieux de détente. Enfin quelques jours sans se préoccuper de rien. C'était vite devenue un luxe.

"Je lui demande déjà régulièrement, mais elle à sûrement d'autre chose à faire que de passer des journées avec moi... Et puis toi, je veux bien venir te voir, mais ça te couperait dans ton travail, je ne veux pas te déranger..."

Aï avait passé une bonne soirée, mais pour Kuroï il était dur de se lever le lendemain alors pour essayer de le réveiller un peu, elle lui mit ses mains froides dans le cou ce qu'il n'apprécia guerre, elle lui tira la langue.

"j'y peux rien...."

Elle s'empressa de lui mettre dans le dos dès qu'elle put pour se réchauffer et finit par le laisser se préparer. Par contre, quand il lui apprit qu'il avait des jours de congé Aï fut très contente. Il lui demanda même où elle souhaitait aller.

"A la plage ! Au chaud ! Loin ! Je n'y suis pas aller depuis... Mhh... à l'époque où tu étais avec une de tes diverses copines..."

Y penser l'agaçait, et surtout de penser qu'elle n'avait jamais rien dit de ses sentiments à Kuroï préférant les nier. Elle se prépara ensuite et ils purent partir. Aï fut très contente et à pine arrivée, elle alla à la plage pour faire une petite baignade puisqu'il était encore tôt. Elle avait demandé à Kuroï de la rejoindre quand il en aurait envie. Aï ne fut pas seule bien longtemps et un groupe composé de quelques fille et de garçons lui proposa de se joindre à eux, elle discuta alors avec eux, alla se baigner, elle finit par un match de beach volley. Durant la partie, un des jeunes hommes sembla croire qu'elle était intéressé par lui et rapprocha son visage dangereusement quand elle le repoussa.

"Je veux bien discuter avec vous, mais je ne suis intéressa ni par toi, ni par personne."

Elle avait juste enlevé sa bague pour ne pas l'abimer, mais ce n'était pas pour autant qu'elle en profitait. Elle trouva soudainement Kuroï bien long.

"... Si je te dis que tu peux venir. C'est que tu peux. Ne t'inquiète pas."

La nuit passa agréablement au début avant d'être plutôt courte pour la fin. Mais Aï eu la bonne idée de le réveiller avec ses mains glacé. Ce qui était loin de lui plaire au contraire. Surtout qu'elle ré attaqua avec le dos.

" Nan mais tu arrête oui !"

Il lui enleva ses mains avant de l'embrasser de nouveau avant de partir. Quelque jours plus tard, Kuroï était en congé et il proposa a Aï de partir en vacance. La destination était toute trouver la plage.

" Eh bien allons y. Pas ma faute si a cette époque par contre je sortais avec une autre que toi. C'était aussi le jour de ma rupture avec elle d'ailleurs."

Kuroï prépara les affaires et les mis dans la voiture avant de partir en direction de leur vacances. Une fois arrivé, il s'occupa de tout ce qui était administratif pour la location de la maison et le reste. Pendant ce temps Aï avait couru vers la plage. Ce que lui ne pouvait pas encore s'y rendre. Par chance il finit par terminé et se changea pour se diriger vers la plage afin de rejoindre Aï. Bien sûr lui non plus ne passait pas inaperçu. Celle qui était a côté de Aï était particulièrement fan.

' Hey vous avez vu le beau mec là bas ! J'ai bien envie de l'avoir pour ses vacances.'

Kuroï trouva rapidement Aï et la rejoint tout en ignorant complétement les filles a côté d'elle.

" Je te cherchais."

Il lui sourit doucement avant de lui embrasser le front. Par contre il se demandait qui était le gars qui avait cru avoir une chance avec Aï. Et a son regard, il montrait bien qu'il valait mieux se tenir a carreau.

Aï était plutôt contente que Kuroï accepte qu'elle vienne le voir, car elle n'avait jamais osé de peur de le déranger, dorénavant, elle irait le voir régulièrement. Le réveil le lendemain fut plutôt dire et Aï s'amusait à se réchauffer les main en les posant soit sur son cou soit sur son dos.

"Mais, tu es mon radiateur."

Puis il était était partit. Plusieurs jours plus tard la jeune femme apprit que Kuroï avait plusieurs jour de congé et qu'il était donc le moment de prendre quelques vacances loin des lieux des habitudes.

"Dire que c'était plus ou moins de ma faute... En même déjà à l'époque je t'aimais alors je n'aimais pas te voir avec elle..."

Et pourtant elle n'était pas une mauvaise personne, mais Aï était ultrapossessive et le montrait clairement, pourtant en niant toute forme d'amour pour lui à cette époque. Ils étaient ensuite partis et Aï s'était dirigée en première vers la plage. Kuroi n'arriva que bien plus tard, et il faisait son effet.

"Pas touche, c'est mon mari..."

Un grognement sortit de la gorge de Aï, et Kuroi vint le retrouver. Elle sourit contente.

"Tu as été lent... C'est l'âge qui te ralentit..."

Elle mit la main devant la bouche de Kuroî.

"C'est bon ! Je m'excuse ! Alors... amuse toi bien..."

Elle était partie de son coté et marcha le long de la plage sans but précis. Juste pour éviter la colère de son homme. Après quelque temps, elle s'arrêta et plongea dans l'eau, cependant sans comprendre elle se sentit comme happée et manqua de se noyer. Un homme sirène la fit remonter à la surface et l'emmena sur le bord.

"Faites attention, y a une sirène qui s'est installé ou vous étiez, elle noie tout ceux qui s'approche."

Aï toussait et recrachait l'eau salée qu'elle avait avalé. Son bras avait été légèrement coupé par de nombreuse coquille d'huitre et saignait légèrement et brûlait à cause de sel.

"Vous devriez attendre ici jusqu'à ce que quelqu'un vienne vous chercher... Je vais rester avec vous."

Aï faisait aujourd'hui de belles rencontre, parfois inattendue mais pas déplaisante, elle espérait que Kuroï ne lui en voulait pplus.

" Radiateur ou non ! C'est froid."

Il soupira avant de se lever pour bosser. Il revint ensuite le soir pour lui annoncer les vacances qu'ils prirent quelque jours plus tard en direction de la plage. Destination qu'avait choisie sa femme.

" ça tu as pas oublié en tout cas."

Kuroï lui caressa tendrement la tête avant de partir avec elle à leur destination. Il était un peu occupé par les papiers administratif. Une fois fini, il put enfin rejoindre sa femme, même si elle commençait a avoir du succès. en même temps elle avait 23 ans alors que lui était sur ses 30 autant dire qu'il commençait a avoir un monde de différence. Et il eut la joie de l'entendre de nouveau. Kuroï s'assombrit rapidement et Aï s'empressa de l'empêcher de parler. En plus de fuir. Il soupira agacé et encore plus énervé qu'elle s'en aille.

' C'est vrai qu'elle est ta femme ?'

Les filles qui la côtoyaient avait l'air étonné et les garçons plutôt intéressé. Kuroï inspira profondément avant de répondre très froidement.

" C'est ça et si j'apprends qu'un ose la draguer, je le jette au fond de l'océan. C'est clair ?"

Les garçons a ses côtes firent profil bas tandis que les filles étaient un peu jalouse. Pour le moment Kuroï alla se promener un peu dans le village de plage avant de retourner sur les bords de mer plus tard. Il se demandait tout de même ce que faisait Aï. Il la découvre sur la plage avec un homme sirène plutôt surprenant.

" Aï ?"

A en juger par ses blessures elle avait fait une mauvaise aventure... Il inspira doucement avant de se mettre a côté d'elle pour voir mieux son bras.

" Qu'est ce que tu as fais encore..."

AU moins ce n'était pas un bateau qui lui était tomber dessus.

Aï était contente de partir en vacance, surtout seule avec Kuroï, elle le voyait déjà trop rarement alors profiter de vacances avec lui était le plus grand des luxes. Elle n'avait pas oublié l'ancienne copine de Kuroï et la journée à la plage, mais elle avait une explication précise à ce propos.

"Tout mes souvenirs qui relève de la souffrance sont restés..."

Puisqu'elle avait souffert de cet amour à sens unique pendant un long moment. Ils se rendirent sur les lieux des vacances par la suite, et Aï abandonna Kuroï pour profiter un peu de la plage pendant qu'il faisait très beau, autant ne pas gâcher une demi journée à faire de la paperasse. Kuroï finit par apparaître, et la jeune femme lui rappela leur années de différences ce qui l'énerva quelque peu. Aï préféra l'empêcher de parler avant de s'enfuir.

Durant sa promenade Aï eut un petit accident et fut sauvée in extremis par un homme sirène qui choisit de rester à ses coté le temps qu'elle se remette. Il se retourna en entendant un homme parler, et Aï fit de même le sourire aux lèvres.

"Ah ! Kuroï !"

Le jeune homme se mit à coté d'elle et regarda sa blessure en lui demandant ce qu'elle avait fait. L'homme sirène répondit à la place de Aï :

"Je suis désolée, une sirène blessée se cache dans les rochers, et noie tout ceux qui s'approche trop de sa cachette. Je n'ai pas été vigilant, et elle a été blessé quand j'ai voulu l'aider."

L'homme sirène regarda Kuroï assez curieux de voir un humain, et regarda Aï.

"Sur ce je ne vais pas vous déranger plus longtemps..."

L'homme sirène retourna complètement dans l'eau et disparut, jusqu'à ce que sa tête sorte de l'eau.

"Les humains ont plutôt la vie facile... Et prenez bien soin de cette jeune femme, elle est fragile..."

L'homme sirène disparut cette fois définitivement. Aï rit aux paroles de la créature.

"Moi ? Fragile ?"

Elle continua à rire et prit Kuroï dans ses bras.

"Tu m'as manquée !"

Elle était très humide et il était sec, mais il était comme d'habitude tout chaud, et elle en profita donc par la même occasion pour se réchauffer.

Kuroï soupira a la révélation de la jeune femme. Il n'y avait que les mauvais moment qu'elle se souvenait alors que derrière chacun de ses mouvements il y avait une certaine affection.

" Pourtant tu n'avais pas un amour a sens unique. J'étais sortit avec elle, justement parce que tu m'avais mis un vent quelque jours plus tôt."

Puis ils partirent à la plage ensemble. Sans pour autant passer les premiers instant ensemble. En effet, Kuroï s'occupa de la location et vint la rejoindre avant qu'elle ne fuit sa futur colère. De ce fait, il se balada seul en ville avant de la rejoindre plus tard la trouvant blesser sur la plage au côté d'un homme sirène. Une sirène serait la responsable de tous ça.

" Je vous remercie."

Grâce à l'homme sirène au moins elle ne se trouvait pas dans les bas fond de l'océan. Par contre il sourit au conseil de la sirène. Il ne connaissait mal Aï.

" Fragile oui mais pas dans la force."

Elle était assez fragile dans le domaine sentimental. Chose qu'elle ne semblait pas penser. Kuroï lui caressa tendrement la tête avant de la prendre dans ses bras pour la réchauffer.

" Alors que tu m'as fuis. T'es maline toi."

Il sourit amusé avant de lui embrasser le front. Là il se releva pour la porter jusqu'à leur bingalot.

" Tu restes avec moi maintenant, j'espère."

Kuroï la déposa sur le canapé avant d'aller chercher de quoi nettoyer sa plaie et la soigna assez rapidement. Mais doucement.

Kuroï lui dit qu'elle n'avait pas un amour à sens unique à ce moment, et pourtant, elle avait été, et était toujours persuadée d'avoir été la seule à souffrir et avoir eu l'impression d'avoir été la seule à aimer. Aï le regarda agacée cependant à ses paroles sur le fait qu'elle lui avait mit un vent peu avant.

"Un coureur de jupon qui ne connait pas les femmes elle est bien bonne celle-là... Tu sais que j'ai dit ça juste parce que j'étais embarrassée ? Et qu'en aucun cas je ne te considérais pas comme un homme. C'est plutôt le contraire et c'était bien ce qui me perturbait... J'en ai souffert..."

C'était la pure vérité, et s'il avait sur la vérité avant de partir, elle ne serait sans doute jamais partie deux ans et son choix aurait été bien plus rapide.Elle regarda tristement Kuroï, de n'apprendre ça que maintenant.

"Enfin ce qui est fait, est fait..."

Aï soupira elle ne pouvait rien faire. A l'arrivée Aï fit un longue promenade et s'amusa beaucoup avant de fuir la colère de Kuroï. Ce fut un homme sirène qui la repêcha proche de la noyade. Kuroï les rejoignit et remercia l'homme sirène.

'Ce n'est rien..."

L'homme sirène donna un conseil à Kuroi, qui lui répondit, mais il savait tout cela.

"Je le sais... Je peux même vous dire que toute les mauvaises blagues qu'elle vous fait, toute ses actions, sont fait pour que vous vous intéressiez à elle. Et que parce que malgré vos promesses elle a des craintes dont vous ne vous douter sûrement pas."

L'homme sirène avait des pouvoir de télépathie en tout cas cela y ressemblait puisqu'il exprimait tout le ressentit dont Aï ne faisait pas part à Kuroï pour ne pas l'embêter. Aï regarda bien embêter l'homme sirène qui s'éloignait. Le jeune homme la prit dans les bras pour la réchauffer et la jeune femme fut contente de cette proximité. Aï répondit à Kuroi.

"Parce que j'aime pas quand tu es en colère contre moi..."

Il lui embrassa le front et elle sourit grandement. Il la porta et elle le regarda embarassée.

"Y a des gens qui regarde..."

Elle cacha sa tête contre Kuroi et se laissa faire.

"Je reste avec toi !"

Il la soigna ensuite et elle finit par l'embrasser tendrement.

"Merci, Kuroï..."

Ensuite, elle le regarda tendrement et lui demanda :

"On sort un peu ce soir ou tu as une meilleures idée ?"

Kuroï était agacé par les critiques de la jeune femme alors qu'elle l'avait repoussé en premier.

" Tu me rendais la vie impossible et malgré tout je restait auprès de toi. Je quittais même mes copines de l'époque pour toi. Et tu croyais vraiment que je ne ressentais rien ? T'as déjà vu un mec te protéger continuellement de bonne fois ? Même Eiichi ne le fait pas."

C'est vrai qu'Eiichi faisait de son mieux mais il ne ferait pas en sorte d'être cent pour cent dispo. Au contraire il fait toujours ce qu'il a à faire d'abord. Le reste vient après lorsqu'il a du temps. Kuroï se pliait en quatre pour elle et elle ne semblait pas vraiment le remarquer ce qui commençait un peu à le peser. Une fatigue accumulé depuis un moment.

" Parfaitement."

Puis ils arrivèrent en vacances et se rejoignirent pendant la journée que quand l'homme sirène était là. Et malgré ce que disait celui-ci, Kuroï était parfaitement au courant.

" Je le sais. Mais à ce que je vois, ça n'a pas bouger depuis."

Il avait beau se décarcasser pour elle. Elle doutait toujours de lui... Si vraiment il ne pouvait plus la supporter ou ne la désirait plus auprès de lui. Kuroï serait partit depuis bien longtemps. Mais il faisait tout pour lui faire plaisir avec les moyens qu'il avait. Il avait pris ce boulot afin de la protéger des Otomiya, même si cela lui prenait énormément de temps. Il prenait des jours de congés pour lui faire plaisir et rentrait plus tôt le soir afin d'être auprès d'elle. Il la comblait d'attention afin de lui montrer qu'il était toujours là quitte a rejouer des moments qu'elle avait aimé. Mais au paroles de la sirène, on aurait cru que tout cela était du vent.

Ne préférant plus y penser il prit la jeune femme dans ses bras afin de la réchauffer. Aï avait encore peur de ses colères. En même temps, elle ne l'aidait pas. Elle faisait toujours le contraire de ce qu'il faut.

" Tu sais bien que je suis déjà tout à toi. J'ai mes pensées tourné continuellement tourner vers toi. N'ai pas peur qu'un jour je t'ignore. Si je l'ai fait c'était vraiment pour avoir une chance de te garder en vie Aï."

A ces pensées il la sera que plus fort contre lui. Il avait énormément souffert de cette situation et la perdre aurait été un énorme supplice. Il lui embrassa le front avant de la transporter jusqu'a leur bingalot;

" Tant mieux, comme ça ils savent que tu m'appartiens."

Il posa sa tête contre la sienne avant de la déposer sur le canapé pour la soigner convenablement. Aï lui demanda ce qu'il souhaitait faire pour ce soir. Kuroï termina de s'occuper d'elle avant de lui répondre.

" C'est une surprise. Mais déjà, je t'emmène au restaurant."

Kuroï lui caressa la tête avant de lui demander.

" Tu as une envie particulière ou tu me laisse choisir ?"

Maintenant que Kuroï lui disait qu'il ne s'était pas occupé d'elle juste par bonne fois, elle lui donnait raison, mais à l'époque elle était loin de le réaliser trop peu habituer à une présence continuelle avec elle.

"A l'époque nos années d'écart me paraissait infranchissable, alors je pensais que tu ne me voyais qu'au mieux, comme une petite soeur... Et puis ça peut te paraître stupide, mais même en temps qu'ami tu es le premier homme que j'ai fréquenté."

Itsuki étant pour elle un cas à part. Elle n'avait fréquenté personne alors comment pouvait-elle savoir la raison pour laquelle il la protégeait tant ? Elle ne pouvait pas savoir ce qui lui était complètement inconnu. Ensuite, elle dit que de toute manière, il était trop tard pour regretter le passé. Ils arrivèrent sur le lieux de leur vacances et Kuroï rejoignit Aï en fin de journée alors qu'elle était sur la place avec un homme sirène. Ce fut Aï qui répondit.

"Ce n'est pas vrai... ça a changé..."

Mais il lui fallait un peu de temps pour palier à dix ans d'abandon des ses parents, et cinq ans de terreur avec Itsuki, c'était une tâche impossible pour elle en si peu de temps. Mais petit à petit elle prenait confiance, même si elle craignait que s'asseoir sur ça confiance signifierait la fin pour elle, puisqu'elle avait eut l'impression de perdre Kuroï quelques mois auparavant. Il rassura Aï et sentent son étreinte se resserrer et elle le caressa dans le dos.

"Merci, Kuroï..."

Ensuite, il la porte pour l'emmener dans le bungalow et Aî réagissait vivement gênée. Cependant à ses paroles elle lui demanda :

"Tu crois que l'inverse est vrai aussi...?"

Kuroï s'occupa de la jeune femme et dit que ce qu'il ferait était une surprise, alors Aï l regarda mécontent.

"Mais euh ... c'est quoi la surprise ?"

Kuroi lui demanda alors dans quel restaurant ils allaient se rendre.

"Vu que tu es bien partit, je te laisse choisir..."

Puis elle se leva pour sortir avec Kuroï et se diriger vers le restaurant.

" Je n'ai pas oublié."

C'est pour ça qu'il était également inquiet sans lui dire. Elle commençait a peine sa jeunesse 23 ans c'est le début. Lui en a 30 autant dire que la différence et grande. Et en plus d'être le premier, elle pouvait très bien se lasser pour aller voir ailleurs...

En tout cas l'homme sirène remettait le doute au Kagami. Déjà peut rassuré sur la confiance que possédait Aï envers lui. C'était encore moins. Mais Aï tenait a lui dire que cela avait quelque peu changer. Reste qu'il n'en était pas moins inquiet. Cela pouvait se sentir lors qu'il étreint la jeune femme plus fortement. Même en le caressant, Aï n'arrivait pas a faire partir son inquiétude. Mais comme elle, il n'en disait rien.

" Je crois aussi. Tout le monde sait que je suis a toi."

Kuroï lui sourit avant de lui embrasser le front. Il détourna son attention sur la jeune femme en s'occupant d'elle et en lui préparant une surprise. Chose qu'elle voulait a tout prix savoir.

" Si je te le dis ce ne sera plus une."

Il lui sourit avant de devoir choisir le restaurant. Ce qui lui convenait parfaitement car il avait une très bonne idée en tête. Connaissant les goût de Aï il l'emmena dans un qui allait lui faire plaisir a coup sur.

" J'espère que ça t'ira."

Kuroï s'installa avec elle a une table avant de prendre une commande.

" Tu as des envies particulière pour la semaine ?"

Aï possédait un tempérament plutôt calme et avait tendance à posséder des habitudes de femme ayant déjà dépassé la trentaine parce qu'elle était auprès de Kuroï, et cette jeunesse elle peinait à l'avouer, mais elle se voyait mal en profiter, et de toute manière, elle avait déjà l'homme parfait pour elle à ses cotés et il n'y avait pas de raison qu'elle en change. Elle était jeune oui, mais pas assez stupide pour perdre celui qu'elle aimait. Par contre, c'était ses propres inquiétude qui la préoccupait en ce qui concernait Kuroï, Aî avait peur de l'agacer et qu'il se lasse de ses comportements, pourtant, elle espérait que ça ne soit pas le cas, elle essaya de le rassurer, mais c'était sans grand succès.

"Ne t'inquiète pas Kuroi... Je... Je sais que tu ne m'abandonneras pas et je t'aime, je veux être tout le temps accaparer ton attention, mais je me dit que si je prend trop les choses pour acquises, elle fileront entre mes mains. Ce n'est pas de ta faute."

Elle se mordit les lèvres espérant avoir bien fait passé le message, ce n'était pas lui, mais son passait qui la forçait à agir de manière si étrange.

"Tant mieux alors..."

Il lui sourit tendrement et il s'occupa de la jeune femme et lui dit qu'il avait une surprise. Il ne voulait pas lui dire laquelle cependant.

"Déjà le fait que tu me dises que c'est une surprise, fait que ce n'est plus une surprise alors tu peux au moins dire ce que c'est."

Elle doutait lui arracher les vers du nez, mais elle tentait tout de même. Ensuite, il fallut aller aux restaurant et Aï fut ravi en voyant où Kuroï l'emmenait.

"Ca me convient parfaitement !"

Ils prirent leur commande et Aï ne cessait de faire des grand sourire, définitivement heureuse. Il lui demanda alors si elle avait des envie pour la semaine.

"Je veux juste passer du temps avec toi...Après le reste... En faite, je m'en fiche un peu ... Je suis pas difficile, même si je sais que ça ne facilite pas la tâche pour savoir quoi faire !"

On leur servit ensuite le plat et elle se régala. Elle faisait juste monter son pouce pour montrer qu'elle était en plein bonheur avec la nourriture.

"C'est trop bon..."

Puis soudainement elle parut bien plus sérieuse.

"Bon c'est quoi la surprise ?"

Aï lui expliqua comment elle réagissait essayant ainsi de le rassurer même si c'était particulièrement difficile. Il espéra seulement que cela durera un moment et qu'il n'aurait pas vraiment a se poser de question.

" T'inquiète pas tu n'es pas la seule a le penser..."

Puis Kuroï la ramena chez eux afin de la soigner et lui parler de cette sois disant surprise qu'il comptait faire à la jeune femme. Mais il n'allait pas tout lui révéler pour autant.

" Rêve pas."

Il sourit a Aï avant de lui caresser la tête tendrement. Il put ensuite la conduire jusqu'au restaurant qu'il avait prévu et comme il pensait elle était particulièrement ravi.

" Parfait."

Une fois installer ils commandèrent le repas et Kuroï en profita pour demander ce qu'elle souhaitait. C'était plutôt simple, passé du temps avec lui.

" Si tu veux on peut visiter la région ensemble, vu que la plage et a deux pas. C'est toujours ça. Et puis ça te changera d'air."

Aï apprécia beaucoup le repas et mangea a sa fin. Mais l'envie de connaître la surprise lui pris de nouveau l'esprit et redemanda a Kuroï ce que c'était.

" T'es bien impatiente."

Il lui sourit avant de payer l'addition et partir en premier lieu a un festival. Chose qu'il n'avait pas encore fait, mais il s'était aussi renseigner sur le lieu. Et c'était un arbre qu'il voulait montrer à Aï. Kôseï lui avait dit que Aï comprendrait de suite. C'était quelque chose qui était particulièrement lié a elle. Donc ça pouvait peut être lui plaire.

Aï baissa la tête, elle ne pensait pas avoir réussit à atteindre son but qui était celui de rassurer Kuroï.Alors elle resta un peu silencieuse avant d'essayer de se rassurer. Elle sourit doucement et une fois dans le bungalow, Kuroï s'occupa de Aïi mais ne souhaita pas révéler la surprise qui l'attendait.

"Mais, c'est méchant..."

Mais elle sourit quand Kuroï lui caressa la tête. Ils se rendirent ensuite au restaurant où Aï était ravi d'être car la nourriture lui plaisait tout particulièrement.

"Merci Kuroï !"

Dit elle avant de commander le repas, en tout cas les souhait de Aï étaient simples elle voulait simplement profiter un maximum de son mari qui travaillait beaucoup trop en temps normal.

"Surtout que ici, y a montagne et mer, donc y a pas mal de nature à visiter, et ce sera vraiment dépaysant pour moi qui ne suis jamais au grand jamais sortie d'une ville..."

Aï mangea et demanda encore une fois qu'elle était la surprise qu'il lui réservait. Il la trouva impatiente.

"Mais c'est normal que je le sois non ?"

Elle fut cependant emmené à un festival et en oublia la surprise pour s'amuser. Elle regarda ses mains et dit :

"J'ai envie de gagner un gros lot..."

Elle prit un stand ou sa force serait le plus utile et tira avec sa force surhumaine avec les balles et remporta... un tas de petite peluche inintéressante et fit une distribution gratuite, elle s'amusait beaucoup.

"Ca faisait un baille que j'avais pas bouger autant"

Elle s'accrocha au bras de Kuroï et le regarda un instant en souriant. Puis il continua jusqu'à ce qu'il l’emmène face à un arbre qu'elle regarda un peu confuse avant de s'en approcher. L'arbre était magnifique etelle ne tarda pas à comprendre la raison de sa venue à cet endroit.

"Kôsei a toujours aimé Hikari, huh..."

Elle toucha l'arbre et ressentit des présence qui lui était familière. Elles llui murmurèrent même quelques paroles et l'encouragèrent. Elle se retourna alors vers Kuroï le sourire au lèvres.

"Merci !"

Hikari en profita pour apparaître dans l'arbre et s'allongea contre une branche sentant toute ses maitresses passée.

"Je pense que c'est la plus belle preuve d'amour que j'ai pus avoir de Kôsei."

Kuroï garda la surprise qu'il comptait faire a Aï jusqu'au bout. Sinon tout l'intérêt d'y aller se perdrait ici même. En tout cas il fut soulagé que Aï n'insiste pas plus.

" Je sais je sais."

Il lui sourit avant de se diriger vers le restaurant qu'elle apprécia énormément. Mais cela n'apaisa pas sa soif de curiosité. Au contraire elle était plus impatiente que jamais. Kuroï l'occupa quand même avec les projets qu'il comptait faire dans la région.

" ça te fera sortir et tu sentira moins le renfermé."

Il sourit amusé avant de lui caresser la joue pour lui éviter qu'elle boude. Mais elle pensa encore à la surprise et Kuroï l'emmena dans un festival pour qu'elle se divertisse un peu. Aï pensait qu'a une chose gagner le gros lot. Ce qui pouvait être possible.

" Participe au jeu de sumo."

Kuroï sourit amusé de ses taquineries avant de la regarder jouer et gagner ainsi des prix qu'elle distribua autour d'elle. Aï s'amusait vraiment avant qu'il ne la conduise a l'arbre. Comme elle disait, c'était une énorme preuve d'amour qu'il avait fait à Hikari. Et il l'avait porté pendant tout ce temps.

" Il est un peu brute mais au fond il n'est pas si insensible."

Aï s'approcha de l'arbre et sourit avant de le remercier. Kuroï était content que sa surprise ait marché. Mais la seule personne qui manquait encore au tableau c'était Kôseï. Au fond il l'observait mais sa condition l'empêchait d'être romantique et il n'avait pas souhaiter se rendre sur ses lieux. En même temps. c'est pas comme s'il était aussi puissant qu'avant...