"Et si tu étais un alien en réalité ?"

Araia avait été vraiment mal à l'aise et inquiète d'avoir été ainsi bloqué contre le mur. Elle ne s'attendait pas à un pareil retournement de situation. Cependant elle se vengea en mordant l'oreille du jeune homme jusqu'au sang ce qui arracha un air légèrement surpris ce qui voulait dire beaucoup vu que c'était de lui. Araia préféra tout de même s'éloigner le plus possible de lui tout en lui disant ou exigeant plutôt de ne pas approcher.

- C'est toi qui me force à rester là je te signale !

Puis il la conduisit de force dans la chambre. Bien sûr lui c'était pour s'endormir... Araia le regarda exaspéré et hors de questions qu'elle dorme dans le même lit que lui. A la base cela ne la dérange pas vraiment, mais là... C'est pas qu'elle en avait strictement aucune envie mais presque. D'ailleurs elle réfléchit un moment avant d'avoir une idée. Araia s'approcha doucement tout en utilisant son pouvoir de succube au maximum. Et comme lui était encore plus sensible vu qu'elle avait embrasser Adrian. Cela marcherait encore mieux. Araia sourit amusé avant d'essayer de lui attacher les mains pour pas qu'il ne l'attrape ou la gêne lorsqu'elle voudrait quitter cette endroit pour trouver la gamine.

"Je ne te force à rien du tout, mais je en te suivrais pas..."

Hors, ils étaient obliger d'être ensemble. Ne pouvant être l'un sans l'autre à cause des pouvoirs de la démone qui les retenait, ils ne pouvaient par partir chacun de leur coté, malgré l'envie qu'il avait.

Il l'emmena alors de la chambre afin d'aller dormir, il était fatiguer, car s les vampire n'avait pas besoin de sommeil ce n'était pas le cas de Adrian qui n'avait qu'une partie de lui vampire. La jeune femme ne semblait pas vouloir dormir avec lui, elle faisait ce qu'ele voulait, seulement elle utilisa en s'approchant son pouvoir de succube. Ne s'y attendant pas les premieres secondes furent horriblement dur à supporter, mais ayant l'habitude de supprimer ses sentiment, il ne tarda pas à contenir ce que provoquait les pouvoirs de la suvvube.

Alors qu'elle tentait de lui attacher les mains, il croisa ses jambe au dessus d'elle avant de se retourner brutalement pour qu'elle se retrouve sous lui.

"Tu me sous estime la succube..."

Il la regarda inexpressif avant d'attraper chacune de ses mains pour la bloquer et s'allongea à demi sur elle pour ne pas luil laisser le choix.

"Maintenant passe une nuit agréable..."

- Donc si tu me force...

Elle soupira avant d'être embarqué dans la chambre chose qu'elle ne voulait pas non plus. Du coup elle réfléchit à plusieurs manières de se libérer ou qu'il la suive. Araia opta pour l'attacher afin qu'il ne l'attrape plus et ainsi la suive ou simplement ne tente rien a son égard. Cependant, alors qu'elle était en train de vouloir l'attacher le jeune homme réussi tout de même à lutter contre elle. Il l'entoura de ses jambes avant de la basculer afin qu'elle se retrouve au dessous de lui. Araia le regarda surprise avant d'être agacé par la posture.

- Tu m'agace...

Elle soupira avant d'être complétement bloquer. Et le bonne nuit l'agaça plus que tout. Du coup elle lui donna un petit coup de tête avant de se laisser dormir. De toute façon elle n'avait pas le choix.

Le lendemain elle se réveilla ni trop tôt, ni trop tard. Mais le poids sur son corps lui avait fait passer une nuit plutôt désagréable d'où sa mauvaise humeur actuel. Vallait mieux rien lui demander.

La jeune femme n'avait eu d'autre choix que de suivre Adrian dans la chambre, il était désagréable avec elle, mais il était nturellement comme cela de toute manière. Il ne fallait donc pas lui en vouloir mais les gens qui le connaissait peu lui en voulait tout le temps pour son comportement très irrespectueux.

La jeune femme avait essayé de la piéger avec ses pouvoirs, seulement, ayant prit une petite habtiude de resister ux pouvoir de la jeune femmes, il n'avait eu aucun probleme à lui resister pelinement pour au final prendre le dessus sur elle.

"Tu m'agaces tout autant..."

Ensuite, il la bloqua completement, il s'endormir alors rapidement contre la jeune femme, il n'était pas particulièrement à l'aise, mais pas particulièrement mal à l'aise non plus.

Il se réveilla un peu apres Araia qu'il bloquait toujours autant. Il ouvrit les yeux sans reagit, avant de se redresser et influencer par la malédiction de la succube, il lui caressa la visage avec douceur et passa ses doigt sur ses levres avant de l'embrasser presque trop tendrement. D'ailleurs, quans ils 'en rendit compte, il se redressa brutalement.

"Eh... "

Il ne semblait pas saisir ce qui venait de lui arriver.

Au moins c'était réciproque... Araia soupira avant de se laisser dormir même si c'était assez désagréable en sois. Surtout avec lui. Mais le matin fut vraiment pire. Lepire de tous puisqu'il se redressa juste pour la caresser d'une façon tendre et l'embrassa avec une tendresse tout aussi surprenante avant de se relever brusquement en râlant. Araia eut une air terriblement triste pendant quelque seconde avant de le pousser encore plus loin d'elle et quitter le lit.

- T'en fais pas, tu n'étais pas toi même.

Elle le regarda de nouveau avec son air froid qu'elle lui portait à chaque fois. Avant d'ajouter en soupirant.

- Enfin, tu as aussi parut plus humain lors d'une seconde.

Sur ce elle se dirigea vers la porte tout en le tirant d'un air agacé.

- Bon tu te dépêche. Je n'ai pas envie de rester bloquer là plus longtemps...

Surtout qu'elle venait d'avoir un horrible souvenir en tête. C'était une des raisons pourquoi elle n'allait pas plus loin avec ses clients. Elle ne voulait pas de ça et elle l'avait eu. Une erreur qui lui avait voulut tout le sens raté de sa vie. C'était bien beau de dire qu'il était une machine. Mais dans un certains sens elle n'était pas mieux que lui. Araia non plus ne vivait pas.

Adrian avait été surprit par sa propre réaction, il n'aurait jamais penser agir de cette manière avec qui que ce soit et pourtant,il venait d'embrasser la jeune femme et de se comporter de manière particulirement tendre avec elle. Il s'était redressé brutalement, et ne manqua pas le regard triste de la jeune femme, bienq u'aucune expression sur son propre visage ne s'inscrivit quand il la vit. ELle l'avait pousser loin d'elle en lui disant de ne pas s'en faire. Cela ne le preoccupait guère, il s'en fichait meme pour ainsi dire royalement. Puis elle dit qu'il était plus humains.

"Dois je le prendre mal ou bien ?"

Pour lui être humain était un reproche,il avait été élevé d'une façon assez dur par des professeurs particulier durant son enfance, de ce fait il avait apprit de l'humanité était le mal.

Ensuite, elle le tirant pour qu'il se lève.

"J'arrive..."

Il se leva et partit pour aller vers la cuisine. Il s'adressa sur le court chemain à la jeune femme.

"Être une succube, en tout cas en posséder les pouvoirs ne dois pas êtres pratique, incapable d'aimer et d'être aimé puisque des que tu embrasses qui que ce soit, tu finis par manipuler leur sentiments..."

ILr esta silencieux et dit :

"J'ai beau être plus résistant, ton pouvoir arrive à m'influencer grandement..."

Il finit par lui poser une question :

"Tu veux quelque chose de particulier à boire..."

Araia était vraiment très mal. Elle n'aurait jamais dut l'embrasser, elle n'aurait jamais dut le croiser de nouveau et être attacher à son poignet. Tout ça n'était que de la pire nuisance pour sa santé. Il réveillait en elle des choses qu'elle préférait oublier. Par contre elle n'était pas du coeur à être agressive et lui fit un compliment. Ce qui n'était pas trop son avis.

- C'est sûr que quand on voit que le mauvais des choses, c'est une reproche. Mais il existe certaines choses qu'eux possèdent et d'autres non. C'est ça qui rend l'humanité belle dans toute sa saleté. Des choses qui font toute la différence...

Elle soupira avant d'aller vers la porte et le tiré pour qu'il se dépêche. Ce qu'il ne tarda pas a faire. Par contre une fois dans le salon la discussion l'agaça en plus de la blesser encore plus. Ses paroles réagissaient comme un poignard planté dans le dos et qu'on s'amusait a remuer tout en lui disant que de toute façon sa vie est raté. Même sans être une succube vraiment elle était maudite. Et encore les succubes pouvaient tomber amoureuse sans altéré les sentiments de l'autre... Non, Araia n'avait pas cette chance, quoiqu'elle face, elle était seule et le resterait car justement on ne serait jamais sincère avec elle. Adrian ne devait pas sentir la douleur de ses propos mais la jeune femme trembla avant de casser sans faire exprès un verre par terre, une larme roulant doucement sur sa joue.

- Non mais a quoi tu joue...

Elle le regarda complétement énervé et attrister.

- Je sais que tu me portes pas dans ton coeur. Mais t'amuser a me blesser de la sorte est tout simplement ignoble ! Peut être que tu montre pas ce que tu ressens mais t'es aussi froid que la glace. Tu dis qu'on ne peut m'aimer, mais même toi c'est impossible alors que tu parles sans réfléchir comme un gosse ! En plus de garder tout pour toi et croire que tout autour c'est pourri. En fait le plus raté d'entre tous c'est toi ! Ton existence sert à rien !

Araia regarda derrière elle et ouvrit la fenêtre pour se mettre a grimper sur les rebords de la demeure et ainsi si posé tout en laissant de la liberté a Adrian. Elle repensa a ce qu'elle lui avait sortit et s'était trouvé méchante. Car justement elle ne servait à rien non plus... A part satisfaire de faibles besoin...

Ce n'était pas qu'il l'avait mal prit, seulement, il ne possédait pas de sentiments, ou ne les comprenait pas, il éait ainsi incapable de réellement juger la valeur des paroles sur un point négatif ou positif, il était incapable de distinguer si c'était un reproche ou un compliiment.

"Ah..."

Il n'avait rine de plus à répondre ne pouvant de toute manière pas le prendre pour u compliment. Pas qu'il ne voulait pas, il en était simplement incapable.

Puis, il se rendirent dans le salon, ou le jeune homme parla de la condition de succube de la jeune femme et de son manque de chance à ne pouvoir aimer personne puisqu'elle les manipulait tous sans le vouloir. Seulement, elle le prit tout particulirement mal alors qu'il n'y avait ien de méchant dans ses paroles, il constatait uste son manque de chance, du coup, il ne comprenait pas sa réaction. Elle venait de briser un verre par terre et une larme avait coulé sur sa joue ce qui lui arracha un étrange regard. Les larmes n'était pas vraiment son truc, elle lui rappelait de mauvais souvenir, et c'était la seule chose qui le faisait se sentir mal. Il ne répondit pas à la jeune femme et la laissa partir. Une fois seul il murmura :

"Ce n'était pas fait pour te blesser, et de toute manire je sais tres bien que les gens sont uncapable de m'aimer..."

Il fit ce qu'il avait à faire, jusqu'à ce qu'il rejoigne Araia. Il la regarda silencieusement un moment avant de s'installer aupres d'elle.

"Je n'ai jamais dit qu'on ne pouvait pas t'aimer, on peut t'aimer, mais c'est dur car au final, il faudrait quelqu'un de resistant à ton pouvoir..."

Puis il resta silencieux un moment cet continua :

"En ce qui me concerne je ne veux pas aimer, ou être aimer, ce n'est donc pas grave si c'est impossible... Au contraire meme..."

Araia avait été particulièrement agressive et elle n'avait pas hésité a cracher au visage d'Adrian tout ce qu'elle avait sur le coeur et sa façon de penser au propos qu'il avait tenue a son égard. Par contre elle ne voulait pas rester plus longtemps dans cette pièce et sortit dehors pour s'installer entre les poutres d'architecture. Ainsi elle put s'y caler et être tranquille loin de toute présence nuisible et démoralisante. Pas étonnant qu'on soit si froid si on aime personne.

Le temps passa et sa solitude fut interrompu. En effet Adrian était venu la rejoindre et s'installa auprès d'elle. Il rectifia ses paroles, reste que cela restait vraiment utopique. Mais son geste la toucha et la fit faiblement sourire.

- Non mais cherche pas c'est impossible qu'une chose pareille existe.

Elle réfléchit avant de dire.

- Il faudrait quelqu'un encore pire que toi. Et se serait sans doute une machine, rien de chaleureux.

Par contre Adrian ne voulait pas aimer ni être aimer. Quelque chose d'étrange en sois. Araia le regarda avant de lui répondre doucement.

- Du coup la vie ne vaut pas la peine d'être vécu... Une vie sans personne, n'est pas une vie. Même les animaux dépérisse.

Elle le regarda avant de lui demander.

- Tu trouve pas que les jours sont d'un ennuie mortel ?

Puis quelque chose en bas l'interpella. Une belle et grande voiture c'était garé devant la demeure. Un homme bien habillé sortit de la berline et sonna avant d'attendre devant le perron.

Adrian se fichait de l'agressivité de la jeune femme, ne re'ssentant pas les émotions qu'un humains ressentait normalement, il ne pouvait ressentir aucun méprit envers les gens et donc envers Araia pour le moment.

Apres avoir laisser la jeune femme un moment seule, Adrian décidait de la rejoindre pour lui parler, peut ête pour essayer de rattraper un peu les paroles qu'il avait dit à la jeune femme. Elle sourit alors faiblement.

"C'est possible, il y a des gens qui resiste bien aux pouvoirs d'attirance des succubes et incubes, je ne vois pas en quoi se ne serait pas le cas avec ton pouvoir... Il sur cpendant que tes choix sont assez reduit..."

Il ne pensait pas que quelqu'un d'encore plus robotique que lui change la donne, puisque au contraire, ce genre de personne ne ressentait pour ainsi dire rien, et se voir imposer des sentiments comme ceux là, ils y étaient tout particulierement vulnérable, plus même que des gens normaux.

"Tu trouveras d'autres choses que des machines..."

Il ne voulait pas qu'elle soit pessimiste, même si au final cela ne lui apportait rien d'essayer de la rassurer. Ensuite, il parla de lui même, il ne comprenait pas de toute façon le point de vue de la jeune femme.

"La vie n'a que peu d'importance à mes yeux, on m'a élévé de cette manière je ne changerais que difficilement. et je vis tres bien comme ça..."

Puis, elle lui demadna alors s'il ne trouvait les jours ennuyeux.

"Je ne ressent rien, il en est de même pour l'ennui..."

Ensuite, il parla de tout autre chose.

"J'espère que tant qu'on est collé l'un à l'autre, j'aurais pas à venir à lune de ces réceptions..."

Seulement peu apres qu'il ai dit cette phrase une grande voiture arrivait qui n'était autre qu'un chauffeur qui venait le chercher.

"Quand on parle du loup..."

Il attrapa la jeune femme et la fit rentrer avec lui avant d'aller ouvrir la porte, ils discutèrent un moment avant qu'il ne dise à Araia.

"Je n'ai pas le hoix, tu vas devoir me suivre pour la soirée, mon père veut que je soit accompagner, ça tombe plutôt bien et il ne lui laissa d'autre choix que rentrer dans la voiture.

-Nous allons d'abors aller vous habillés, puis nous nus rendrons à la réceptions monsier.

Il soupira; d'h abitude, il n'était jamais obliger de se rendre à ce genre de reception mais maintenant qu'il était de retour à Alaar son pere en prifitait grandement.

Adrian supposait que des personnes pourraient bien résister au charmes des succubes. Donc elle, cela pouvait être possible.

- Je ne vais pas embrasser tout le monde non plus !

Araia resta silencieuse avant d'ajouter.

- Et puis, je procure un effet de manque pas d'attirance. Ce n'est pas du tout la même chose...

En tout cas on l'avait élevé de cette manière a ne rien ressentir. Araia le regarda tristement avant de répondre plus vive.

- N'importe quoi ! La vie vaut la peine de ressentir les sentiments. Sinon on ne reste qu'une coquille vide.

Elle sourit avant de lui dire franchement.

- Quoique tu en dises, je vais te montrer qu'il est bon de se sentir vivant.

Par contre il ne voulait pas être appelé à une réception alors qu'ils étaient attaché. Araia le regarda perplexe ne comprenant pas en quoi la présence d'Adrian était voulut vu le manque de conversation qu'il avait. Cependant il y avait bien un type qui vint les chercher. Adrian lui informa que son père le voulait absolument a sa réception et que de toute façon il devait venir accompagné. Dont la présence de Araia qui resta surprise avant de protester mais trop tard elle était dans la voiture.

- Mais tu m'emmène où là... Je n'ai pas l'habitude des réceptions du grand monde.

Car mine de rien c'était le cas et elle devrait porter des habits trop cher pour elle... Araia se sentit affreusement mal encore plus quand on les conduit à un endroit pour qu'ils soient habillé pour l'occasion... Une fois arriver des femmes l'accaparèrent et Araia dut les suivre sans broncher. Elles l'habillèrent d'une longue robe noire drapé fendu à l'avant et ceinturé, ainsi qu'un dos nu. Pour la coiffure, elles firent un chignon où ses long cheveux retombe sur le côté. Ses boucles furent ensuite beaucoup plus structuré afin de magnifier la coiffure. Araia était affreusement mal à l'aise. Cet environnement n'était pas du tout dans son habitude et être habillé ainsi la stressait encore plus... Araia sortit et attendit Adrian avant de monter dans la voiture.

"Pourquoi pas ?"

Elle pouvait de toute manière, et puis au final, elle aurait tout le monde às es trousses ce qui ne serait donc pas une bonne idée. Il ne valait mieux pas qu'elle embrasse trop de monde.

"Ca revient au même, tout devient irresistible de toi quand je suis en manque..."

Il soupira en pensant combien s'étati un sentiment derangeant. En totu cas la jeune femme semblaitdécider à lui faire comprendre que la vie valait d'être vécut avec des sentiments, et nons pas en tant que coquilles vide.

Ensuite, on était venu le chercher et il emmena bien sur avec lui la jeune femm, il s'habillèrent chacun séparément avant qu'il ne la retrouve.

"C'st la ou je suis censé faire un cimplement n'est ce pas ?"

Mais il se contenta de lacher un leger soupir avant de prendre par la main la jeune femme avec douceur pour l'ammener jusqu'à la voiture et la faire monter. Ils allèrent ensuite jusqu' à la réception ou il regarda tout le monde de son regard inexpressif, les gens le regardait de travers il en avait l'habitude, mais il le regardait aussi surprit de le voir avec une femme.

"Tu vas etre le centre d'attention..."

- T'es malade...

Elle le regarda a la limite de rire tellement c'était idiot. En tout cas il disait que tout devenait irrésistible d'elle quand lui était en manque.

- Non c'est quand même différent.

Puis on vint les chercher et elle dut accompagner Adrian contre son envie. En plus c'était le genre de soirée mondaine qu'elle n'aimait pas... Surtout aussi mondaine puisque les gens vous regardez de haut. Enfin elle devrait surtout supporter ça sans rien dire. Pour le moment on l'habilla élégamment, très même en plus de la coiffé de façon à la sublimé encore plus. Adrian resta toujours fidèle à lui même ce qui fit sourire Araia amusé et maintenant détendu a cause de son comportement. C'était bizarre mais soulageant.

- Non, toi t'es dispensé t'en fais pas.

Par contre il lui prit doucement la mains avant de la guider jusqu'à la voiture. Ca par contre elle ne s'y attendait pas. Voir même pas du tout ce qui lui donna un air surpris avant de se laisser conduire jusqu'à la réception.

A la soirée tout les regards étaient tourné vers eux, en plus de ne pas être si agréable que ça puisque c'était plutôt de travers qu'on les regardait mêlé de surprise. Adrian lui confirma sa crainte vu qu'elle serait le centre d'attention.

- Wouah... Sans mes capacités, je bat tout les records.

Elle sourit faiblement préférant en rire qu'en stresser inutilement. Tout ce qu'elle espérait c'est qu'on ne vienne pas l'agacer de trop.

Adrian tait incapable de rire de ses pensées, mais son imagination le laissait voir un troupeau d'home totalement assoiffés qui ne souhaitais qu'un chose : Araia Cela aurait put être drôle, seulement l'inexpressivité dont Adrian faisait peur malgré ses pensées était effrayante. Il disait que ce n'était pas différent, puisqu'au final, elle le manipulait d'elle même, avec sa dépendance et il y avait bien quelque chose qui se passait au niveau des émotions puisque sinon les humains ne seraient pas capable d'être un manque.

On vint ensuite les chercher pour les emmener s'habiller, pour se rendre ensuite à une soirée mondaine. En tout cas, iil était incapable de faire un compliment la jeune femme, car il ne disait que la vérité, hors, il n'avait aucune idéee même de cette vérité qu'il était incapable de deviner ou de remplacer par une phrase toute faite.

"Ah..."

Ensuite, il lui prit doucement la main pour l'emmener jusqu'à la voiture, ce n'était pas parce qu'il ne possédait aucun sentiment qu'il ne connaissait pas les petite politesse, même si avec les mots ça fonctionnait pas.

Arrivés à la soirée, ils était tout les deux le centre d'attention tout particulièrement la jeune femme, puisque personne ne s'attendait à ce que le robot soit accompagné par une jeune femme.

"..."

Cela pouvait paraître idiot, mais Adrian ne comprenait pas la façon dont elle parlait, il ne savait pas comment il devait prendre cette phrase. Du coup, il avait préféré se taire. En tout cas, plus il était à ses cotés, plus il avait l'impression que sa dépendance l'attirait à elle. Il tenait pour le moment, mais il n'était pas sur de savoir pour combien de temps. Son père arriva alors.

-Adrian...

Le jeune homme s'inclina légèrement, et comparé à son fils le père ressemblait bien plus à un vampire, ses yeux même était clairement rouge sang, sans parler de canine plus développée encore que celle de son fils. Mais physiquement les deux se ressemblaient puisque le pere semblait pas beaucoup plus vieux que le fils.

-Je vois que tu m'as ramenée un met de qualité.
"... Ce n'est pas de la nourriture..."
-Que tu peux être froid... Mais c'est ça qui te rend si manipulable.

Araia resta impassible au monde qui l'entourait. Elle ne se rendit plus compte des regards posé sur elle. Adrian n'était pas d'une conversation plus agréable du coup elle fut bien obliger de se divertir l'esprit ailleurs. Comme par exemple le mouvement des serveurs entre les gens. Cependant une voix plus grave l'interpella quand elle entendit un prénom qui était une personne près d'eux. Cet homme paraissait jeune et s'adressait à Adrian. Ce qui lui donnait enfin son nom. En tout cas le nouvel arrivant la traita de met... Ce qui l'énerva assez, mais en plus se moquer ouvertement du jeune homme l'agaçait encore plus.

- Ah ! C'est donc vous qui l'avez éduqué ainsi ?

Elle le regarda froidement avant d'ajouter.

- En fait, Adrian a la capacité d'être beaucoup plus intelligent que vous voir même plus fort. Mais fayot comme vous êtes, vous avez fait preuve d'une énorme peur et faiblesse en le rendant aussi froid.

Araia sourit doucement avant de finir.

- Reste qu'il est loin de devenir cette coquille vide que vous souhaitez;

Elle attrapa doucement le visage du jeune homme et l'embrassa tendrement avant de lui prendre sa main et parla froidement.

- Monsieur.

Sur ce elle entraîna a sa suite Adrian sans lui demander son avis et une fois qu'ils furent tout seul elle le gronda.

- Pourquoi tu te laisses faire comme ça ? Moi j'ai plus envie de lui éclater sa tête contre un mur plutôt que de rester inexpressif comme un poisson rouge !

Etre en présence du jeune homme ne devait pas être très agréable, il ne parlait pas beaucoup et se contentait en général de très peu. Il comprenait que la jeune femme doive s'ennuyer, mais il ne disait rien, ne sachant de toute manière ce qu'il pouvait dire. Il aurait eu des sentiment, ils auraient pu parler à propos de leur centres d'interêt, ou de drôle de scene qu'il pouvait voir or, ce n'était pas le cas. Ensuite, son père était venu à leur rencontre et s'avouait ne pas être tres agreable avec son fils, qui semblait ne pas en avoir réellement conscience.

-Je n'ai pas éduqué mon fils, mais on peut considérer que c'est le cas..."

Il n'avait jamais prit soin de son fils, tout comme il n'avait jjamais prit soin de sa femme qui se trouvait être res belle et ayant de nombreux airs de ressemblance avec son fils. Le père sourit en coin aux paroles de la jeune femme.

"Je ne vois pas en quoi la façon dont il a été élevé a à voir avec une peur et une faiblesse..."

Puis elle lui dit que son fils n'était pas une coquille vide, alors elle l'embrassa et il eu l'air soulagé un court instant, mais au final son inexpressivité ne trompait pas. Il sourit de nouveau en coin avant de les regarder s'éloigner. Il fut gronder une fois seul.

"Comment veux tu que je m'énerve quand je ressens quasiment rien ?"

Il soupira, et ayant envie de se debarasser de son manque il l'embrassa doucement, il faissait preuve d'énormément de douceur lui qui semblait se ficher de tout, ensuite il s'éloigna et regarda ailleurs.

"Ton pouvoir ..."

- Vous restez une personne dont on se passerait bien

Elle le regarda froidement avant de dire ce qu'elle avait sur le coeur. Le père était vraiment dès plus insupportable. Araia ne l'aimait pas et si elle pouvait elle l'aurait envoyé paitre beaucoup plus loin.

- Pourquoi ? Parce que vous reprenez exactement le même principe que les tyrans. Vous rendez les gens imbéciles afin qu'ils soient plus docile. Hors s'ils sont plus maîtres de leur sentiments et apprenne a avoir des opinions et ose contredire. Vous. Vous coulez immédiatement. Vous êtes faibles !

Ensuite elle embrassa un court instant le jeune homme avant de partir plus loin. Là où ils étaient beaucoup plus tranquille. Par contre elle le gronda presque immédiatement trouvant sa réaction complétement idiote.

- Fais un effort ! La on te marche dessus Adrian !

Elle lui poussa le front du doigt avant de se faire piéger et embrassé par le jeune homme. Très tendrement ce qui la surprenait particulièrement. Elle n'aimait pas ça parce que cela lui faisait mal mais quelque chose l'étonnait.

- Ce qui m'étonne, c'est que tu es si doux. Alors que tu ne ressens rien et rien ne te touche. D'où connais tu cette douceur ? Ce n'est pas quelque chose qu'on obtient comme ça. La preuve, même les plus motivé n'arrive pas a ton seuil...

Araia soupira avant de faire un geste vif.

- Bref, je vais m'occuper un peu. Toi tâche de pas te faire marcher sur les pieds !

Elle mit un moment de silence avant d'ajouter doucement.

- Au pire je m'en occuperais.

Sur ce elle se mêla dans la foule afin de trouver quoi faire et s'occuper quelque peu. Même si elle restait à une distance assez proche de Adrian. En fait elle essayait surtout de repéré les serveurs pour manger ou boire quelque chose.

Le père de Adrian n'avait que faire d'une personne quq'il ne rencontrerait sans doute plus jamais dans sa vie, mais quelques éléments de son comportement agaçait le père car à l'entendre, elle laisserait l'occasion au jeune homme d'apprendre à avoir des émotions. C'était sans doute très dur, mais il avait le sentiment qu'elle y arriverait si elle faisait de quelconque efforts. Il décida de se reseigner sur elle des qu'il en aurait l'occasion.

"Il n'est pas imbéciles,il n'a simplement pas les émotions de base d'un humain..."

Ensuite ils était partit apres que la jeune femme ait embrassé Adrian. Il fut gronder par la jeune femme.

"Ce n'est pas si simple..."

Puis il l'avait embrassé pour se passé de cet état de manque qui se faisait insupportable et à laquelle il n'arrivait pas à resister. Sa douceur se trouvait être en totale opposition avec son caractère, ce que trouvait aussi étonnant la jeune femme. Il effleura de ses doigs la joue de la jeune femme avant de lui répondre.

"C'est inconscient... C'est pour ainsi dire presque naturel d'agir avec douceur, en tout cas avec toi..."

Puisqu'il était vrai u'il pouvait aussi être d'une tres grande brutalité, mais ça concernait surtout les hommes. Ensuite, elle voulut partir pour s'occuper un peu, il fit un signe de la tête mais ne cessait de la surveiller du coin de l'oeil. Des jeunes homes voulait s'en prendre à elle puisqu'elle était venu avec Adrian ce qu'il ne manqua pas de louper, il attrapa alors un verre rapidement et en attrpant la jeune femme parr l'épaulé il lui tendit le verre et regarda derriere lui. Les jeunes hommes n'insisterent pas plus sur le moment.

Araia ne se laissait pas démonter et défendait Adrian comme elle pouvait.

- Qu'est ce que vous en savez vraiment ?

Elle le regarda froidement avant d'embarquer a sa suite le jeune homme pour le gronder sur son comportement. Il se faisait clairement marché dessus et cela l'énervait. Comment pouvait on rester de marbre...

- ... Je sais pas essaye de faire réfléchir un peu ! Tu dois bien voir quand même quand on se paye ta tête ?

Araia soupira avant de se faire embrasser doucement, chose qu'elle avait beaucoup de mal à s'y faire. Et elle appuya bien ce qu'elle pense au jeune homme qui lui effleura la joue à la grande surprise de Araia. Mais le pire fut ses paroles qui la déroutèrent et la firent rougir immédiatement. Gêné et agacé, elle répondit assez mécontente.

- N'importe quoi, avec toute les femmes j'en suis sûr...

Sur ce elle le quitta pour chercher les serveurs et ainsi pouvoir boire un coup. Seulement on la fit tourner tout en lui tendant un verre. Araia regarda Adrian surprise avant de parler doucement.

- Merci...

Ensuite elle suivit son regard et vit des jeunes hommes qui abandonnèrent de les rejoindre. Ils lui voulaient du mal ? Araia porta le verre a ses lèvres avant de demander doucement.

- Ils voulaient quoi a ton avis ?

Le père ne répondit finalement pas et la jeune femme partit avec Adrian qui se laissa embarquer sans un ot. Elle lui repprocha alors son comportement qui était du genre à se laisser marcher sur les pieds.

"Non, je n'y arrive pas... Pour moi toute les paroles sont les même..."

Pour lui tout était dit sur un même ton, donc il était incapable de les différencier des autres, c'était étrange, mais il n'y pouvait rien, il avait beau faire des effort, cela ne servait à rien, il ne savait pas quand on lui disait des méchanceté ou des compliments;

Ensuite le jeune homme l'embrassa, et elle lui demanda la raison pour laquelle, il était si doux alors qu'il ne ressentait rien, il n'en était pas vraiment sur. Il remarqua bien sur l'expression de la jeune femme, mais il n'en dit rien.

"Non... Je ne pense pas..."

Il ne pouvait pas être doux avec des femmes qui le méprisait au point de le fuir ou d'être violetn avec lui, il avait beau manquer d'émotions, son inconscient lui meme faisait la part entre ceux avec qui il devait être doux et ceux avec qui il ne e devait pas. Ensuite, lle était partit et Adrian surveillait les alentours pour ne pas que des personne ne l'embête puisqu'elle était venait avec Adrian le glaçon, le terrible, le sanglant...

"De rien..."

Puis la jeune femme remarqua sans doute les personne qu'il fixait et luidemanda ce qu'ils voulaient.

"S'en prndre à toi pour voir si tu es une de mes faiblesse, si je t'apprécie aussi... Mais il ne savent pas que tu es imposée de rester avec moi..."

Araia lui reprocha son comportement mais il ne faisait pas la différence pour lui toute les paroles étaient les mêmes. Elle réfléchit avant de lui répondre.

- Et le comportement sont les mêmes ? Le regard ? les gestes ? les mots utiliser et l'intention ? Tu n'es pas bête et je suis sûr que tu le sens au fond de toi...

Puis il l'embrassa avec une douceur surprenante tout en réagissant tout aussi doucement avec elle. Par contre il ne pensait pas être comme ça avec tout le monde. Pourtant si, si la personne n'était pas mauvaise il le serait.

- C'est vrai pas toute, mais celle qui sont plus sympa oui sans doute.

Puis elle partit se chercher un verre et se fut Adrian qui lui attrapa au final. Elle le remercia avant de demander ce que voulait les autres types. Apparemment l'embêter pour savoir des faiblesses que Adrian aurait et s'il l'appréciait.

- Pourquoi t'es venu me protéger alors ?

Araia le regarda d'un air neutre mais assez froid avant de poser le verre sur un plateau et continuer.

- Tu ne m'apprécie pas, je ne connais aucune de tes faiblesses. On est juste ensemble parce que c'est imposé. Qu'est ce que t'y gagne au change ?

Elle le regarda dans les yeux avant de finir.

- Rien. Est ce de la gentillesse ou de l'inquiétude qu'il m'arrive quelque chose ?

Araia détourna la tête et partit dans la foule où elle rencontra les types en questions qui ne manquèrent pas de l'aborder de manière lourdaude. La jeune femme sourit d'un air charmeur avant d'opérer son charme sur eux pour a son tour les manipuler

Peut être qu'au fond de lui il faisait la différence, mais il n'avait pas envie de se préoccuper de la façon dont les gens le traitaient. Il le supporterait bien moins, sans doute, s'il se laissait préoccuper par des détails comme ceux là. La jeune femme ne serait sans doute jamais d'accord avec lui, mais ça façon de penser ne lui importait que peu.

"Peut être que je le sens, mais je n'ai pas envie de m'en préoccuper..."

Puis il l'avait embrassé avec sa douceurs qui lui était propre et la jeune femme s'&était demandé la raison pour laquelle il agissait de cette maniière.

"Peut être, peut être pas, je n'ai jamais eu l'occasion de vérifier..."

Ensuit, il était venu la proteger des homes qui lui voulaient du mal, ce que ne voulait pas Adrian et la jeune femme lui demanda suite às es paroles la raison pour laquelle il était venu la proteger.

"Car tu n'as rien à voir dans à la haine que ces hommes me vouent."

Elle le regarda froidement et bizarrement, il ne le manqua pas, ensuite, il lui demanda ce qu'il y gagnait au final.

"Rien du tout..."

Puis elle lui demanda alors si c'était de la gentillesse ou de l'inquietude qui l'avait pousser à l'aider. Pour lui ce n'était aucun des deux alors il ne repondit pas. Du coup, il la laissa seule apres, et alla chercher la démone qui était ici même, il n'y avait pas grand monde caable d'utiliser ce genre de pouvoir alors quand il tomba sur elle dans la salle de reception, il lui imposa de rtirer le lien en la menaçant puis il partit, il ne voulait pas que la jeune femme le fasse changer, car il n'avait jamais connu une vie avec ddes sentiments et il avait peur au fond de lui d'en souffrir.

- En fait tu es mort de peur et rien qu'a l'idée de voir ce qui t'entoure tu te recroqueville sur toi même.

En tout cas il était doux parfois et cela elle ne l'oublierait sans doute pas. Ensuite elle abandonna de parler avec lui et quand il était venu la protéger elle l'envoya bouler froidement. De toute façon il n'avait rien a y gagner, rien a protéger de lui même elle ne voyait pas pourquoi il réagirait ainsi... Du coup elle se sépara de lui et parla avec les hommes qui furent rapidement piéger et incapable de lui faire du mal. Araia sentit cependant une liberté vite oublier. Elle n'était plus attaché et Adrian avait complétement fuit. La jeune femme soupira avant de quitter a son tour la réception mais les projets lancé était loin de s'être fait arrêter.

Araia avait laissé une semaine s'écouler tout en ne se montrant nulle part. Elle sentait des hommes qui la suivaient et elle les démasqua bien avant qu'ils arrivent au pire, elle les charmer de sorte qu'il la servent elles et non pas l'autre pour qui ils travaillent. Ensuite elle rechercha Adrian qu'elle retrouva sans problème. Araia marcha droit vers lui tout en utilisant son pouvoir. Il devait y être particulièrement sensible a cause du manque occasionné.

- Alors comme ça tu te terre comme un lapin ?

Elle le regarda tout en lui prenant le bras pour aller dans un endroit plus au calme où elle le força a s'asseoir tout en exigeant de lui qu'il ne bouge pas et se laisse faire. Il ne pouvait pas lutter, vu le temps c'était surement très difficile.

- Tu as si peur de souffrir ? Pourtant tout n'es pas mal et tout ne blesse pas. Il est déjà insultant que tu considère des personnes qui t'acceptent comme des personnes qui pourraient te blesser alors qu'elles veulent que ton bien être.

Araia soupira avant de se redresser tout en passant ses mains dans ses cheveux.

- Et même moi je m'efforce a ce que tu ne te fasse pas bouffer par le monde qui t'entoure. Car c'est en étant moue comme ça que tu te fais avoir.

Il ne répondit rien à la jeune femme, abandonnant toute tentative contre elle, d'essayer de lui faire partage ce qui semblait être son point de vue? Il était possible que Adrian ait peur, mazis il était au fond un humain et peut importe qu'il ait scellé ses émotions, il ne pouvait pas les retenir quand l'une d'entre elles s'échappait.

Il avait fait l'éffort de venir la proteger mais la jeune femme ne semblait pas en être consciente et l'avait envoyé ballader alors qu'il n'estimait pas avoir fait quoique ce soit de mal. Il ne comprenait pas du tout son comportement avec lui.

Il avait fini par défaire le lien, pousi il était partit en rentrant chez lui, il n'avait plus à voir la jeune femme ce qui était un sacré soulagement pour lui. Mais s'il avait su qu'elle reviendrait apres une semaine, il serait sans doute retourner à la surface de virtual Dream au lieu de reste à Altaar.

Elle était venu le voir profitant du fait qu'il était en manque extrême de la jeune femme, il ne pouvait pas lui résister ou difficilement. Du coup, il resa sur place inexpressif et regardait la jeune femme. Il ne se terait pas comme un lapin, mais pour lui ressentir des émotions était une mauvaise chose, et decouvrir quelque chose pour la premiere fois ne lui plaisait que tres peu. Beaucoup de monde avait peur face à l'inconnu et s'était aussi son cas.

La jeune femme lui prit alors le bras pour l'emmener, il le regardait en resistant, mais cela s'avérait difficile.

"En quoi ça te regarde, tu ne veux pas que je me mele de tes affaire je ne m'en melerais pas, mais ne te mele pas non plus des miennes..."

Il n'arrivait pas à exprimer tout ce dont il avait envie. Du coup, il se leva avant de la regarder de maniere inexpressive et partit. Il ne voulait pas se prendre plus la tête avec elle.

"Avant d'aider les autres comprend les... "

Araia l'avait chercher après une semaine et même si elle l'avait pris en traitre d'où son manque qu'il possédait a son égard. C'était vil mais elle ne voyait pas d'autre moyens de le retenir. Cependant elle attisa sa colère puisqu'il la renvoya dans ses buts. Araia le regarda se lever et partir avant de crier son nom.

- Adrian !!!

Elle le regarda tristement avant de continuer assez fort pour qu'il entende.

- Je conçois que tu es pas envie de ressentir de sentiments quel-qu’il soit. Que pour toi c'est une insulte ou tout ce qui y ressemble. Que tu crois que tu souffrirais bien trop en les possédants.

Araia regarda le sol complétement destabiliser parce qu'elle tentait de faire.

- Mais tu te rends pas compte que d'autre personnes, des bonnes personnes font attention a toi. Te veuilles du bien et ne rien ressentir a leur égard et terriblement blessant. Ce n'est pas toi qui est blessé mais tu les blesses. Tu me blesses énormément... Moi, je trouvais ça horrible qu'on se serve de toi en utilisant la seule chose que tu connais pas. Qu'on te marche dessus qu'on te méprise alors que j'en suis sûr tu ne le mérite pas. Je trouve ça écœurant...

Elle se sentit de nouveau mal avant de finir complétement ce qu'elle avait a dire.

- Enfin... J'espère qu'un te mettra suffisamment en confiance pour que tu te protège vraiment des pourritures de se monde. Que tu sois pas manipuler et enfin tu puisse vivre sans qu'on vienne te mépriser. Qu'on te regarde enfin de manière neutre ou remplit de sympathie. Sa change tout... Bref... Moi je me retire de toute façon je n'apporte rien.

Araia avança vers lui et l'embrassa au niveau du front puis de la bouche.

- Pour l'au revoir. Si on se revoit plus tu devrais plus être ennuyé par moi.

Sur ce elle reprit sa route en allant dans l'avenue et se mêla rapidement au gens pour fuir.