En avant la musique

Konoé n'était pas vraiment en forme et Rua le remarqua bien rapidement. Et contrairement aux autres elle ne faiblissait pas a tel point qu'elle demanda a Keï de la prendre avec lui pour lui faire sortir ce qui ne va pas. Keï n'alla pas par quatre chemin et aborda la dangerosité de la jeune femme. Valait mieux pas lui cacher quelque chose.

- Je sais, la manière forte sont ses mots d'or.

Konoé soupira avant d'écouter la suite. Keï lui conseillait de parler de ce qui la gênait c'était pas si simple. Par contre l'histoire du chanteur fit sourire la jeune femme qui répondit du tac o tac.

- Et elle t'a fuit je pari !

Elle s'imaginait Rua complétement désemparé et mal de ne pas avoir réalisé jusque là.

- ça doit être comique a voir. Pas pour toi, c'est sûr.

Lui par contre devait être agacé de la voir fuir et devoir toujours retenté malgré ses esquives bien préparé. En tout cas Keï lui disait de raconter, Lyam aussi était affecté par son comportement ce qui fit perdre le sourire de la jeune femme.

- J'ai mal réagit en face de lui. Pou ça qu'il est mal en ce moment.

En tout cas Keï lui conseilla de manger. Konoé préféra le regarder complétement fasciner par tout ce qu'il pouvait ingurgité.

- Et tu tombes jamais malade ?

Pendant ce temps Rua avait amené un peu plus loin Lyam a qui elle tendit un verre de champagne avant de demander pour eux. Bien sûr il mentait s'était évident. Mais elle n'en dit rien, puis demanda pour le comportement avec la jeune femme. Elle était crispé depuis un moment déjà.

" Depuis qu'elle était marié a Shoeï ?"

Elle réfléchit avant d'ajouter.

" On sera fixer demain comment elle va réagir en sa présence. Les Takishima invitent un grand nombre de personne de famille noble. Tu viendras toi aussi Lyam ?"

Rua attendit sa réponse avant de lui faire signe pour rejoindre tout le monde. A peine que Keï fut en ligne de mir elle lui sauta dessus avant de lui piquer une bouché sans rien demander.

" Pas mal."

Keï tentait de parler avec les jeune femme, ce n'était pas dans ses habitudes de parler avec d'autres personne que les musiciens de sont groupes, Rua ou sa famille. Il tentait non pas de faire cracher le morceau à la jeune femme, mais de lui donner des conseils, car l'obliger à dire quelque chose dont elle n'avait aps envie de parler était peut être la pire des solutions. il commença alors par parler de Rua.

"Bon, au moins tu uras été prévenu..."

Si elle ne souhaitait rien dire c'était à elle de voir ce qu'elle décidait de faire. Puis il conseilla la jeune femme d'en parler à quelqu'un avant de parler d'une petite anecdote. Il sourit à la réponse de la jeune femme.

"Qu'aurait-elle pu faire d'autre ?"

Ensuite, la jeune femme lui dit que cela devait être drôle.

"Même moi, ça finit par m'amuser, mais j'aime Rua, je lui ferait comprendre qu'elle n'a pas besoin de fuir et surtout que je suis un homme, puisqu'elle semble se prendre pour un humme et moi, pour je ne sais pas quoi;"

Puis, il partit sur un sujet plus élicat, il en avait bien conscienece, la jeune femme perdit le sourire.

"En même temps, si je ne me trompe pas, Lyam t'aime énormément, jene sais pas comment tu as réagis exactement, mais quand tu te fais repousser par la personne que tu aimes, c'est dur, surtout quand c'est pour une raison particulière."

Il soupira, et continua un demi sourire au lèvre.

"Normal de culpabiliser..."

Puis Keï conseilla à la jeune femme de mager un peu car il estimait que ça remontait le moral.

"Disons que j'ai un corps humain, avec un puissance d'un démon pur... Faut bien que je contienne tout ça... J'ai besoin d'énergie. Je ne tombe donc jamais malade..."

Il sourit amusé par le visage de la jeujne femme.

De son coté Lyam buvait un verre de champagne tout en distant avec Rua. Il lui avait répondu ce qu'il savait, puis quand elle cita Shoei Lyam réalisa, il était vrai qu'ilne savait pas tout ce qu'il lui avait fait. Il fronça alors les sourcils.

"Oui, c'est ça..."

Puis, elle lui dit que le lendemain, il purrit confirmer tout cela, grâce à la présence de Shoei lui-meme. Il ne voulait pas y aller, mais si Shoei était alà alors c'était différent.

"J'ai été invité par un des Takishima de toute manière, alors j'irais, juste pour massacrer cet abrutit..."

Ensuite, Kei rejoignit Rua et Lyam avec Konoé. Lyam ne pronnonçait pas unn mot, mais il caressa doucement la tête de Konoé et y déposa un baiser sur sa tempe. Il ne préféra cependant rien dire.

Kei de Son coté, prit Rua contre lui et la regarda d'un air mécontent. Puis il l'embrassa vivement, sans lui laisser le choix, peu importe ce que les autre pensait. Ensuite, il sourit saisfait et la laisse s'éloigner si elle voulait.

Konoé acquiesça d'un signe de tête. Elle était prévenu pour Rua. Même sans la connaître vraiment c'est une chose qu'on devinait rapidement si on avait un certain instinct de survie.

- Suffit d'avoir l'instinct de survie.

Ensuite ils parlèrent d'un conseil qui dériva à une anecdote plutôt amusante entre Rua et Keï. Parce que oui ! il a reprit son statut d'homme au plus grand désarroi de la jeune femme qui voulait qu'une chose fuir rapidement.

- Te frapper de sorte de t’assommer ou péter toute tes dents ?

En tout cas c'était comique a voir tant qu'on était pas dedans. Et la dure réalité fut que Keï soit pris pour ce qu'il n'est pas. Ce que Konoé ne se gêna pas de dire.

- Une femme, n'ayant pas peur des mots.

Elle réfléchit avant de dire.

- De toute façon t'es mal équipé pour être une. Mais vue de Rua c'est pas étonnant...

Rien que dit penser c'était affligeant... En tout cas la discussions tourna sur moins amusant puisqu'il lui parla de Lyam et son inquiétude. En plus de se faire rejeter par la fille qu'il aime.

- Être rejeté il est habitué avec moi... Mais j'avoue que cette fois ci. Ce n'était pas dans mes intentions, du moins pas autant. Je verrais si je lui en parle. Mais c'est vraiment délicat...

Elle sourit embêter avant de se concentrer sur sa nourriture. Keï était fascinant et même si c'était un démon en lui elle avait dut mal.

- C'est pas un démon que tu as mais un ogre.

Konoé le regarda blasé avoir de voir les deux autres revenir a eux. La jeune femme regarda Lyam inquiète avant de se détendre quand il lui caressa la tête puis lui embrassa la tempe. Konoé sourit soulagé tout en lui prenant la main contente de le voir revenir vers elle.

Pendant ce temps Rua dit toute contente.

" Donc vous venez tout les deux demain c'est parfait."

Elle sourit après avoir fini la bouché qu'elle avait piqué. Mais Keï l'attrapa pour la mettre contre lui ce qui la fit rougir avant d'être embrasser devant tout le monde. Complétement gêné elle lui donna une belle droite comme elle sait les faire.

" ça va pas non ! J'ai pas envie de mourir non plus. Depuis quand tu embrasse un efféminé en costard ?"

Elle soupira tandis que Konoé poussait Lyam pour fuir discrètement la scène. Suffisait que Keï la provoque et ce serait le Ko.

- J'ai pas envie de mourir cramé...

Keï discutait avec la jeune femme de sorte à essayer de tirer quelques élément de ce qui la perturbait, mais ce nétait pas si simple. Il avait prévenu la jeune femme par rappot à Rua et sourti à sa réponse.
La discussion partit alors sur une drôle d'anecdote qui était arrivée il n'y a pas si longtemps et qui n'était toujours pas totalement finie. Rua refusait toujours ses avances. Ce n'était pas tout le temps agéable mais ce n'est pas pour ça qu'il abandonnerait.

"Peut être qu'elle ne tient pas à mes briser toute les dents, et puis au final, de la part de Rua ce n'est pas si étonnant..."

Il avait prit l'habitude des comportement de Rua. Parfois, il n 'évitait pas ses coups, cependant, il les parait couramment. Par contre, le fait d'être prit pour une femme ne lui plaisait guère.

"Mais je n'arrive pas à trouver de solution précise pour que Rua me considère comme un homme..."

Puis la discussion fut ensuite moins drôle. Lym avait l'habitude de se faire repousser,, il était bien courageux.

"Tu sais, il peut être lent, mais je pense qu'il ne tardera pas à le savoir, que tu lui dises ou non, s'il est inquiet pour toi..."

Puis ensuite, la jeune femme fut fasciné par la quanité qu'il mangeait.

"Non, non, c'est bien un démon !"

Il sourit amusé. Puis, ils revinrent les uns vers les autre, et Lyam qui avait plus ou moins comprit la cause de la réaction de la jeune femme, finit par tenter de la rassurer. Elle lui prit la main et il la regarda l'air neutre.
Rua parla avant que Kei ne se décide à l'embêter un peu. Bien sûr, la scene commençait à devenir dangereuse et Konoé poussa Lyam.

"... Tu as raison éloignons nous..."

En lui tenant fermement la main, Lyam fuit avec Konoé.
Keï de son coté avait parer l'attaque regarda Rua avan de sourire de manière cruelle.

"De toute manière, je crois que personne n'a jamais remarquer que j'étais avec une femme, puisque tu ressemble même en temps normal à un homme gorille."

Il fit un pas en arrière se préparant à devoir parer les coup de la jeune femme.

Konoé et Lyam parlèrent de Rua qui avait un comportement bien à elle. Cependant même si elle était charmante elle n'était pas moins masculine puisqu'elle prenait se pauvre Keï pour une femme. De quoi être exaspéré. En plus il ne savait pas quoi faire pour la faire changer de vision.

- Montre vraiment que tu la domine. Et que tu te fasses entouré que deux filles. Certes elle sera hors d'elle, mais elle sera bien dans l'obligation de reconnaître que tes hommes comme ça !

C'était quand même vraiment embêtant... Konoé réfléchit avant de sourire amusé.

- Et puis je suis sûr qu'elle serait adorable lors de ses prises de conscience. Tu peux pas rester comme ça.

Puis la discussion dériva sur Lyam qui avait certes l'habitude de se faire repousser. Mais pas de lui faire peur ainsi.

- Oui je sais, mais pour ce soir je n'ai pas envie d'avoir un meurtre sur la conscience.

Lyam pouvait être violent et contrairement a Rua elle ne pouvait pas s'en moquer. Enfin Keï la distrait en mangeant comme un ogre. Un démon était tout de même impressionnant... Elle soupira avant que Rua et Lyam ne viennent les rejoindre. Le jeune homme lui embrassa la tempe ce qui la fit sourire doucement tout en lui prenant la main. Mais Keï décida d'embêter Rua ce qui fit fuir Konoé et Lyam rapidement. Au moins ils purent quitter la soirée sans problème. Seulement elle s'arrêta avant de le tirer par le bras pour l'embrasser et lui enlacer le cou toute gêné. Vu qu'il était toujours distant par rapport a elle, elle ne voulait pas le lâcher comme ça.

- Lyam... Tu dors avec moi ce soir ?

Elle devint rapidement rouge se rendant vraiment compte de sa demande avant de le lâcher la tête basse ne savant pas quoi dire pour rattraper. Il n'allait peut être pas dormir avec elle juste parce qu'elle le souhaitait.

- Je divague excuse moi.

Konoé eut un sourire affreusement triste. Elle ne savait plus ce qu'elle avait le droit de faire ou pas. En même temps, ils ne s'étaient jamais dit qu'ils sortaient vraiment ensemble...

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Pendant ce temps Rua était exaspéré par les paroles de Keï. Comme quoi tout le monde la prenait pour un homme. En premier lieu elle s'enflamma tout en l'attrapant par le col. Mais en se rendant compte de son geste elle le laissa tomber avant de répondre exaspéré.

" Pour changer comme tu dis."

Elle soupira avant de tourner les talons agacé. Pas étonnant qu'elle est l'air d'un gorille... Un moment ça va mais a force... Elles se sentaient difforme surtout en ce moment. Ses fans ne pouvaient plus la voir, ses amis ne voulaient pas qu'elle revienne avec lui et sa cuisine était insupportable avec elle. Non en ce moment elle n'avait pas envie de rire.

Lyam avait discuté un moment avec Rua, tandis que Konoé parlait avec Kei, celui ci ne savait comment s'y prendre pour que Rua le voit comme un homme. Konoé disait qu'il devait montrer qu'il la dominait, et qu'il se fasse entourée de fille, elle avait peut être raison, mais c'était assez compliqué, il n'était pas très patient, et il avait tendance à se laisser dominer avec Rua, depuis le début c'était comme cela.

"Je crois que je n'ai pas d'autres choix que de tenter le coup de toute manière..."

Il sourit amusé, il ferait des effoorts car cela pouvait être amusant. Ensuite, il parlèrent de Lyam et apparemment si elle disait quoique ce soit il risquait d'y avoir un meurtre. Il grimaça.

"Si c'est pas ce soir, ce sera un autre jour tu sais ?"

Mais iln'insista pas plus. Ensuite, Lyam retrouva Konoé, puis ils se sauvèrent au moment ou ce fut dangereux. La jeune femme finit par s'arrêter et tira le bras de Lyam. lle l'embrassa, il fut surprit à caue de la situation mauvaises quand laquel ils étaient tout deux depuis un petit moment à présent. Elle ne le lachait pas de ce fait, il sourit et lui caressa doucement la tête. Il 'arrête lorsqu'elle lui demanda de dormir avec lui. Elle le lâcha puis elle s'excusa. Il resta silencieux pendant un moment.

"Konoé, pourquoi tu t'excuse au juste ?"

Il oupira avant de continuer :

"Tu sais si tu me promet que tu ne trembleras pas, alors si tu le souhiate je dormirais avec toi."

Il lui sourit doucement et deposa un baiser sur le front de la jeune femme avec de la tirer vers leur chambre.

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Keï s'attendait à se fcaire frapper, mais ce ne fut pas du tout le cas. Elle s'arrêta en plein milieu, et il la regarda sa comprendre. Il préférait largement la Rua qui frappe à la Rua comme celle-ci. Kei réfléchit une seconde, et regarda l'heure, puis, se dirigea rapidement vers Rua et la porta sur son épaule

"Rua... Penses-y sérieusement... Tu crois vraiment que tu es un gorille ? Certe quand tu frappes tu n'y vas pas de main morte, mais alors que j'ai tant de choix autant de moi, pourquoi crois tu que je t'ai choisi ? "

Ensuite, il la reposa tout en la tenant.

"Pour moi tu es la femme la plus adorable quis oit, alors même si je te provoque, je fais ça pour t'embeter ne le prend pas mal.é"

Konoé encouragea Keï pour retrouver son statut d'homme. Il se laissait trop dominer pour être comparer a un égal. Même si c'était pas grand chose, pour la suite cela se révélerait plutôt important puisque Rua le fuit ou ne le prend pas au sérieux. En ce qui concerne Konoé, c'était plutôt la dangerosité de Lyam qui l'inquiétait. Et Keï n'avait pas tord, si c'était pas aujourd'hui ce serait demain.

- Le plus tard possible serait le mieux.

Keï n'avait vraiment pas tord et elle faisait très attention a ses paroles. Car mine de rien il était quelqu'un de très réfléchit malgré ses accès de folie sadique. De ce fait il était intéréssant de converser avec lui. Elle l'appréciait énormément pour ça et puis elle ne comprenait pas pourquoi il faisait peur. En ce qui la concerne elle ne trouve pas, tant qu'on le met pas en colère. Par contre quand Rua était là, c'était soit adorable de les voir soit il fallait fuir rapidement. Et c'est ce qu'elle fit en emportant Lyam avec elle pour éviter de faire part à un massacre. Une fois dehors, la jeune femme entoura "son homme" pour l'embrasser et l'inviter a dormir à ses côtés. Chose qu'elle n'était pas sûr d'être accepter vu les circonstances. Du coup elle s'excusa rapidement de son geste embarrassé. Lyam comme toujours lui demanda pourquoi pareil excuse.

- Je ne sais pas... c'est...

Elle regarda ailleurs angoissé et gêné avant d'être surprise d'entendre la réponse positive si elle ne tremblait pas.

- Non je tremblerais pas.

Vu que c'est elle qui avait décidé il n'y avait aucune raison pour qu'elle tremble. Ainsi elle le suivit jusqu'à leur chambre qu'ils allaient partager pour cette nuit. Konoé se changea dans la salle de bain avant de se coucher. L'idée de voir Shoeï demain l'avait complétement horrifié ce qui l'angoisser grandement. Avoir Lyam auprès d'elle pour cette nuit serait comme un rempart qui la protège. Et qu'elle n'est pas prête de laisser.

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Rua s'était sentit vexé par le gorille qui la mit terriblement mal à l'aise. A tel point qu'elle laissa Keï pour s'éloigner un peu. Seulement, il savait pertinemment que quand elle frappait pas c'est qu'il y avait un problème. Keï la rejoignit rapidement en la soulevant. L'empêchant ainsi de fuir. Rua n'apprécia pas du tout et se débattit tant bien que mal.

" Keï lâche moi !"

Elle soupira avant d'écouter surprise ses propos. Keï la rassura sur le fait qu'elle avait certes une force colossal mais elle n'en était pas moins un gorille au contraire. Surtout qu'il appréciait la jeune femme tel qu'elle était et non les personnes autour. Rua le regarda étonné avant de se retrouver en face de lui pour entendre le reste. Il la complimenta en disant qu'elle était une femme adorable et ses provocations n'avaient aucunement le but de la vexé. Rua le regarda un instant avant de baisser le regard. Agacé et embarrassé elle lui répondit d'un ton plutôt embêté.

" N'importe quoi tu n'étais pas obliger de dire tout ça..."

Elle lui attrapa doucement son smoking avant de se rapprocher doucement de lui pour lui embrassé la joue. Keï était vraiment plus grand qu'elle et le comparé lui faisait toujours bizarre. Mais d'un côté c'était une chose qui lui plaisait mais qu'elle n'avouait pas toujours. Voir pas du tout. Être petite par rapport à lui faisait en sorte un certains repos comme quoi il pouvait également la protéger. A cet pensée elle sourit amusé en savant pertinemment qu'il pensait être une femme pour elle a son plus grand malheur. Mais elle n'avoue pas tout en même temps. Sinon elle serait vraiment embarrassé s'il jouait avec ses points vulnérable. Rua sourit avant de lui mettre une pichenette sur le front.

" Bon c'est pas tout ça mais j'ai pas tellement envie de rester... Déjà que demain on verra toute ta famille".

Konoé pensait que le plus tar Lyam l'apprenait et le mieux c'éztait, seulement, il n'en était pas si sûr. Il réfléchit une seconde avant de répondre à la jeune femme :

"Nous les hommes n'avons pas beaucoup de jugeotte, mais bizarrement, ce sont de petit détail qui nous mette la puce à l'oreille. Lyam s'en doutera sûrement bientôt de ce qu'il s'est passé."

Kei se connaissait,, il était un peu lent à la réaction, mais il avait après par ses propres jugements qu'il n'était pas le seul. Ainsi, il supposait par de nombreux probabilité préalable que Lyam finirait par deviner par lui même. Ensuite, lorsque le groupe se rejoignit, Lyam et Konoé s'enfuirent face à la dangerosité de la scène. La jeune femme lui fit alors une étrange demande puis s'excusa. Il lui demanda pourquoi elle s'excusait, alors qu'elle n'avait rien fait de mal. Il soupira à sa réponse et finit par sourire amusé de la réaction de sa petite Konoé.
Il lui dit alors qu'il acceptait si la jeune femme ne tremblait pas, il n'aimait pas la voir si effrayée. Il la prit alors dans ses bras, lui embrassa le front puis la lâcha.

Il se rendirent dans leur chambre et Lyam se changea avant qu'un fois Konoé couché, il ne s'instaà coté d'elle. Ses cheveux était détaché pour une fois. Il prit alors la jeune femme contre lui et lui caressa la tête.

"Je ne te ferais jamais de mal..."

Il caressa son visage et l'admirant un petit moment avant de l'allonger. Il la prix alors dans les bras, et la tint doucement de sorte à si elle souhaite s'écarter elle puisse.

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Pour réagir de cette manière, Rua n'avait pas du apprécié la réaction de Kei, il comptait juste l provoquer pour l'embêter un peu, seulement, à présent, elle était mal. Il la mit alors su son épaule, elle se débattit, mais il tenait bon, il fronça les sourcils.

"Non, je ne te lâcherais pas !"

Puis il expliqua unp eu ses propos et finit par poser la jeune femme. Elle l'écouta puis se plaignit qu'il ne fallait pas dire tout ça.

"Pour que tu m'en veulles ? Je préfère dire la vérité..."

Puis, elle lui attrapa son smokin pour l'embrasser sur la joue. Il fut assez surprit mais il finit par sourire. Rua lui mit alors une pichenette dans le front, et il la regarda peu satisfait de ce qu'elle venait de faire, et il lui répondit :

"On rentre alors ?"

Ill 'attrapa alors par la taille et la poussa vers l'extérieur, il s'arrêta t lui murmura à l'oreille :

"Je t'aurais un jour..."

Il sourit de manière sadique.

- Je sais... Déjà demain il se doutera de beaucoup. Mais j'ai vraiment pas envie d'avoir de drame...

Elle soupira et continua de parler avec lui jusqu'à ce que Lyam et Rua n'arrivent. Cependant la tension commença rapidement à monté et Konoé prit la fuite avec Lyam. Une fois dehors, une envie d'être proche de lui la prit l'invitant a dormir à ses côtés. Bien sûr elle remarqua rapidement son audace et paniqua en s'excusant. Seulement elle n'avait pas d'explication sur ses excuses anticipé ce qui l'embarrassa encore plus au près du jeune homme. Mais il accepta de dormir a ses côtés ce qui la fit sourire faiblement de soulagement. Tant qu'elle ne tremblait pas sa irait. Lyam la prit dans ses bras avant de l'embrasser sur le front avant de rentrer.

Une fois arrivé dans la chambre Konoé se changea pour se coucher. Elle était complétement épuisé et angoissé pour le lendemain. Mais Lyam était là ce qui la soulagea quelque peu. Celui-ci ne tarda pas à la rejoindre et la prit contre lui ce qui la surprit assez mais ne fut pas mécontente. Lyam la rassura sur le fait qu'il ne lui ferait jamais de mal ce qui la fit sourire doucement avant qu'elle ne lui embrasse le haut du cou. Lyam lui caressa son visage avant de se coucher avec elle de sorte qu'elle soit dans ses bras. Konoé sourit et se blottit bien contre lui avant de lui murmurer.

- Bonne nuit Lyam...

Elle garda son sourire avant de se laisser happer par le monde des rêves.

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Rua n'avait pas apprécier la blague et décida de tourner les talons. Malheureusement Keï ne fut pas de cette avis et l'attrapa pour la porter. Elle se débattit mais il ne la lâcha pour autant. Son homme la rassura sur son compte avant qu'elle soit complétement gêné et n'accepte qu'a moitié ses explications prise d'embarras. Keï préféra dire la vérité au lieu d'être détesté.

" Je ne peux pas te détester."

Elle lui sourit avant de lui proposer de rentrer en lui mettant une pichenette ce qu'il accepta en lui tenant la taille pour la conduire dehors. Cependant elle aurait jamais cru entendre ses paroles une fois dehors. Rua fut prise de frisson et se retourna rapidement l'air inquiète. Son sourire ne disait rien de bon non plus.

" Keï..."

Elle le regarda inquiète ne savant pas du tout ce qu'il lui ferait. Elle n'avait jamais été vraiment touché du coup l'inconnue lui faisait peur.

Keï n'insista pas plus, les conséquences des choix de Konoé se verrait sûrement le lendemain. Il espéra pour elle que cela ne se passerait pas trop mal malgré tout. Il savait bien qu'il allait sûrement se passer quelque chose, mais la gravité il l'ignorait. Cela dépendrat en particulier de la faculte de Lyam à rester calme, ce qui ne semblait pas être son fort.

Lyam et Konoé finir par partir ensemble pour se rendre à l'hôtel. Sr le chamin la jeune femme l'invita à dormir avec elle, mais se ravisa peu après. Il finit tout de même par accepter, car il n'avait aucune raison de refuser une telle demande de la part de la jeune femme. Lyam avait finit par prendre la jeune femme dans les bras avant de l'amener jusqu'à la chambre où ils dormiraient.

Il la prit alors contre lui, la rassura puis la jeune femme lui embrassa le haut du cou. Il sourit tendrement avant de caresser sont visage, puis la prit dans ses bras. Konoé lui souhaita bonne nuit.

"Bonne nuit à toi aussi..."

Il ferma les yeux et finit par s'endormir.
Il se reveilla tot le lendemain matin, et se leva brusquement bientôt bloqué par le poids de Konoé. Il avait totalement oublié qu'il avait dormit avec elle. Du coup, il n'insista pas plus et se rallongea. Il pesta quand son portable se mit à vibrer de manière bruyante, mais il ne l'atteignait pas. il se débrouilla tant bien que mal pour se détacher de Konoé. Il attrapa alors son portable et déccrocha en selav, quand il entendit la voix, il se mit en colère. Il murmura quelque insulte avant de raccrocher avant de se rasseoir sur le lit, il espérait ne pas avoir réveillée Konoé, mais il en doutait.

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Keï avait préféré dire la vérité même si elle ne pouvait pas le détester, il n'était pas bête au point de faire reproches sans limites à la jeune femme. Les seules fois où ils le faiait, s'était simplement pour l'embeter un peu et qu'elle le frappe.

"Pas parce que tu ne peux pas me détester que je dois en profiter. A force de répéter un mensonges, on finit par le croire..."

Puis, il commencèrent à rentrer et Kei lui dit une parole qu'il pensait réellement. elle sembla inquiete.

"Je suis patient, mais j'ai des limites tu devrais le savoir..."

Il lui embrassa la base du cou avant de renter.

Konoé était assez averti pour Lyam mais elle ne voulait pas de problème. Pour cela elle évita de lui raconter ce qu'il s'était passé durant ses mois avec Shoeï... Enfin déjà elle lui avait épargné le tombé de sa carrière à cause de son ex mari qui aurait put le nuire par jalousie. La jeune femme soupira avant de voir arriver le jeune homme et Rua. Par inquiétude d'y laisser sa peau elle prit Lyam pour sortir et l'invita a dormir avec elle ce qu'il accepta a son grand soulagement.

A peine arrivé dans leurs chambres, Konoé se changea pour se coucher. Lyam ne tarda pas à la rejoindre tout en lui murmurant de douces paroles. Il ne lui ferait jamais de mal ce qui fit sourire la jeune femme. Ainsi elle put s'endormir tranquillement dans les bras de cet homme dit insaisissable pour sa réputation volage.

Le lendemain Konoé se réveilla en sursaut par des rafales d'insultes. Surprises elle se redressa brusquement en regardant Lyam surprise avant de se poser un peu plus pour prendre son réveil plus en douceur. En tout cas Lyam devait avoir eu une personne indésirable au bout du fil.

- Qui c'était ?

Elle le regarda encore dans la brume avant de remettre doucement ses cheveux en place.

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Keï était très prévenant avec elle puisqu'il pensait a son état d'esprit en ce moment. Il est vrai qu'a force de répéter un mensonge on pouvait y croire. Mais quoi qu'il dise se mensonge qu'il soit vrai ou pas elle y croyait déjà. On lui répétait beaucoup trop souvent sans que ce soit Keith.

" Tout dépend qui le dit"

Venant de Keï elle n'avait aucun doute ce n'était pas le problème. Puis ils commencèrent a rentrer quand son homme fit par ouvertement de ses intentions pas rapport à elle ce qui l'inquiéta. L'inconnu lui faisait horriblement peur.

" Je sais..."

Elle baissa son regard mais le baiser a la base du cou la fit frisonner. Ce n'était pas désagréable, mais voir Keith ainsi l'inquiétait. Elle verrait ce qui se passerait une fois arriver a l'appartement.

Lyam aimait la jeune femme, il ne pouvait pas le nier, et il voulait prendre soin d'elle et refusait tout bonnement que quelqu'un d'autre la touche. Il le savait, pour cette raison, il devait totalement arrêter de s'amuser avec d'autres filles mais cela ne lui posait guère de problème. Konoé passait largment première maintenant qu'il pouvait être à ses cotée.

Le lendemain matin, le réveil fut assez dur, surtout quand il fallut que son père l'appelle, pour qu'il se voit ent ête à tête. Seulement Lyam n'en avait aucune envie et le faisait bien comprendre au téléphone. Au point même qu'ila avit finit par réveiller la pauvre Konoé.

"Le truc qui est censé être mon père..."

Car il ne pouvait le considérer comme son père. Du coup, de mauvaise humeur, il attrapa la la jeune femme et la mit contre lui, il réfugia alors sa tête dans son coup. Il resta un moment dans cetter position à marmonner des paroles tout bas. Puis il finit par se redresser.

"Je t'autorise à bouger à présent.'

Il la lâcha. Ensuite, il se leva et partit prendre sa coucher, cela faisait du bien. Il se rattacha les cheveux puis il demanda à Konoé.

'Au fait faut y ête à quelle heure à la réception ?"

Il bailla peu réveillé.

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Keï était préoccuper par le comportement de Rua. il faisait de son mieux pour tenter de la rassurer, mais cela ne semblait guère fonctionner. Il la regarda un petit moment avant de l ui répondre :

"Personne ne le pense, alors ne croit pas des choses pareilles..."

Il lui caressa la tête, puis ils commencèrent à rentrer. Keï fit part de ses intentions ce qui semblait inquieter Rua.

"Ca t'effraie tant que ça ?"

Puis il lui fit un baiser à la base du coup, avant de rentrer. Une fois arrivée, Keï se mit à l'aise. Il regarda Rua d'ubn air calme, sa cousine dormait dejà heureusment. Il prit un verre d'eau puis bu avant de dire :

"Je vais me coucher bonne nuit..."

Il l'embrassa tendrement et s'arrêta tout en étant dos à elle.

"Réfléchit à la raison pour laquelle ça te gêne temps... Par peur ou pour une autre raison ?"

Il insinuait par ses paroles qu'il était peut être la raison. Il allase coucher sa rien dire de plus.

Konoé se sentait bien auprès de Lyam. Il était quelqu'un qui venait toujours la protégé où la considérait autrement qu'une chanteuse. En plus de supporter son mauvais caractère qui n'était pas simple à gérer. Konoé ne voulait pas le laisser a d'autre.

Le lendemain fut explosif puisque Lyam répondit à un coup de fil qu'il insulta très rapidement. Réveillé en sursaut par ses éclats de voix elle demanda qui était l'interlocuteur d'une voix embrumé. Lyam répondit agressivement que c'était le père.

- Si tôt le matin ? Pourquoi ?

Elle le regarda étonné avant de se mettre contre lui. Lyam désirait l'avoir contre lui pour y réfugier sa tête le temps de se calmer. Konoé ne bougea pas le laissant contre elle avant de le regarder quand il se redressa. Il la laisser libre. Pendant qu'il prit sa douche, elle s'habilla toujours de manière assez couverte comparé à d'habitude puis répondit à la question du jeune homme.

- ça commence cet aprem et ça finit ce soir.

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Keï lui affirma que personne ne pensait une telle chose d'elle pourtant c'était bien le cas. Puis s'était ses intentions qui l'inquiétait et elle dut répondre pour ne pas créer trop de malentendu.

" Je ne sais pas a quoi m'attendre"

Puis ils rentrèrent. La cousine était endormit, Rua fut embrasser par Keï avant qu'il n'insinue qu'elle n'est peur de lui. Elle le regarda tristement car c'était loin d'être le cas. Leur relation était simplement trop ambiguë pour qu'elle sache quoi faire. Il la voulait, mais ils ne dormait pas ensemble faisant chambre a part. Des détails faisait qu'elle ne pouvait pas encore. Trop d'écart la séparé de lui... Rua soupira et alla se coucher démoralisé.

Lyam aurait souhaité ne pas réveiller Konoé, mais il n'avait pas eu d'autre choix que de répondre, car son père aurait essayer de la reveillé à force de l'appeler s'il raccrochait. Resultat, il avait tout de même finit par la réveiller. La jeune femme lui demana alors qui était la personne à qui il s'adressait.

"Il sait que je suis à Forgefer du coup,i l voudrait que je mange avec lui pendant mon séjour... Mais comme il essaye de me forcer la main... j'aime pas ça."

Puis Lyam avait décidé de se mettre contre la jeune femme, afin de se calmer de sa récente colère. Il était bien contre Konoé, et elle aurait vu son sourire, elle l'aurait comprit rapidement, mais comme il cachait son visage, elle ne pouvait pas le voir. Il finit par la lacher pour aller prendre sa douche. Il s'attacha les cheveux en sortant. Il regarda la jeune femme et en regardant ses habit il se retourna tout en pestant tout seul. Puis il se remit face à la jeune femme et lui demanda :

"Dans ce cas là, tu veux qu'on se promène un peu jusqu'à ce que ce soit l'heure ?"

Il caressa la joue de la jeune femme avant de murmurer.

"Shoei ne s'en sortira pas indemne, mais je ferais de mon mieux pour lui épargner trop de souffrances..."

Il attrapa la main de la jeune femme comme si de rien était, et l'emmena à l'extérieur où il la lâcha.

"mhhh, ou pourrait on aller..."

Il réfléchit pendant un moment avant de sourire.

"Je sais !"

Il amena alors la jeune femme dans un quartier assez petit qui était réputé pour ses ecole de musique, ses musée sur le meme theme et pour ses spectacles extérieur. C'était parfois très intéressant et le l ieux le mieux pour recruter des jeujne musicien, danceur ou chanteur. L'un des membre sde son groupe venait d'ici.

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Rua finit par lui répondre et il n'insista pas plus. Ce n'était pas forcément le sujet le plus simple à parler. Au moins, il avait fait part de ses intentions. Il ne tarda pas à aller se coucher. Personnellement, il aimerait que la jeune femme dorme avec lui, mais comme, il ne savait ce qu'elle en pensait, il ne lui demandait pas. En fait, de son coté, il avait une peur bleu de se faire rejeter par la jeune femme. Il s'était déjà retrouver trop loin d'elle pendant trop longtemps, il craignait de la perdre de nouveau en étant insistant, mais il lui faisait tout de meme par t de ses intentions.

Il se réveilla horriblement tît le lendemain matin. IL était d'ailleurs fatigué, mais impossible de dormir. Tout le monde dormait,, alors il se posa sur le canapé et regarda en l'air en réfléchissant.

'J'exprime même pas les sentiments de base que j'ai pour elle..."

Il soupira et se leva pour aller chercher une tasse de café.

Konoé était exaspéré par tant de conflit. Ils faisaient bien partit de la même famille. Ils sont aussi borné l'un que l'autre. La jeune femme soupira avant de répondre.

- Eh bien j'irai a ta place comme ça. Je le connais grâce a mon père. Il a peut être quelque chose d'intéressant a dire, il faut l'écouter même s'il n'est pas dans les relations sociale.

Konoé n'aimait pas les relations bloqué elle trouvait cela idiot. Du coup elle voulait écouter au moins pour Lyam pour lui dire de quoi il en retourne entre autre. Puis elle se changea quand il partit prendre sa douche. Bien sûr elle était assez couverte mais elle en avait pris l'habitude.

Lyam lui demanda ensuite pour la réception, cela se déroulait cet aprem du coup il lui proposa de sortir avec lui.

- Pas de problème

Elle lui sourit doucement avant de le regarder se diriger vers lui pour lui caresser la joue. Il voulait massacrer Shoeï ce qui angoissa grandement la jeune femme qui protesta.

- Non Lyam. Ne fais pas de bêtise s'il te plait.

Elle lui tenait le bras inquiète. Keï l'avait prévenu mais elle avait vraiment peur de sa réaction auprès de Shoeï. Elle ne voulait pas de scandale... Lyam lui prit ensuite la main pour la conduire dehors puis dans une rue remplit de musique diverse. Konoé regarda étonné avant de s'arrêter devant un magasin de musique.

- On va ici ?

Elle sourit doucement avant de le traîner à l'intérieur. Là elle regarda les instruments avant de toucher le clavier d'un piano a queue blanc. Elle sourit d'un air ravi avant de se mettre a jouer un air rythmé et enjoué qu'elle n'avait pas encore jouer en publique. Mais contrairement a ce qu'on pourrait croire elle la jouait souvent en privé.

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Rua se coucha sans trop de joie. La relation avec Keï ne lui plaisait pas, elle ne savait pas où elle en était avec lui. C'était beaucoup trop ambiguë... De ce fait la nuit fut particulièrement affreuse et le réveil difficile.. Elle se leva sans grande joie avant de voir Keï à la cuisine.

"Bonjour."

Elle le regarda un instant avant de baisser les yeux et se servir a boire également. La cousine ne tarda pas a se lever ce qui exaspéra encore plus Rua qui tourna les talons pour s'éloigner du piaillement insupportable.

Lyam n'avait pas envie de voir son pèe, mais la jeune femme semblait vouloir aller le voir, si lui ne le souhaitait pas. Il ne souhaitait cependant pas qu'elle n'y aille non plus, il n'avait pas envie d'avoir ne serait ce q'un rapport avec cete famille qu'il n'aimait aps du tout. IL avouait que Kei Takishima était encore le plus sympathique, mais, il savait que c'état le seul qui était encore différent du reste du lot.

"Je doute qu'il est quoqiue ce soit d'interessant à dire... Son but est sûrement uniquement de me marrier pour y trouver des interêt, je dis surement mais c'est même pratiquement sûr."

Son père était un démon, il n'était pa pret de passer le pouvoir, et même s'il le souhaitait, ce serait surement par quelqu'un qu'il aurai élévé lui-même donc plutôt un autre fils ou un petit fils mais pas lui, il était trop différent.

Pusi il partit prendre sa douche et il lui proposa de sortir un peu en attendant e devoir se rendre à la réception. Elle accepta, puis il lui caressa la joue, avant d'avouer son envie de massacre.

"Je ne vois pas où est le problème, mais t'inquiete je ne ferais rien de visible..."

Il essaierait au moins. Il lui caressa latête, mais il ne pouvait pas prévoir la façon dont il réagirait une fois en face de Shoei. Il emmena alors la jeune femme dans un quartiers particulier, puis elle s'arreta devant un magasin de musique.

"Oui, si tu veux."

Il sourit à la jeune femme, et la suivit, elle remarqua un piano, et finit pr jouer un morceau rythmé. Lyam écouta et dit à la jeune femme.

"J'aime ta Musique."

Puis il ajouta peu apres.

"Même s'il n'y a pas que la musique..."

Il insinuait qu'il y avait aussi la chanteuse et donc Konoé.

"En totu cas tu as énormément progressé"

Les gens autour regardait curieus et semblait eux aussi apprecier le rythme.


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Lorsque la jeune femme se leva Kei la salua à moitié endormit. Il se plaisait à la regarder, mais elle avait l'air d'avoira susi mal dormit que lui. Puis sa cousine était venu et comme Rua l'évitait, il finit par rejoindre et la prit contre lui.

"Je crois que j'oublie de te dire la chose que je devrais te dire en premier lieu. Je t'aime Rua..."

Il l'emrassa sur le front et la lacha doucement. Il la regarda alors avant de partir pour se changer.

En fait son père aurait envie de le marier. Ce qui fit sourire la jeune femme limite rire puisqu'elle était loin de le voir en homme marier.

- Toi ! Marier? En effet ça colle pas du tout.

Elle sourit avant d'ajouter plus sérieusement.

- Et je doute que j'apprécie la fiancé. Il risque d'avoir un problème.

Konoé le regarda amusé avant de partir se changer. Lyam lui fit ensuite part de son énervement envers Shoeï. Par contre elle ne voulait pas de scandale ce qu'il essaya de faire.

- Je te fais confiance.

Elle lui sourit avant de partir avec lui dehors pour partir dans une rue complétement musicale. Konoé voulut de suite rentrée dans un magasin et se mit a jouer sur le piano blanc. Lyam appréciait sa musique ce qui flatta la jeune femme.

- merci.

Konoé fut par contre beaucoup plus géné quand il parla d'elle. Elle n'osait même plus le regardait. Lyam l’inondait de compliment, c'était plaisant mais sa gêne remonta rapidement.

- C'est juste très simple.

Elle le regarda embarrassé avant de demander.

- Et toi ? Tu me joue quelque chose ?

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Rua n'avait aucune envie de voir la cousine et tourna les talons. Seulement Keï la rejoint en l'attrapant par derrière pour lui annonçait qu'il l'aimait. Elle rougit immédiatement avant de le regarder partir vers sa chambre. Rua le regarda un instant avant de se mettre a le suivre rapidement. Après tout elle avait le droit. A peine l'avait elle rejoint qu'elle le prit dans ses bras se moquant de sa tenue actuel.

" Depuis quand tu m'embrasse pas quand tu me dis ça ?"

Elle fit un petit sourire amusé avant d'attendre sa réponse.

"Tu crois que c'est le genre à se préoccuper de ce qui me correspond ouj pas ?"

Il était vrai qu'il se voyait mal être marier, il ne pensai pas une seconde à cette possibilité. Le seul moyen pour lui imposer ce choix serait que c'était la seule condition à un problème, ou bien vraiment parce qu'on ne lui laisse pas d'autres choix. Puis la jeune femmedit plus sérieusement qu'elle doutait d'apprécier la fiancée.

"Donc voilà pourquoi je ne souhaite pas aller le voir. Je vis très bien sans lui, je suis avec qui je veux... donc quoi qu'il fasse, il ne m'aura pas."

L'avantage de Lyam était qu'il avait touours vécu dans ujn milieux aisé, alors l'argent ne lui manquait pas et donc il se voyait mal être marier à quelqu'un pour en echange n'avoir que trop d'argent.

Ensuite, ils se changèrent tout les deux, et Lyam fit par de ses envie de meurtres avec Shoei. Biens sûr la jeune femme ne voulait pas que cela se sache, Lyam lui-même aurait sans doute des problème. Il sourit cependant en entendant Konoé.

Ils sortirent tout le deux, se promener avec une temps aussi beau était une opportuité avant de devoir rester enfermé une bonne partie du reste de la journée. Konoé se mit à jouer du piano dans une boutique dans laquelle ils étaient entrés peu auparavant. Lyam complimenta la masique de la jeune femme et fit un commentaire même sur elle, bien que très indirect. Il se mit a retenir un large sourire amusé.

"Ce n'est pas si simple..."

Il caressa la tête de la jeune femme avant qu'elle ne lui demande de jouer un morceau.

"Mhh..."

Lyam se mit à réfléchir et commença à jouer u morceau, c'était bien plus calme qu'à son habitude, Il dit alors à la jeune femme :

"C'est un morceau qui n'aboutira jamais à rien... Mais je l'aime bien..."

Il regarda alors Konoé, puis finit par arrêter de jouer, la alors il interpella le vendeur:

"A combien vous le vendez ? J'aimrais l'acheter..;"

C'étaut un bon piano et il serait idéal pour sa nouvel maison. Suffisait jujste de trouver un livreur tres soigneux apres.


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Kei avait suivit la jeune femme lorsqu'elle avait voulu eviter sa cousine et l'avait prit dans ses bras en lui disant clairement qu'elle l'aimait. Ensuite, il était partit cse changer et la jeune femme n'avait pas tarder à le rejoindre. Il avait tout juste enfiler sa chamise. Elle le prit dans les bras et il fut surprit.

Il se mit alors à sourire et attrapa doucement son visage pour l'embrasser. Il l'embrassa longuement avant de finir par lui embrasser le coup, il se rendit compte que peut être ça ne lui plairait pas alors il s'arreta.

"Satisfaite ?" dit-il amusé.

- Certes, mais en même temps t'es l'exemple complet de l'homme indépendant.

Konoé ne voyait pas du tout Lyam comme un homme normal qui puisse un jour avoir une vie posé. Il était beaucoup trop vagabond pour ça. En tout cas pour le moment Konoé était indisposé de voir une potentiel fiancé. Ses sentiments étaient encore trop fort pour qu'elle accepte. Bien sûr un jour elle arriverait a quelque peu se détacher. Du moins elle le crois. Lyam et elle sont beaucoup trop différent sur certains point. Pour le moment elle est bien avec lui, du coup elle reste. Jusqu'au moment où l'irréparable se produira et se sera fini. Seulement elle gardait ça pour elle. Cette pensée n'avait pour le moment pas lieu d'être.

- Sois juste prudent Lyam. Ce monde est plein d'embuche quand on commence a te convoité.

Elle était sur que le père de Lyam ferait tout pour l'obtenir. Ainsi elle le mit en garde on ne sait jamais ce qui pourrait arriver. En ce qui la concerne elle sait très bien que sa liaison avec Shoeï était loin d'être terminé au contraire. Il la désirait et il l'aurait quelque soit la manière.

Ensuite Konoé se changea pour sortir avec Lyam avant d'aller a la réception. La jeune femme fut séduite par un beau piano blanc et y joua d'un air ravi. Lyam finit même par la complimenter ce qui la gêna mais lui fit assez plaisir.

- Peut être pour toi.

Elle sourit timidement avant de lui céder la place pour qu'il joue a son tour. Lyam joua un morceau très calme et agréable a l'oreille. Konoé l'écouta attentivement avant de répondre a sa constatation.

- C'est dommage, elle est très belle. On pourrait vraiment l'exploiter. Après c'est vrai qu'elle n'est pas vraiment dans ton registre quotidien.

Ensuite Lyam appela le vendeur pour acheter le piano blanc. C'était un prix énorme mais l'instrument est de qualité.

- Eh bien ça y va les dépenses.

Elle sourit amusé avant d'annoncer.

- Enfin on va devoir y aller sinon on va être en retard.

Konoé attendit Lyam avant de partir a la réception. Il y avait énormément de monde et surtout des personnes très connu voir influente. Shoeï était également présent. Konoé se sentit subitement mal mais par chance il ne vint pas encore la voir. Par le contre le fait qu'elle est divorcé avait chagriné grand nombre de son entourage.

"Je ne suis pas totalement d'accord avec toi, c'est juste que plus on m'enferme, plus j'ai envie d'être libre..."

Même l'idée un jour d'avoir une famille ne lui paraissait pas répoussante, ne lui paraissait plus autant en tout cas. Il avait bien eu un moment où jamais il n'aurait songé à avoir une famille, mais malgré son jeune âge, il commençait déjà à s'assagirent. Voir es amis former des familles et le laisser seul n'y était pas pour rien non plus.

"TU sais aussi repoussante soit cette idée, je vieillis... et ça reussit pas à mon indépendance..."

Il jour où il se poserait pour de bon n'était pas pour tout de suite, encore 5 ans peut être, mais Lyam le sentait venir algré lui. Puis la jeune femme mit Lyam en garde, ce qui lui fit sourire en coin.

"Je ne crains pas grand chose..."

Et la seule personne qui avait pour le moment la capacité d'entraver sa liberté était Konoé car elle lui était importante, mais il se passa de dire qu'elle était son point faible. Son coeur battait pour elle, et quoiqu'il en dise, c'était le seul danger, pour elle et pour lui.

Ensuite, ils étaient sortis pour se rendre dans un magasin de musique et Lyam reussit à génée la jeune femme.

"T es mignonnne quand tu souris de cette manière..."

Il sourit amusé, avant qu'il ne joue à son tour. Il répondit alors à Konoé.

"Cette chanson t'es réservé, il n'y a qu edroit qui à le droit de l'entendre..."

Puis Lyam décida d'investir une partie de son argent dans ce piano blanc. Il paya directement tout en donnant une adresse d livraison puis répondit aux paroles de la jeune femme.

"J'ai bien le droit de me faire plaisir de temps en temps, non ? Puis je penserais à toi chaque fois que je le verrais."

Puis il fallut y aller, alors ils se rendirent tout deux à la réception. Shoei était présent, Lyam avait cette sorte de detecteur inconscient, qui faisait qu'il ne pouvait pas louper sa présence, de ce fait il était tout paticulièrement méfiant. Il n'avait qu'une envie, c'était de rester au coté de sa princesse, mais le problème étant que montrer trop de jalousie n'était pas bon, alors il s'éloignait d'elle pour s'occuper d'autre chose, mais lorsqu'il aperçut quelqu'un un peu trop intéresser, il ne pu se retenir et donna un coup de coté au jeune homme.

-Mais pour qui ...

Il s'arrêta en milieu de phrase surement surprit et effrayé pr l'air démoniaque de Lyam qui montrait bel et bien son mécontentement.

"Un problème ?"

Lh'omme avait les ongles de Lyam planté dans la main.Il abandonna rapidement. Il vit alors son prétendu père se montrer et inconsciemment il se rapprocha de Konoé avec un regard noir. L'homme s'approcha et salua Lyam puis Konoé.

'Bonjour mademoiselle, j'espère que vous passer une bonne soirée..."

Puis il fut vite enbarquer paru un flot de personne. Il entoura alors Konoé avec ses bras.

"Je crois que te lacher serait inconscient de ma part... Trop de genns te court apres..."

Il lacha un grognement agacé.

- D'un côté c'est plutôt logique...

Enfin lui, il ne gênait pas pour la mettre en cage. Même s'il le dissimuler quelque peu, rien qu'a voir les fois ou elle parle avec des hommes ou qu'elle sourit un peu trop à un autre homme que lui. Il s'enflamme immédiatement tout en montrant a qui elle appartient. Konoé a finit par s'habituer et bizarrement quand il s'agitait ainsi cela la rendait plus calme afin de l'apaiser. Sinon elle s'enflamme toujours autant. En tout cas Lyam insinuait qu'il devenait plus sage ce qui fit sourire amusé la jeune femme.

- Eh oui. Monsieur devient un petit papi.

Konoé se mit a sourire d'un air amusé avant de le mettre en garde. Il ne craignait pas grand chose hors, elle savait pertinemment que son entourage pouvait être atteint. Dont elle, mais elle doutait qu'elle soit une cible favorite. Il est certes possessif, mais pas au point de se battre pour elle si un problème familiale survenait.

Puis ils sortirent en ville histoire de se changer les idées. En passant il s'arrêtèrent a une boutique de musique ou un beau piano blanc attira son attention. Ravi Konoé en joua et fut complimenter par Lyam qui la gêna immédiatement tout en lui faisant faire une sourire timide. Ce qu'il trouva encore plus mignon et qui fit réagir la jeune femme en rougissant d'un air embêter. En plus de lui dire que cette chanson lui était dédié.

-...

Konoé ne savait pas quoi répondre, mais le pompon vint avec le piano blanc puisqu'il l'assimila a elle. Il penserait a elle a chaque fois qu'il le verrait. Konoé était complétement embarrassé et détourna la tête toujours agacé et rouge de gêne.

- N'importe quoi...

Konoé dit ensuite de partir pour la réception, cela changerait de sujet tout en évitant de continuellement l'embarrasser. Être inondé de belle parole n'était pas du tout dans ses habitudes. Surtout avec un caractère aussi difficile que le siens. Konoé participa comme a son habitude au discussion allant de personne en personne. Bien sûr on la draguait c'était évident, mais elle répondait toujours poliment ou avec un sourire polie. Lyam faisait des va et viens entre elle et les autres convives. A chaque fois qu'on était trop insistant avec elle, il arrivait pour marqué son territoire. D'ailleurs il recommença en donnant un coup dans le bras d'un des convives. De plus son ton menaçant était particulièrement dissuadant ce qui gêna un peu Konoé mais qui n'osa rien dire. Elle n'était pas mécontente non plus. D'un côté Lyam la faisait rire. Konoé détacha doucement la main des deux hommes avant de se mettre plus près de Lyam afin de l'apaiser.

- Tout va bien n'est ce pas ?

Elle regarda l'autre invité qui fit un signe de tête avant de disposer. Konoé souffla de soulagement avant de parler doucement.

- Tu trouve pas que tu en fais un peu trop. Aller jusqu'à lui planter tes ongles dans sa main quand même... Lyam...

Puis elle vit Lyam se rapprocher d'elle tout en regardant quelqu'un d'un air menaçant. Konoé se tourna pour voir qui c'était et elle fut surprise de voir Mr Takashima. Il les salua et elle fit de même de manière très respectueuse.

- Bonsoir. Elle est excellente Mr.

Elle le regarda partir dans un flot de monde avant de regarder Lyam qui ne se détachait pas pour autant. Il l'enlaça même pour être sur de la garder avec lui. Selon lui trop de personne la convoite. Konoé sourit d'une manière embêté avant de répondre.

- Il n'y a pas que ça tout de même.

Konoé lui sourit avant de l'embrasser doucement quand Shoeï s'était enfin décidé a les rejoindre.

" Eh bien tu me quitte pour être avec lui. Tu sais pourtant que la stabilité n'est pas son fort. Une fois lacé il te trompera, si ce n'est pas déjà fait."

Shoeï regardait Lyam d'un air noir visiblement énervé qu'un type comme lui, lui ai pris sa femme

La jeune fmme trouvait évident qu'il veuille plus de liberté quand une personne tentait de le mettr en cage. Hors ce n'était pas si évident, aors qu'il y en avaient qui vivaient très bien le fait d'être enfermés, pour lui c'était vouloir sa mort, en tout cas dans le cas de son véritable père qui voulait faire de lui une marionette à son service. Il n'y avait donc ausune chance qu'il laisse son père l'enfermer.

"Je ne deviens pas un papi, pas encore..."

Il regarda la jeune femme et finit par lui mettre une pichenette dans le front. A présent il s'imaginait en vieillard tranquille, cette vision le dégouta et remit au bout du jour la jeunesse de Lyam, son heure était encore loin d'être arrivé.
Par contre, il fut mis en garde par la jeune femme, cependant, il était sur que ses parents et amis ne serait pas touché, cela n'apporterait aucun avantage à celui qui bloquait son chemin, et seule Konoé avait des chance de faire réagir le chanteur au quart de tour. Elle étit importante puisqu'elle avait réussit à atteindre une place spécial, elle était la seule depuis bien longtemps à avoir reussit à l'avoir, même si ce n'était pas tout à fait la première.

Vint le moment où il sortirent en ville, Lyam se plaisait à embarasser Konoé à l'aide compliment véritable. Il caresse avec douceur la tête de la jeune femme en la voyant gênée, mais il souriait aussi bien amusé. Puis il décida d'acheter le piano, Konoé, par les paroles qui la concernait finit par êre totalement rouge, et même si elle detournait la tête, il lui attrapa le visage pour le tourner vers lui et admira un petit moment le visage de la jeune femme, il allait parler quand elle le coupa pour qu'ils se rendent à la réception.

Lyam n'aimait pas ce genre e réception, il se sentait forcé de s'éloigner tout en gardant Konoé comme si elle était un diamant d'une rare valeur, on pouvait l'approcher, et l'admirer mais tout en gardant des limites. Lorsque l'un les dépassa il ne put s'empêcher de faire part de son mécontentement. Il n'était pas pas en colère, il était seulement un petit peu agacé. Ce fut Konoé qui dut s'interposer pour calmer Lyam, il lâcha tout de même u n grognement.

"Ca fait un quart d'heure qu'il te regarde en rêvant de mettre ses sales pates sur toi, j'allais pas le laisser faire non plus. C'est le seul avec qui j'ai réagit comme ça, soit contente ça pourrait être pire."

Puis le véritable père de Lyam vint à leur rencontre, Lyam savait qu'il était venu tester le terrain et surtout faire du repérage alors il était méfiant, même si pas complètement sur ses gardes. Une fois qu'il fut partie, la tension chez Lyam descendit un peu et il regarda Konoé.

"Fais attention à lui, il cache bien son jeu, il a plusieurs siècles d'entraînement derrière lui..."

Lyam prit Konoé dans ses bras, histoire de montrer se possession, mais aussi par pur plaisir. En guise de réponse aux paroles, il arbora un simple sourire, puis il fut embrasser par Konoé. Il esquissa un sourire tendre,, justement attendrit par la jeune femme, il l'aimait quoiqu'il en dise. Cependant, il se crispa au moment où il entendit Shoeï, et il tourna le regard vers lui avec un regard menaçant.

"Arrête de prétendre connaître tout de moi Shoeï...."

Sa voix était glacial, et son sang bouillonnait dans ses veines, au point même qu'il était limite à prendre sa forme de démon malgré sa chaîne qui la retenait. Il souffla doucement afin de reprendre son calme.

"Et contrairement à toi, je ne l'ai par forcée à venir avec moi. Si un jour elle souhaite partir, je ne lui interdirait pas."

Il allait aussi ajouté qu'il ne l'affrayait pas, mais il lui avait fait peur, même si ça n'avait pas été son but. Un silence valait bien mieux sur un tel sujet. Lyam s'adressa alors directement à Konoé en la regardant.

"T'imagine même pas les mois d'effort qu'il m'a fallu pour esssayer de t'intéresser, si vraiment je devais me lasser de toi je l'aurais fait avant."

Il lui sourit d'un air idiot, il doutait que la jeune femme sache depuis combien de temps il l'intéressait.

Konoé adorait taquiner Lyam, bien sûr il ne réagissait jamais aussi vivement qu'elle sauf quand sa jalousie venait prendre le dessus. Là tout était fait pour qu'il s'énerve, mais pas contre elle. Ou quelque fois avant qu'il ne sorte ensemble. Ce qu'elle avait encore dut mal à croire. Cela lui paraissait encore assez vague... La jeune femme ne savait pas vraiment si elle était entre l'amitié ou l'amour. En ce qui la concernait, elle ne regardait que lui, cependant elle restait méfiante. De peur d'être trop blessé, mais c'est instinctif surtout chez elle.

Lyam et elle finirent par sortir avant de se diriger à la réception. Un milieu qui était complétement habituelle pour elle. Mais Lyam n'appréciait pas vraiment. Il essayait de garder une certaine distance mais quand un homme se faisait trop insistant il était obligé de venir le dissuader de manière assez brutale. Ce qui obligea Konoé d'intervenir afin de calmer le jeu. Elle le réprimanda un peu, mais c'est vrai Lyam aurait put être pire... Elle le regarda puis soupira.

- C'est vrai... Reste que c'est pas une raison pour planter tes ongles.

Konoé resta auprès de son homme jusqu'à ce que le père de celui-ci arrive pour les saluer brièvement. Lyam l'avait complétement entouré avant de la mettre en garde. Elle le regarda avant de réfléchir posément a la suite. Lyam s'était montrer particulièrement possessif et protecteur quand il est arrivé. Ce n'est pas le genre de Lyam...

- Maintenant oui, je dois redoubler de prudence.

Avant elle pouvait passer pour une seule copine du moment. Mais là c'était clair, Lyam s'interposait devant les obstacles qui pourrait la blesser. Il ne faut pas être un génie pour comprendre cela. En tout cas elle n'était pas prête de le laisser l'atteindre. Même si ce sera difficile et qu'elle devra jouer la comédie pour fuir. Elle espéra cependant qu'elle ne causerait pas de tord a Lyam... Konoé le pris dans ses bras avant de l'embrasser quand Shoeï arriva tout en critiquant ouvertement leur relation.

- Bonsoir a toi aussi Shoeï.

Konoé était légèrement agacé mais elle sut parfaitement garder son calme. S'énerver ne menait a rien surtout avec un homme aussi têtu que lui. D'ailleurs Shoeï ne manqua pas à cracher du venin en sa direction.

" Je ne prêtant rien mais c'est tellement évident et connu. C'est pas comme si on ne savait pas que Lyam était un coureur de jupon. D'ailleurs des paris sont ouvert vous concernant. Combien de temps tu vas mettre avant de la lâcher."

Konoé eut cette réplique assez en travers de sa gorge. C'est vrai qu'elle avait peur qu'il se lasse d'elle. Elle n'en avait aucune envie. Déjà qu'elle avait fait succomber sa fierté pour laisser sortir ses sentiments. En tout cas Lyam ne la retenait pas en gage. La jeune femme regarda en haut tout en pensant qu'elle était assez en cage avec lui, mais cela ne lui déplaisait pas trop.

" C'est sûr en l'enfermant comme tu fais elle ne peut pas voir ailleurs."

Puis Lyam parla a la jeune femme en lui disant qu'il lui courrait après depuis un certain temps. Donc il ne la laisserait pas comme ça. Elle allait répondre mais Shoeï envoya ses paroles venimeuse encore une fois.

" ça te va bien de dire ça, alors que je ne compte plus les filles avec tu t'es amusé. Tes succès vont bon train dans les rues"

Konoé soupira avant de prendre la parole en s'imposant clairement tout en tenant la main de Lyam.

- Bref ! Je ne vais pas supporter cette querelle idiote plus longtemps. Lyam et moi sommes ensemble et tu devras bien finir par l'admettre. Certes il n'est pas un prince parfait comme rêve les jeunes filles. Mais en ce qui me concerne il a le caractère qui me fait rester auprès de lui. S'il était autrement je serais partit depuis longtemps. Alors arrête de chercher un défaut chez lui qui certes m'a exaspéré pendant un temps. Mais qui pour le moment n'a pas a m'inquiéter puisqu'il n'y a pas lieu d'être. Bonsoir Shoeï !

Sur ce elle tourna les talons tout en entrainant Lyam a sa suite pour se diriger a un autre endroit. Konoé aimait lyam pour ce qu'il était et cela ne changerait pas ou serait loin de l'être.

Lyam n'était pas doué pour communiquer ses pensées, il ne l'avait jamais été, mais sa jalousie passait parfaitement bien contrairement à ses autres sentiments. Pourtant, il arrivait tout de même bien à la retenir, puisqu'il laissait les hommes approcher Konoé, bien sûr, il y avait des limites et si les hommes se montrait impoli ou un peu trop avenant, la situation était différente. En l'occurence, un invité regardait avec beaucoup d'insistance Konoé, et avec un regard qui ne trompait pas Lyam, d'où le fait qu'il réagisse en lui plantant les ongles dans la main. Konoé le réprimanda, mais il n'était pas d'accord avec elle.

"C'est pas comme s'il avait été en sang, si ça avait été avec ma forme démoniaque j'aurais comprit, mais là, même pas..."

Puis le père de Lyam se montra, juste afin de faire du repérage. Il les salua pour repartir tout de suite après, puis la jeune femme disait qu'il fallait maintenant qu'elle redouble d'attention.

"Crois-moi le repérage ça fait déjà bien longtemps qu'il l'a fait..."

Ensuite ce fut Shoei qui vint à l'attaque. Lyam de son coté n'avait aucune patience avec cet homme mpourrit jusqu'à la moelle.

"Pari sur la durée, et perds... Oui j'ai eu tendance à courir après les femmes que ce soit pour me débarasser de Mana, ou même pour tente d'oublier mes sentiments pour Konoé, mais je n'ai aucune raison de continuer."

Il était avec Konoé, et aller voir ailleurs ne l'intéressait guère, puisqu'il n'avait d'yeux que pour la jeune femme.

"Je l'enferme peut être un peu, mais jamais je ne l'ai empêcher de discuter avec qui que ce soit, tu es la seule exception..."

Ensuite, il lui disait qu'il ne comptait plus le nombre de fois où il s'était amusé avec des filles hors, il sortit soudainement.

"Trois depuis que j'ai rencontre Konoé, chacune pour une journée, et ça fait bien longtemps."

Très longtemps et ça avait eu principalement pour but d'oublier celle qu'il aimait, et avec qui il était a présent. Puis Konoé prit la paroles et Lyam la regarda surprit avec de la suivre sans vraiment avoir le choix.

"Merci, je crois que je lui en aurait foutue une sinnon..."

Il regarda Konoé avec douceur :

"Pourquoi j'aurais besoin d'aller voir ailleur quand tu me suffit amplement. Et puis il s'est mal renseigné, je ne suis pas si infidèle que ça;.."

Il sourit amusé avant d'embrasser sur le front la jeune femme.

"Je te protégerais tant qu'il le faudra de lui et de n'importe qu'elle danger."

Il gara un moment de silence.

"Et si un jour tu devais aller voir un autre homme, j ne dirais rien, parce que je suis mal placer pour dire quoique ce soit, et... "

Il se coupa.

Konoé gardait toujours un oeil sur les actions de Lyam. il était bien capable de casser le bras d'un homme juste parce qu'il avait envie de se rapprocher d'elle. Du coup elle était quelque peu pointilleuse même s'il n'y avait pas de drame. Certes il n'y avait pas de sang mais bon, Lyam s'imposait particulièrement. Enfin, elle abandonnait pour le moment.

- D'accord j'ai rien dit.

Puis le père de Lyam passa avec tout ses mises en gardes envers lui. Konoé devait redoubler de prudence hors. Il n'était pas le seul danger auquel elle était exposé au contraire. Son propre père était le premier. Il comptait bien la casé et cela ne tarderait pas a d’officialisé.

- Si seulement il était ma seule crainte...

Konoé soupira exaspéré par la tournure des choses avant de voir cette fois débarquer Shoeï et ses mauvaises paroles. L'ambiance était insupportable avec une dispute complétement idiote. Lyam se défendait en disant qu'il avait vu d'autre femme pour oublier ses sentiments envers elle. Cela la surpris et la fit même légèrement rougir. Elle ne s'attendait pas à ce que Lyam ait autant d'égard pour elle voir pas du tout... Elle qui croyait être tombé en première, sans doute pas. En tout cas les deux hommes bataillait comme c'est pas permis ce qui ennuya Konoé. Malgré les choses qu'elle apprenait dont elle était particulièrement flatté. Ainsi elle mit un terme a cette discussion et s'en alla avec Lyam. En tout cas il la remercia sinon il l'aurait frappé.

- J'en doute pas ! Le fait que tu t'es tenu m'étonne par contre.

Elle sourit d'un air amusé avant de lui embrassé doucement la joue. Lyam continua en disant qu'il n'était pas infidèle avec elle puisqu'elle lui convenait. Konoé était vraiment touché et ne savait pas vraiment quoi dire. Avoir ses mots de la part de Lyam était tout simplement étonnant et incroyable. Puis Lyam s'emballa complétement avant de dire des choses dont il était parfaitement incapable de tenir. Et il dut s'en rendre compte puisqu'il se tue. Konoé sourit amusé avant de lui caresser le visage.

- Tu vas trop loin que tu peux supporter.

Elle sourit doucement avant de continuer.

- Mais tu es adorable.

Konoé le regarda un instant avant de demander.

- On rentre ? J'ai envie d'éviter un partie de la soirée...

Quand elle s'apprêta a partir quand son père arriva l'air déterminé.

- Cette partit...

Konoé soupira avant de se tenir droite face a son père. Celui-ci jeta un regard noir a Lyam avant de parler uniquement a sa fille.

" Konoé, j'ai cru pourtant être clair. J'ai compris que Shoeï n'était peut être pas ce qui te convenait. J'ai accepter ton divorce. Et voilà que maintenant tu traîne avec un chanteur de minette. Tu sais très bien de quoi on a parler et je te somme d'arrêter immédiatement tes bêtises. Faits un choix parmi ceux qui pourrait nous être utile dans notre milieux. Et non pas un type pareil. C'est de la stabilité que les Mori ont besoin, non de ça !"