"Et si tu étais un alien en réalité ?"

Adrian attendait au coin d'un rue, il fumait une cigarette. Il recrachait la fumée qui encrassait ses poumons doucement. Il attendait un ami qu'il n'avait pas vu depuis longtemps car, bien qu'Altaar soit le lieu de sa naissance, il avait passé une bonne partie de sa vie sur le sol de Virtual Dream.

Lorsque son ami arriva, il se saluèrent amicalement, bien qu'une grande froideur se sentait dans la voix de Adrian. Il était naturellement froid de ce fait, il était difficile d'avoir une convrsation agréable avec lui car toute se soldait généralement par un silence pesant. Les questions, il y répondait quand cela lui chantait, d'autre fois il répondait en frappant, c'était une solution radicale. Ce n'était pas que notre jeune démon était bagarreur, c'est simplement, que pour lui cetaines personne ne omprennent qu'avec les point, et puisque personne ne lui a prouver le contraire, il continu sans mal.

Alors qu'un grand silence s'était installé, l'ami de Adrian lui proposa de l'emmenner dans un club d'hôte, d'hôtesse serait lus exact, seulement, Adrian refusa ssans même laisser l'ombre d'une chance à son ami.

Au final, ils prirent la voiture pour se rendre à premiere vue chez l"ami, apres une seconde vu ce n'était pas du tout par là qu'ils allaient puisqu'ils s'était rendu sur une place de parking dans une rue. L'ami d'Adrian le traina, jusqu'au lieu où il souhaitait l'emmener.

Un peu forcé, Adrian avait fini par rentrer dans le club, et ils furent accueillit par des Hôtesse, alors que l'ami semblait ravi, notre jeune démon semblait les ignorer royalement, ce que ne loupa pas son ami. Une fois installé à une table, L'ami demanda :

"Et si tu étais un alien en réalité ? Tu ne réagis même pas lorsqu'il y a des belles filles à coté de toi ?"

Adrian soupira avant de répondre :

"Qu'est ce que ça peut te faire ?"

Araia travaillait au club se soir. Encore une fois quelque chose qui l'ennuyait en sois puisque les client n'était pas des plus canon. Au contraires, ils sont de plus en plus affreux a regarder. La jeune femme soupira avant d'enfiler le costume de serveuse et s'attacher les cheveux en queue de cheval les laissant retomber dans son dos. Une de ses collègues étaient absente donc c'était à elle de la remplacer. Araia était très belle, sans doute l'une des plus belles mais son caractère ne collait pas trop aux hotesse quand quelque chose l'agaçait. Elle avait tendance à être trop franche ou ne pas dépasser certaines limite. Hors sinon c'était une femme très doué et manipulatrice.

Elle se mit a se mouvoir élégamment entre les tables pour pouvoir servir les clients. Quand elle arriva a une plutôt particulière. Deux hommes étaient assiégé tranquillement, l'un ravi et l'autre au visage complétement fermé. Araia se dirigea a leur tables avant de faire un demi sourire charmeur au plus souriant avant de demander.

- Que désirez vous boire?

Araia attendit sa réponse avant de demander une chose que les autres avaient surement oublier comme à chaque fois.

- Est ce que vous avez une hôtesse particulière a votre service ?

Comme certains ne désiraient qu'une hôtesse il se pouvait qu'il est également sa préférence. Par contre elle ne demandait rien à celui aux visage fermer comme une huître parce que justement il lui faisait penser à un homme frigide, coincé et frustré de la vie...

Adrian n'était pas quelqu'un de très borné, il avait ses idées en tête, mais généralement, il fnissait par céder face aux insistance des personnes qui lui posaient des question. Hors pour les faire taire, cela pouvait très mal finir. Les seuls qu'il pouvait encore supporter était ses amis et il n'en avait que tres peu. La plupart des gens qu'il aait connu avait fini par le fuir à cause de son comportement frois, insensible et même irrespectueux.

Il avait fini par céder à son ami, sans en réalité avaoir le choix. Il se retrouvait ainsi dans un club d'hôtesse qui ne valait pas grand chose, bon elles étaient jolie, mais ce n'était sûrement pas Adrian qui allait penser ceci. Il pensait sûrement mais savoir ce qu'il se disait à lui-même était une tâche impossible. Il ignora tout d'abord la serveuse qui arriait en regardant même ce qui se passait à l'oppose, l'ami répondit donc à sa place.

"Deux de votre cocktail spécial !"

Puis, elle demanda en s'adressa à l'ami d'Adrian s'il voulait une hotesse particulière.

"Tant qu'ele est jolie, je n'ai pas d'exigences..."

Adrian finit alors par regarder du coin de l'oeil la jeune femme qui se trouvait non oin de lui. Il la regarda froidement, avant de retourner son attention sur le vide. L'ami dit alors :

"Excusez le..."
-Elle n'en a pas besoin, ce n'est pas comme si j'avais fait quoique ce soit...

Il detourna le regard.

Araia arriva pour prendre la commande et nota les deux verres. Ensuite elle demanda pour l'hôtesse et il voulait juste un belle fille. "Bah voyons..." Elle fit un sourire commercial avant de sentir un regard sur elle assez froid et tourna la tête vers l'autre qui était le visage toujours aussi fermé. Comme un gardien de banque... Seulement l'autre s'excusa de son comportement ce qui était en sois limite vexant... Araia soupira avant d'appuyer les paroles de l'homme froid.

- Absolument. Vaux mieux quelqu'un de frigide que le contraire.

Sur ce elle s'en alla pour préparer les commandes. Au passages elle demanda aux hôtesse de libre de se décider pour la table. Seulement aucune ne voulait y aller.

" Araia... Il fait peur, je veux pas y aller."
" Moi non plus... Il va nous crier dessus."

Elle les regarda exaspéré avant de se détacher les cheveux tout en enlevant son tablier.

- C'est bon je m'en occupe. Remplacez moi en échange.

Les filles furent ravi avant que Araia ne prenne les verres pour ensuite les poser sur la tables.

- Je suis navré toute nos hôtesses sont prise ou réservé dans pas longtemps. J'espère que ma présence vous conviens.

Elle leur sourit avec son charme spécial en action avant de s'installer entre les deux hommes. Bien sûr elle dragua comme il se doit l'homme plus simple d'esprit selon elle avant de regarder l'autre et lui lancer discrètement.

- Alors combien tiendrez vous dans cette endroit ? Surement pas une heure.

Elle sourit amusé. Il allait sans doute craquer dans pas longtemps c'était évident. En plus il serait vraiment incapable de jouer a son jeu. Tout cela se lisait dans le regard d'Araia. Une moquerie doutant fortement de ses compétence.

Adrian n'avait aucun interêt à rester ici, si ce n'était pour son ami qui devait le loger pour la nuit. Il ne tenait pas à dormir dehors où à chercher un hôtel à cet heure ci sous prétexte qu'il ne voulait pas venir à cet endroit. Certes, ce n'était pas l'endroit le plus agréable au monde, mais c'était encore vivable, comparé à certaine partie désertique de la planète. Il préfèrait largement être danc ce club que d'être en train de mourir de soif en plein milieu du désert. Puis en entendant les parole de lajeune femme, l'ami la regarda sans comprendre ce qu'elle insinuait par ses paroes tandis que Adrian l'ignorait toujours autant, il écoutait le moindre mouveent et la moindre de ses paroles mais rien de plus.

Les hôtesses ne voulait pas aller à leur table car Adrian faisait peur, elles étaient si peu discrete que Adrian et son ami entendait de tout.

"C'est de ta faute, Adrian..."

Il soupira d'un air de dire qu'il aurait fallu ne pas l'emmener ici, si la situation de lui convenait pas. Du coup, l'ami se tut. En revenant la serveuse prenant le rôle d'hôtesse, et trouva une excuse sur le manque de présence d'une véritable hôtesse.

"Votre présence nous convient tres bien, n'est ce pas ?"

Il s'adressa à son ami qui ne lui répondit pas en détournant la tête, cet ami était toujours aussi ennuyeux. Alors qu'elle s'occupait de son invité, Adrian regardait autour de lui, l'air las jusqu'à ce que la jeune femme ne lui adressa la parole. Ces dernières lui arrachèrent d'ailleurs un sourire en coin. Il ne parla pas pour autant, optant pour l silence.

Ce fut bientôt l'heure de paritr, lorsque Adrian et son ami se levèrent. Adrian avait remit sa veste tandis que l'ami passait ses derniers moment en préence de l'hôtesse.

"A une prochaine fois, peut être ..."

Araia était bien obliger de faire l'hôtesse à la place des autres qui avait une peur bleu de Adrian. Il n'y avait pas de quoi pourtant l'est juste complétement hermétique à toute relation sociale ou presque. Enfin le principal c'est que le vrai client aille bien. Elle lui demanda de l'excuser et si sa présence leur convenait. Ce qui était bien le cas du coup elle s'installa auprès d'eux et effectua son boulot sans problème. Mais elle n'oublia pas pour autant Adrian puis qu'elle le provoqua. L'homme en question fit un discret sourire ce qui l'étonna assez. Elle ne le pensait pas avoir une telle expression même pour moquerie. Il était si fermé. Mais le temps s'écoula rapidement et ce fut l'heure que les deux clients s'en aille. Araia leur souriait et salua également celui qui passait vraiment le plus de temps avec elle.

- Je l'espère.

Elle sourit et lui embrassa la joue avant d'aller vers Adrian et l'embrasser par surprise. Bien sur ce fut court mais juste assez pour lui donner son emprise.

- A la prochaine.

Araia sourit d'un air amusé avant de partir une fois les clients raccompagné. Les autres hôtesses ne comprenaient pas comment elle faisait... Mais c'était clair, Araia avait plus de caractère et de courage que ces filles. Elle continua de travailler avant de rentrer chez elle.

Les jours passèrent tranquillement et Araia arrêta de faire la serveuse reprenant ses clients quotidiens. D'ailleurs elle étai avec un de ses habitués. Il venait la voir souvent, tout les deux jours. En même temps, elle l'avait également piégé afin d'avoir une tranquillité pendant ses moments de services continue. Et puis il était plutôt intéressant comparé à d'autre clients. Un vrai plaisir en sois.

Adrian aurait préféré paerir le plus vite possible, seulement, son ami ne semblait pas décider à partir restant le plus longtemps possible avec m'hôtesse. Il était difficile de dire si le jeune homme s'ennuyait ou non, son visage était trop peu expressif, et puis à supposer qu'il ne ressent strictement rien en plus de ne rien montrer, il ne ressentirait même pas l'ennui. Les gens le trouvait généralementinsensible, et ils avaient raison, du moins en apparence. Ils restèrent jusqu'au bout, lorsqu'ils purent enfin partir.

Adrian restait ilencieux, et lorsque la jeune femme vint l'embrasser, il ne broncha absolument pas. Comme s'il n'avait ressentit aucune surprise ou quoique ce soit d'autre. Il ne broncha pas non plus sur le fait même qu'elle l'est embrasser rapidement L'ami dit alors :

"Ce n'est pas juste, c'est toujours toi qui a du succes..."

Il soupira avant que tout les deux ne rentrent chez lui, dans son appartemment. Cependant, les jours passèrent, trois pour être exacte et au quatrième, il ne pouvait plus resister. Il ressentait cette affreuse sensation de manque et en connaissait tout a fait la cause puisque ça aviat comencé lorsque l'hôtesse l'avait embrassé. Cela devati être causé par un pouvoir il ignorait lequel.

Une fois arrivée au club, à pied, il entra et chercha des yeux l'hotesse qu'il avait vu, hors, il avait peine à se souvenir de son visage, alors il ne le remarqua pas au premier coup d'oeil. il ne voyait pas l'interet de retenir un visage qui n'avait aucun interet.

Il avait fini par la trouver avec un de ses clients et s'approcha sans faire attention à ce qui pouvait se passer autour de lui. Il lui parla avec un voix monotone, mais il y avait quelque chose dans sa voix d'assez charmant.

"Enlève-moi cette espèce de dépendance..."

Araia s'occupait de son client avec beaucoup d'attention, lui susurrant des belles paroles en plus de le charmer avec son pouvoir particulier. Il se laissa faire tout en se plaisant des discussions abordés. Cependant quelque chose allait lui retomber rapidement a la figure. Quelque chose qu'elle avait vite fait d'oublier. Elle s'en rappela quand de l'agitation se fit entendre à l'arrière avant de voir l'homme frigide arrivé. Araia le regarda surprise lorsqu'il lui demanda d'enlever cette sorte de dépendance.

- Ah oui ?

Araia se leva et s'excusa auprès de son client avant de dire à une hôtesse de prendre sa place. Ensuite elle attrapa le bras de l'homme et commença à le guider tout en faisant son charme commerciale.

- Venez, je vais vous conduire à une salle privé.

Sur ce elle l'emmena dans une salle suivit de tout les regards interloqué ou effrayé. Elle aurait préféré lui dire d'attendre mais vu la tête des autres c'était chose impossible. Araia soupira une fois arriver et le lâcha tout en fermant la porte.

- Je bosse là. Alors pour parler de bêtise aussi grande vous auriez put attendre que je finisse... Mon temps est compter.

Elle le regarda agacé jouant parfaitement la comédie. Elle savait qu'il avait une dépendance, mais elle était dans l'incapacité de l'enlever. De plus là elle n'avait pas du tout envie de le soulager.

Adrian n'avait pas sentit tout de suite ce besoin absolu de voir la jeune femme, sinon, il s'en serait plaint tout de suite. C'était arrivé au fur et à mesure des jours, petit à petit, il avait fallut qu'il commence à ressentir cette dépendance, hors, étant le seule sentiment qu'il ressentait, il trouvait ça très désagréable malgré sa résisistance. Pour essayer de se calmer, il avait été voir l'hôtesse lui demanda de faire disparaitre ce qu'elle avait fait apparaitre chez lui.

Elle le conduisit alors en lui attrapant le bras dans une salle privée. Il la suivit sans un mot avant qu'elle ne le lache dans la salle. Il attendait au moins des explication, puisqu'elle avait fait expres de l'embrasser. Il était sûr que c'était de sa faute. Cependant, elle dit le contraire.

"Ne te fous pas de moi..."

Sa voix était comme d'habitude monotone, cependant, une once d'agacement pouvait se lire en elle. D'ailleurs, il lui attrapa le bras vant de la plaquer au mur.

"Arreter de vous moquer de moi e maintenant retirez cette dépendance..."

Il n'était pas du tout content, même si au premier coup d'oeil c'était diffiile à dire.

Araia fut obliger d'amener l'autre type dans une salle où on ne viendrait pas les déranger au contraire. C'était généralement des salles beaucoup trop intimes pour avoir l'audace d'y pénétrer alors qu'un client et une hôtesse y sont. Enfin, Araia ne voulait pas que son histoire de charme soit émis au grand jour. Sinon sa patronne exigerai qu'elle fasse cela avec une majorité de client... Chose qu'elle ne voulait en aucun cas avoir.

L'homme en face ne fut pas convaincue par ses paroles et lui disait clairement qu'elle se moquer de lui. Araia le regarda les sourcils froncé agacé par un tel comportement. Mais il n'en resta pas là puisqu'il l'attrapa avant de la plaquer contre le mur. Araia fit une grimace de douleur vu qu'elle s'était mal taper l'épaule avant de le regarder d'un air aussi énervé.

- Même si c'était le cas et que je pouvais. Je n'aurais aucune envie de l'enlever avec un comportement pareil.

De toute façon elle ne pouvait pas. C'était une chose claire et net, elle évitait des types qu'elle avait embrassé pour la première fois. Mais eux, avait un manque insupportable qu'aucune autre pouvait assouvir. C'était comme ça... Et tout les remèdes du monde n'y font rien. A elle de régulé... Lui il était tellement hermétique en tout qu'elle aurait cru qu'il supporterait bien plus longtemps. Hors seulement trois jours au lieux de deux... Araia soupira et se dégagea rapidement de son emprise avant d'aller vers la porte.

- De toute façon je peux rien pour vous, donc allez vous en.

Araia commença a ouvrir la porte. En temps normal elle l'aurait embrassé pour le calmer un peu. Mais son comportement brutale ne lui plaisait pas. Ce n'était pas une manière pour demander les choses même si c'était sa faute... D'ailleurs... Elle referma immédiatement la porte en soupirant le regard tourné vers le bas.

- Oh ! Et j'en ai marre !

Elle alla vers lui en lui attrapant le visage pour l'embrasser plutôt furieuse avant d'arrêter.

- Je ne peux faire que ça pour le moment. Mais tenez jusque dans quatre jours et plus si vous y arriver.

Peut être qu'il arriverait a se défaire du pouvoir. Mais c'était extrêmement difficile. Il allait obligatoirement revenir dans quatre jours. Cependant s'il revenait avant pour avoir sa dose. La résistance allait encore plus baisser et l'état de manque augmenterai beaucoup plus rapidement. Sur ce elle ouvrit la porte tout en lui faisant signe de sortir.

Adrian n'était pas très patient malgré le fait qu'il ne ressente que très peu d'émotion comparer à la normale, du coup, il n'était pas prare du tout de le voir être agacé pour un rien, mais il fallait vraiment le chercher pour réussir à le faire réagir violemment, car il était les trois quart du temps calme, si ce n'était en permanence. la jeune femme l'avait emmener à par sûrement pour que son secret ne soit pas dévoiler au grand jour, mais elle ne voualit pas non plus avouer son propre pouvoir ce qui agacé étonnament Adrian qui avait fini par la plaquer contre le mur.

"Enlève le...."

Puis elle avait plus ou moins avoué qu'elle en était la cause, mais qu'elle ne pouvait rien faire,

"Vous avez tout interet à faire quelque chose..."

Il pouvait tres bien supporter cette émotion plus longtemps mais c'était tellement désagréable, que s'en séparer ne serait pas de refus. Si elle ne pouvait pas le faire d'elle-même alors elle devait trouver une solution sinon, il ne la laisserait pas tranquille jusqu'à ce qu'il soit satisfait, ou bien qu'il soit lasser de chercher une solution, de toute manière, même si ce setniment ne le quittait pas, il pouvait tres bien s'y accomoder, et oublié ce sentiment.

Elle voulait à present s'en aller, mais au lieu d'ouvrir la porte pour la refermer derriere elle, elle avait fait demi tout en se plaignant puis elle l'embrassaf urieuse, mais apparemment, c'était finit il ne ressentait plus ce manque. Par contre il était tout aussi persuader que ce n'était pas finit.

"Je ne compte pas revenir, mais vous avez l'air de m'y forcer..."

Il soupira avant de sortir dehors, il resta un moment appuyé contre le mur d'une rue pour réfléchirà une solutions pour faire disparaitre cette dépendance.

Il était vraiment menaçant c'était vraiment très désagréable. L'aider devenait une corvée alors qu'en général elle se met à dispositions de ses victimes car tout de même c'est sa faute et cela ne doit pas être particulièrement drôle... Mais là... Il était tellement imbuvable que la réponse non lui venait systématiquement à l'esprit.

- Avec un caractère pareil, j'ai du mal... Je comprend votre énervement, mais de là à être brutale.

Elle soupira et voulut le viré de la pièce. Mais elle se ravisa et l'embrassa sérieusement pour qu'il n'est plus ce manque. Du moins pour le moment. Adrian ne voulait pas revenir. Elle le regarda agacé avant de répondre.

- Mais ne revenez pas ! Au contraire !

Sur ce elle le regarda partir en espérant qu'il ne serait pas trop en manque la prochaine fois. Un baiser est déjà dur a donner alors un peu plus de sa présence, voir même sa personne, elle en avait aucune envie. Sur ce elle retourna en salle où elle était d'une humeur massacrante. Par chance la journée se termina et elle put rentrer chez elle. Araia oublia de nouveau l'autre type ne pensant plus le revoir et avait demander une semaine de congé. Depuis le temps qu'elle devait les poser. Une succube se chargeait des clients qu'elle gère en général. Enfin, ce n'était pas du tout perdu. Araia décida alors de flaner dans les rues de la ville assez soulager de ne plus faire ce travail pendant une semaine. Plus ça allait, plus cela l’écœurer. Les clients sans doute. Aucun amusement, aucun défis. Voilà le problème. Plus aucun plaisir ne sortait de là.

La raison pour laquelle elle se comportait de la sorte, c'est parce qu'il se comportait de manière brutale. Mais il n'y pouvait rien, il ne pouvait pas s'exprimer autremeent, il ne savait pas le faire tout simplement.

"Je ne suis pas énervé..."

C'était vrai, il n'était pas réellement énervé, juste qu'il exigeait avoir une reponse à ses question et au probleme qu'il avait et que la jeune femme peinait à lui donner. En tout cas, elle ne semblait pas vouloir le revoir alors qu'elle était celle qui l'avait rendu dépendant. Il soupira, sahcant tres bien qu'il ne pourrait sûrement pas l'éviter éternellement.

Il était alors partit en réfléchissant sur la façon dont il pourrait se debarasser de se manque, mais il ne voyait aucune solution clair ce qui était gênant. En tout cas, même au bout de plusieurs jour, il ne ressentait pas un aussi grand manque d'avant ou plutôt, il semblait le ressentir de manière bien ùpons intense que la premiere fois.

Il était sortit afin de se ballader un peu Altaar n'était pas une des villes les plus passionnante ne totament à cause du grand dome transparant qui la couvrait à ccause des tempete de sable qui la balayait en permanence, donnant une ambiance généralement sombtr à lz ville.

il ne s'attendait pas à reoir la demi succube, du coup, des qu'il l'aperçu du coin de l'oeil il fut irresistiblement attirer pat elle. Des qu'il fut trop res il se plaignit.

"C'est de votre faute..."

Il la reagarda les sourcils froncé, tandis que non loin approchait des amis de Adrian.

Araia avait été vraiment soulager de ne pas le voir et même avait complétement oublier son existence. Seulement elle était loin de se douter que sa petite viré en ville allait lui changer encore plus sa vie et la faire complétement basculer. Comme quoi suffit d'une chose pour tout changer... Araia regardait une vitrine quand on l'interpella. La jeune femme fit un sursaut avant de regarder l'inconnu froid avant de s'énerver aussi contre lui.

- T'es malade tu m'as fait peur.

Elle soupira avant de le regarder et lui attrapa doucement le visage pour l'embrasser. C'était beaucoup plus doux que la dernière fois où c'était juste histoire de s'en débarrasser. Araia arrêta et le regarda avant de détourner la tête agacé.

- Voilà. T'as eu ce que tu voulais.

Sur ce elle s'apprêta a partir quand un groupe de gens les regardaient avec un air complétement ahuri. En plus il y avait le type de la dernière fois qui l'accompagnait. Araia sentit la panique lui monter avant qu'elle n'attrape le bras de Adrian pour le prévenir ou plutôt mettre en garde.

- Tu leurs dis ma malédiction et t'es sûr que je te rendrais ce manque des plus insupportable !

Pour elle s'était surtout une malédiction qu'un don. En tout cas elle devint rapidement inquiète cela se voyait sur son visage. Dire qu'elle avait cru qu'il y serait insensible mais pas du tout... Bien la peine de croire que sa malédiction était pas irréversible.

Adrian ne s'était pas attendu à reconter la jeune femme hors du club d'hôtesse et aurait préféré ne pas avoir à la rencontrer. Il ne savait que faire avec elle, elle était plus dérangeant qu'autre chose, et cette sensation irresistible qu'il ressentait étit vraiment horrible. Il avait finit par tenter de se concentrer pour éviter le manque mais la sensation ne s'atténuait pas. Il grommela en entendant les parole de la jeune femme avant qu'elle ne l'embrassa.

"N'embrasse pas les gens des la premiere fois si tu ne veux pas les avoir sur le dos..."

Il soupira, il ne ressentait plus se moque, pas aussi fort qu'auparavant en tout cas, mais il ne pourrait surement pas se passer de cette sensationde sitôt ce qui s'avérait en soit gênant.

Une groupe de personnes le regairdaient surement surprit par ce qui venait de se passer devant eux, voir Adrian embrasser une file était un exploit en soit, puisqu'il n'y portait habituellement aucune interet., puis ele voulut le mettre en garde sur le fait qu'l n devait dire sous eaucun pretexte ses pouvoir. Il la regarda du coin de l'eil un bref moment avant de leur adresser la paroles.

"Cette fille à un sacré pouvoir, méfiez vous... "

Il finit apres un moment de silence :

"Quand elle lache des gaz sa sent les fleurs ..."

C'était totalement idiot ce qu'il disait, il en avait bien conscience mais peut importe.

Araia n'était vraiment pas heureuse de le voir au contraire c'était plus qu’insupportable. D'ailleurs il la critiqua sur le fait qu'elle est embrassé le jeune homme alors qu'elle ne voulait pas le voir.

- Je pensais qu'un mec frigide avait plus de résistance que ça.

Elle soupira avant de l'embrasser et ainsi pouvoir partir mais des personnes les avaient vu. En plus d'être surpris sans doute qu'ils le connaissaient. Elle préféra tout de même le mettre en garde mais il commença a parler.

- Tu...

Elle le pinca fortement au niveau des côtes pour qu'il se taise mais au lieu de sa il dit quelque chose de complétement loufoque. Araia le regarda surprise avant de lui attraper le col furieuse.

- Va mourir !!!!

Araia lui mit un bon coup de point avant de dire fortement.

- Maintenant tu te démerdes tout seul !

Sur ce elle tourna les talons après avoir mit un coup de pied assez brutale et s'en alla loin de tout ce monde

Adrian aurait préféré ne pas la voir, puisque pour le moment il avait réussi à résister à sa dépendance, mais elle avait gâcher tout ses effrots en un instant, car le fait même de l'avoir vu avait décupler son attirance inexplicable.

"Je suis résistant, masi tu n'as même pas l'air de te rendre compte de combien c'est agaçant..."

Puis la jeune femme l'embrassa, bien sûr, il ne broncha pas, il se laissa simplement faire en sachant parfaitement que ça lui permettrait de retirer ce sale sentiment. Il fut soulager. Puis Araia lui demanda de ne riend ire à propos de ce qu'elle appelait une malédiction, et soudainement, il eu l'envie de dire une betise. Il se fit pincer les côte assez brutalement avant de sortir une phrase qui n'avait rien à voir.

"Quoi ?"

Aucune expression se marquait qsur le visage de Adrian, mais il semblait jouer les innocents. Ensuite, la jeune femme voulut lui mettre un coup de point qu'il rattrapa, se battre, il en avait l'habitude. Il haussa les épaules avant de regarder ses amis, avant de se prendre un coup de pied qu'il n'avait su eviter, il attrapa alors la jeune femme apres avoir marcher rapidement pour la rejoindre.

"Tu n'as pas à être aussi brutale, je ne t'ai rien fait à ce que je sache..."

- Si je m'en rends compte. Mais je me suis juste planté sur ton compte.

Elle soupira avant de l'embrasser pour le libérer un peu avant de voir des personnes de sa connaissance arriver tranquillement vers eux avant d'être complétement figé par ce qui venait de se passer. Seulement elle voulait conserver son secret. L'homme parla un bout avant de dire une grosse bêtise, aussi grosse que lui. Araia fut un peu brutale puisqu'elle lui donna un bon coup de pied avant de partir. Cependant elle se fit rattraper par le jeune homme ce qui l'agaça assez.

- Rien fait ? Tu me tourne en ridicule ! Après je suis désolé, mais je pensais qu'un mec frigide ne serait pas victime de ma malédiction. Reste que je veux bien te l'appaiser mais là aucune envie. Que tu me rabaisse quand on est que tout les deux je m'en fiche mais là tu me fais honte !

Araia le regarda agacé avant de regarder par dessus l'épaule du jeune homme intrigué. Les hommes derrières n'étaient pas des hommes de coeur. En effets ils regardaient en leur direction tout en se mettant d'accord sur des points sombre. Araia attrapa le bras d'Adrian et murmura.

- Suis moi...

Elle se mit a marcher rapidement tout en regardant discrètement derrière. Les gens se mirent également à les suivre avant que Araia n'aille dans une impasse et attrape Adrian pour le mettre contre elle. Là des ailes noir apparurent et les enveloppèrent. Les gens passèrent sans les distinguer dans cette obscurité. Araia resta un moment comme ça avant de le lâcher et faire disparaître ses ailes tout en regardant discrètement dans la rue.

- Encore des résistants à la politique... ça doit pas être facile d'avoir un membre de sa famille qui n'est pas aimer...

Arian ne préféra pas répondre à la jeune femme, il n'en voiyait pas l'interêt, du coup, il soupira bruyamment avant qu'elle ne l'embrasse, ce dont il se fichait, mais qui était ens oit agréable pour l'unique raison que cela lui passait son rirresitible attirance envers la jeune femme. Beaucoup de chose se passèrent ensuite jusqu'à ce qu'elle s'énerve en lui envoyant tout les reproches.

"Tu es trop sensible... J'ai beau être insensible, ce n'est pas pour ça que je ne suis pas toucher, ça devrait paraitre logique..."

Ensuite, elle regarda par essus son épaule les gens qu'il avait deja vu, et il fut cependant surprit qu'elle l'attrapa pour qu'il la suive. Il la suivit calmement bien que se fritter avec eux ne l'aurait guere derangé.

Ils marchèrent rapidement jusqu'à une impasse sombre où elle le prit contre elle afin de le dissimuler à l'aide de ses ailes noir. Adrian ne bronchait toujours pas se contrentant de regarder autour de lui et la jeune femme maintenatn depuis un petit moment.

"Ce n'est pas mes affaires..."

Il lacha un soupira avant de continuer :

"Je ne m'interesse pas à la politique il n'ont aucune raison de s'acharner sur moi..."

Ensuite, il s'éloigna de la jeune femme.

"Enfin, salut la demi-succube.."

- Non absolument pas ! Surtout pas avec un mec aussi glacé que toi ! A ce demander si tu as vraiment un coeur ou des envies...

Elle le regarda agacé avant de l'emmener à sa suite a cause de types louches qui les suivait. Araia s'était prise de bonter pour lui éviter cela. A quel prix puisqu'a peine tiré de là, il resta toujours aussi glacé. Une joie en sois...

- Ce n'est pas les miennes non plus.

Mais pourtant elle lui avait éviter de se battre. Qui de toute façon ne menerait a rien. Cependant il ne comprenait pas pourquoi il était visé alors qu'il ne s'y intéresser.

- Si tu étais plus sympathique peut être qu'on t'aurait pas tiré le portrait.

Enfin bon, pourquoi parler avec lui de toute façon cela ne servait à rien. La jeune femme ne lui adressa pas un salut et partit de son côté. Pendant ce temps une jeune démone eu envie de s'amuser et vain auprès de Adrian tout en lui attrapant le visage d'un air amusé.

" Oh tu me semble parfait toi."

Elle sourit avant de tiser une chose invisible sur le bras du jeune homme et regarda ailleurs avant de jeter son dévolu sur un type non loin d'Araia.

" Et lui !"

La jeune démone lança le filet mais ce fut Araia qui se le pris en plus de le sentir. Celle-ci regarda la jeune démone qui blêmit en suivant mais tapa sur l'épaule d'Adrian.

" Moi qui voulait te lié à un homme pour rigoler. Tu feras avec elle. Tchao !"

Araia avait sortit ses ailes et fonça sur la jeune démone qui se tailla rapidement avant de raccourcir le liens entre les deux pour qu'elle puisse s'enfuir. Araia fut retenu en arrière et regarda celui avec qui elle était attaché.

- Oh non ... Sale peste !!

Elle tira sur le liens furieuse en espérant la rattraper mais en vain. Adrian était beaucoup plus fort qu'elle physiquement.

"A quoi bon avoir un coeur ?"

Il n'en voyait pas vramient l'interêt, il avait fermer son couer à toute ses émoitions depuis qu'il s'était aperçu que cela ne servait strictement à rien d'en ressentir, mis à part l'affaiblir. Il était ainsi toujours désagréable.

"Si tu n'es pas satisfaite tu aurais pu ne pas m'aider..."

Il soupira avant de dire qu'il ferait mieux d'être un peu plus symathique.

"Je ne vois pas en quoi mon caractere à avoir avec le reste..."

Il soupira bruyamment, ne comprenant pourquoi son manque de sentiments dérangeait les gens. Puis ensuite, ils s'étaient ensuite séparé jusqu'à ce qu'une démone ne lui attrape le visage en disant qu'il était parfait. Il ne comprit pas tout de suite, et elle choisit un autre homme mais cela tomba sur Araia qui fut ainsi lié avec lui. Du coup, es qu'elle essayait de poursuivre la démone, il était obliger de la retenir, il n'avait pas envie de courir. Du coup, il tira sur le lien pour tirer la jeune femme à lui. Il l'attrapa et la posa alors sur son épaule.

"On verra demain..."

Il la tenait fermement de sorte à ce qu'elle ne se debatta pas, puis il commença alors à marcher dans la rue avant de rejoindre les quartiers bourgeois où il rentra dans dans une demeure pas tres grande, mais d'une extreme beauté, il y rentra fini tout de même par y deposer la jeune femme. Il se dirigea alors vers le refrigératueur et prit une bouteille de jus de tomate qu'il but seulement ses yeux prix une teinte différente de celle habituelle.

"Tu dois rester pour la nuit..."

Ce qui se trouvait dans la bouteille de jus de tomate était du sang, mais on ne parlait généralement pas de sang car boire du sang était assez mal vu. La jeune femme ne s'en apercevrait peut être pas tout de suite a part si elle s'amuse à renifler le contenu de la bouteille.

- A quoi bon vivre, je te répondrais.

Elle le regarda ennuyé par ses propos avant de l'aider et par la suite le regretter un peu. Adrian le remarqua et elle lui jeta un regard particulièrement agacé avant de lui répondre.

- Comme quoi j'ai trop bon coeur parfois.

Sur ce elle s'en alla sans rien demander en retour et ne le salua même pas. Seulement une gamine vint essayer le tout nouveau tours qu'on venait de lui apprendre. Cela irait encore, mais l'homme auquel on l'avait attaché n'était autre que Adrian, ce qui lui arracha un air dégouté avant de vouloir absolument rattraper cette fille. L'homme en avait décidé autrement puisqu'il la tira a lui avant de la mettre sur son épaule. Araia avait repris sa forme sans elle, mais elle ne s’arrêtait pas de bouger pour autant. Elle était particulièrement agacé par tout ceci.

- Quoi demain ? Mais t'es pas fou !

Elle soupira bien obliger de rester sur son épaule avant d'être déposé dans une demeure assez belle voir beaucoup. Mais cela agaça encore plus Araia qui fit la tête en attendant l'annonce qu'elle craignait.

- Mais je refuse de dormir une seule minute dans cette endroit.

Elle le regarda froidement avant d'ajouter.

- Cela irait plus vite de trouver cette gamine pour qu'elle enlève ça.

A ce moment elle bougea rapidement son bras qui devait ainsi faire trembler le poignet d'Adrian et au mieux lâcher la bouteille qui se fracasserait au sol.

Il ne comprenait pas le point de vue dde la jeune femme et ne le comprendrait sans doute jamais ou uniquement avec beaucoup de temps et une personne qui aurait la patience extrême de lui apprendre à montrer ses sentiments et à les ressentir plus intensément. Il avait beau les ressentir, il était de toute manière incapable de traduire leur signification. Elle trouvait avoir été trop gentille avec lui, et drian était d'accord même s'il n'avait rien dit.

Ensuite, elle s'en était allé jusqu'à ce qu'une jeune démone tente de se servir de ses pouvoir liant ainsi la jeune femme au démon. Il ne savait que faire avec ce lien, mais poursuivre la gamine n'était pas dans ses ambition proche,il préférait aller se nourri au moins auparavant car sinon... Sinon malgré un besoin de sans moins présent que chez ses ancêtres, il allait tres mal le supporter. Cependant elle ne semblait pas être du même avis.

"Ait un peu de patience..."

Peu lui importait d'être attaché à ellle de toute manière. Puis elle resta sur son épaule jusqu'à ce qu'il rentre. Il partit se nourrire directment.

"Tu n'as pas le choix... Tu n'as pas la force physique pour protester..."

Il trouvait ça plus rapide de trouver la démone pour enlevé le lien. Il n'était pas d'accord, puisqu'apres une bonne nuit de repos il aurait lus de facilité à réfléchir. Puis elle bougea le poignet qui lui fit lacher la bouteille qui se brisa sur le sol. Il arbora un regard alors glacial bien qu'un sourire ffreusement sadique laissant aussi découvrir de longues canines se dessina sur son visage. Il la plaqua alors contre le mur en maintenant ses bras avec ses mains et se rapprocha de son cou pour la mordre, elle n'aurait sans doute d'autres choix que de se laisser faire.

Araia était bel et bien coincé avec ce type sans savoir quoi faire. Il lui demandait d'être patiente chose qu'elle ne connaissait pas. Quand elle ne veut pas, elle ne veut pas quoiqu'on en dise elle préfère partir pour être tranquille plus tard. Et là c'était le cas. Hors il l'avait conduit chez lui contre ses désirs en plus de lui dire que niveau force elle n'était pas a sa hauteur.

- Peut être que je suis plus faible que toi, mais je ne suis pas sage pour autant.

Sur ce elle bougea son bras de tel sorte que la bouteille entre ses mains se brise. Cependant quelque chose la surpris. Il avait des canines et vu le sourire qu'il arborait cela ne signifiait vraiment rien de bon.

- Non !

Elle se déplaça rapidement pour l'éviter, mais il la plaqua durement contre le mur se qui lui coupa un instant la respiration. Ensuite il lui bloqua ses mains ce qui l'angoissa. Elle n'avait pas l'habitude d'être prise de force et c'était une chose qu'il l'effrayait particulièrement. Ce sentiment d'impuissance l'horrifié. Du coup, elle ne resta pas sans agir même quand le vampire planta ses crocs dans son cou. Au contraire furieuse elle lui mordit l'oreille jusqu'au sang avant de se libérer de son emprise en plus de s'éloigner du maximum qu'elle pouvait.

- T'approche pas !!!

Araia avait le coeur qui battait a cent à l'heure, mais elle ne faiblissait pas pour autant cherchant un moyen de s'enfuir. Mais c'était impossible. Elle était de toute manière attaché à lui. Du coup elle réfléchissait rapidement a ses pouvoirs... Qu'est ce qu'elle avait a part les ailes et son charme. Justement elle ne sait pas justement parce qu'elle n'a jamais eu besoin de les utiliser ou de voir ce qu'elle possédait. Belle erreur en sois...

Lajeune femme disait qu'elle n'était pas sage et il savait que c'était le cas, mais que pouvait-il répondre ? Il la reagarda simplement un court moment avant qu'ele ne lui fasse bouger le bras et que la bouteille ne vienne se briser sur le sol. Il n'était pas du tout content, surtout qu'il avait faim, et il n'avait que cette dose de sang pour se nourrire, puisque c'était la quatité maximum qu'on lui autorisait par jours. Il n'en avait pas bu la totalité, ce qui faisait qu'il en souhaitait encore. La jeune femme l'ayant énervé, il décida de la prendrepour son repas.

Il ne lui laissa guère le et la mordit peu apres l'avoir plaquer contre le mur, elle ne pouvait plus bouger, et avait finit par le mordre. Il fut cependant surprit que la jeune femme fasse de même du coup il la regarda avec une légère surprise dans le ragard. Il l'avait laché et elle avait profité de ce moment pour fuir.

"C'est toi qui m'a cherché je te signale..."

La blessures qu'elle avait fai en le mordant avec deja disparu, et il la regardait de maniere inexpressive. Maintenantil était plus calme.

Alors, apres avoir penser à pluisieurs solution, il la tira jusqu'à une chambre, oùil s'allongea, il y avait assez de place pour la jeune femme, mais il avait besoin de repos sinon il sentait qu'il allait faire un massacre. Par contre, il se méfiait d'elle.